Les bus des transports urbains soissonnais sont actuellement tous relookés. Bleus et blancs depuis trente ans, ils prennent des couleurs.
DEPUIS une trentaine d'années, la décoration extérieure des bus laissait apparaître le bleu de la ville centre décliné en trois nuances.
Pour Didier Boda, le président du syndicat intercommunal des transports urbains soissonnais (Situs), « ce classicisme commençait à dater ».
Pour marquer le 30e anniversaire de la création du réseau de transport urbain, le comité syndical du Situs et la communauté d'agglomération du Soissonnais ont souhaité lui « redonner une nouvelle dynamique ».
Une déco qui pétille
Les quinze bus du Situs seront ainsi, dans les dix jours qui viennent, tous relookés.
La découpe, qui a été retenue par le jury constitué après l'appel d'offres, est celle proposée par la société Alpha'Dhesif de Brasles, près de Château-Thierry, une entreprise spécialisée dans le design des bus.
Si l'on retrouve les nuances de bleu initiales, Romain Leduc, directeur d'exploitation de la base urbaine du Situs, note que s'y ajoutent « le vert, symbole de développement durable et un orange, qui donne plus de peps », d'autant que des bulles font « pétiller » l'ensemble.
Les principales couleurs choisies « rappellent » la ville centre, la rivière Aisne et ses berges. Les volutes présentes sur la carrosserie ainsi relookée peuvent, quant à elles, évoquer, au choix, l'architecture locale, Saint-Jean-des-Vignes en tête, ou les rames du haricot de Soissons qui lui permettent de se fixer et de s'élever.
La beauté du Soissonnais
Selon son concepteur, Stéphane Rouyer, ces volutes soulignent également « la grâce, la beauté et tout le charme du pays soissonnais ».
L'objectif affiché par le syndicat intercommunal des transports urbains soissonnais est en tout cas que « cette nouvelle découpe ne laisse personne indifférent ». Les voyageurs (1,2 million), qui empruntent chaque année les transports urbains, vont maintenant avoir tout le loisir de découvrir la nouvelle déco à la faveur de leurs parcours.
http://www.lunion.presse.fr/article/social/les-transports-urbains-soissonnais-ont-30-ans-le-grand-lifting-des-bus
Bonjour Informations sur la ville, vidéos, sport à Soissons ... C'est ici pour vous !!! SUIVEZ MOI !!!!!!!!!!!!
mercredi 31 octobre 2012
Petits chanteurs franciliens Des voix de lumière à la cathédrale
À la cathédrale, le cycle quotidien prend fin chaque jour avec les Vêpres. Dimanche, alors que la nuit fermait les vitraux une heure plus tôt que la veille, l'office a pris une ampleur exceptionnelle, avec la présence des Petits chanteurs franciliens.
Cette maîtrise, formée d'élèves du collège Stanislas (Paris), passe quatre jours des vacances scolaires à la maison Sainte-Croix de Belleu. Ils y travaillent sur leurs concerts de Noël.
Les responsables ont proposé de faire chanter la maîtrise à l'office des Vêpres, suivi d'un concert. Régis de la Roche, directeur musical, dit le plaisir de chanter dans « cette belle cathédrale », alors que d'habitude ils doivent se contenter de la petite chapelle du collège.
Le programme comprenait des œuvres du XVIe au XIXe siècle, dont un Kyrie de Tomas Luis da Victoria, spectaculaire superposition de couches de chant en une complexe polyphonie. Répétitions obligent, ils ont offert plusieurs chants de Noël.
Que dire de ces voix de lumière ? Entre une soprano féminine et une voix de garçon, la différence n'est pas tant dans le timbre ou la puissance, que dans la nature fugace de celle du petit chanteur : à la puberté elle se cassera, puis descendra vers les profondeurs d'une voix d'homme.
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/petits-chanteurs-franciliens-des-voix-de-lumiere-a-la-cathedrale
Cette maîtrise, formée d'élèves du collège Stanislas (Paris), passe quatre jours des vacances scolaires à la maison Sainte-Croix de Belleu. Ils y travaillent sur leurs concerts de Noël.
Les responsables ont proposé de faire chanter la maîtrise à l'office des Vêpres, suivi d'un concert. Régis de la Roche, directeur musical, dit le plaisir de chanter dans « cette belle cathédrale », alors que d'habitude ils doivent se contenter de la petite chapelle du collège.
Le programme comprenait des œuvres du XVIe au XIXe siècle, dont un Kyrie de Tomas Luis da Victoria, spectaculaire superposition de couches de chant en une complexe polyphonie. Répétitions obligent, ils ont offert plusieurs chants de Noël.
Que dire de ces voix de lumière ? Entre une soprano féminine et une voix de garçon, la différence n'est pas tant dans le timbre ou la puissance, que dans la nature fugace de celle du petit chanteur : à la puberté elle se cassera, puis descendra vers les profondeurs d'une voix d'homme.
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/petits-chanteurs-franciliens-des-voix-de-lumiere-a-la-cathedrale
mardi 30 octobre 2012
Guerre des miss / Marc Santerre relativise
SOISSONS (Aisne). Que Laurine Wuattier, notre miss Aisne soissonnaise, et ses acolytes se rassurent : les déboires judiciaires de Geneviève de Fontenay n'ont aucune incidence sur le concours régional de dimanche.
Qu'ouïs-je, qu'entends-je ? Geneviève de Fontenay condamnée par la justice à ne plus organiser son concours de miss, sous peine d'allonger une grosse amende ! Qu'est-ce qu'elle va faire, alors, Laurine Wuattier, notre Soissonnaise de Fontenoy tout juste élus Miss Aisne ?
Pressés de nous enquérir du concours régional qui se tient le week-end prochain à Saint-Quentin, nous avons appelé Marc Santerre, celui qui, depuis toujours, porte les valeurs de Geneviève de Fontenay, celles de la beauté pure de demoiselles qu'on n'effeuille pas dans n'importe quel vulgaire magazine.
Très occupé, hier, avec l'organisation de son concours, le vice-président du comité Miss Prestige National (sans « e » s'il vous plaît) et président du comité régional de Picardie a tout d'abord rechigné à réagir à cette nouvelle, estimant que c'était à Geneviève de Fontenay, seule concernée, de répondre.
La dame au chapeau n'est pas présidente du comité Miss Prestige National. « Ce procès entre Endemol et Mme de Fontenay n'a rien à voir avec nous », tranche-t-il.
Marc Santerre a toutefois accepté de rassurer ceux qui participeront au gala de dimanche, au Splendid, de Saint-Quentin : cette décision de la cour d'appel n'aura aucune d'incidence sur l'organisation du concours. « Cela concerne l'élection de Miss Nationale de 2011. On condamne une élection qui a eu lieu il y a deux ans », ironise-t-il.
Quinze candidates à Soissons
Marc Santerre constate tout de même : « Cette décision de justice survient comme par hasard à un mois de l'élection nationale, comme l'année dernière. Ça recommence ; on entretient l'ambiguïté, donc le doute. » En effet, ce jugement est un des nombreux rebondissements d'un feuilleton.
La guéguerre entre Mme de Fontenay et Endemol a commencé il y a trois ans avec l'organisation de son concours Miss Nationale (avec un « e ») après que la dame eut vendu son empire à la célèbre société de production et signé une clause de non-concurrence.
Depuis, le comité fait sa vie tant bien que mal, avec des hauts et des bas, mais toujours avec la tête haute, comme on le fait dans les défilés. Bouté hors d'Hirson par le comité Endemol, Marc Santerre organise depuis deux ans son concours départemental à Soissons, en collaboration avec les Vitrines du Soissonnais. Il avait réussi à recruter quinze candidates cette année, un gros chouïa plus que le comité ennemi.
Le concours régional, lui, se tient depuis toujours à Saint-Quentin, ville qui lui est restée fidèle, même dans la tempête. Geneviève sera l'invitée d'honneur ainsi que la miss Prestige National sortante. L'une des douze candidates pourra prétendre au trône, le 10 décembre, au Lido. Un concours qui pourrait ne pas être retransmis à la télévision.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/guerre-des-miss-marc-santerre-relativise
Qu'ouïs-je, qu'entends-je ? Geneviève de Fontenay condamnée par la justice à ne plus organiser son concours de miss, sous peine d'allonger une grosse amende ! Qu'est-ce qu'elle va faire, alors, Laurine Wuattier, notre Soissonnaise de Fontenoy tout juste élus Miss Aisne ?
Pressés de nous enquérir du concours régional qui se tient le week-end prochain à Saint-Quentin, nous avons appelé Marc Santerre, celui qui, depuis toujours, porte les valeurs de Geneviève de Fontenay, celles de la beauté pure de demoiselles qu'on n'effeuille pas dans n'importe quel vulgaire magazine.
Très occupé, hier, avec l'organisation de son concours, le vice-président du comité Miss Prestige National (sans « e » s'il vous plaît) et président du comité régional de Picardie a tout d'abord rechigné à réagir à cette nouvelle, estimant que c'était à Geneviève de Fontenay, seule concernée, de répondre.
La dame au chapeau n'est pas présidente du comité Miss Prestige National. « Ce procès entre Endemol et Mme de Fontenay n'a rien à voir avec nous », tranche-t-il.
Marc Santerre a toutefois accepté de rassurer ceux qui participeront au gala de dimanche, au Splendid, de Saint-Quentin : cette décision de la cour d'appel n'aura aucune d'incidence sur l'organisation du concours. « Cela concerne l'élection de Miss Nationale de 2011. On condamne une élection qui a eu lieu il y a deux ans », ironise-t-il.
Quinze candidates à Soissons
Marc Santerre constate tout de même : « Cette décision de justice survient comme par hasard à un mois de l'élection nationale, comme l'année dernière. Ça recommence ; on entretient l'ambiguïté, donc le doute. » En effet, ce jugement est un des nombreux rebondissements d'un feuilleton.
La guéguerre entre Mme de Fontenay et Endemol a commencé il y a trois ans avec l'organisation de son concours Miss Nationale (avec un « e ») après que la dame eut vendu son empire à la célèbre société de production et signé une clause de non-concurrence.
Depuis, le comité fait sa vie tant bien que mal, avec des hauts et des bas, mais toujours avec la tête haute, comme on le fait dans les défilés. Bouté hors d'Hirson par le comité Endemol, Marc Santerre organise depuis deux ans son concours départemental à Soissons, en collaboration avec les Vitrines du Soissonnais. Il avait réussi à recruter quinze candidates cette année, un gros chouïa plus que le comité ennemi.
Le concours régional, lui, se tient depuis toujours à Saint-Quentin, ville qui lui est restée fidèle, même dans la tempête. Geneviève sera l'invitée d'honneur ainsi que la miss Prestige National sortante. L'une des douze candidates pourra prétendre au trône, le 10 décembre, au Lido. Un concours qui pourrait ne pas être retransmis à la télévision.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/guerre-des-miss-marc-santerre-relativise
Conseil municipal / Le social plombe les débats
La situation très délicate de l'emploi dans le Soissonnais s'est invitée dans différents débats en conseil municipal.
EDITH ERRASTI était en colère, vendredi soir, lors du conseil municipal. C'est une délibération à première vue sans grande importance qui l'a fait sortir de ses gonds. La chef de file de l'opposition s'est indignée de voir que la Ville n'accordait « que » 1 700 euros à la mission locale, chargée de l'insertion professionnelle des 16-25 ans, pour l'organisation d'un forum des métiers le 20 novembre au lycée Vinci. « La formation est quelque chose de capital, a-t-elle argumenté. Quand je vois qu'on donne 2 500 euros à chaque compagnie de théâtre… »
L'élue était d'autant plus remontée que le conseil municipal a récemment passé le loyer annuel de la mission locale à 56 000 euros, soit une augmentation de 33 000 euros. « Je suis honteuse de voir que l'on traite ainsi la formation des jeunes !, a grondé Mme Errasti. Il y a quelque chose qui me dépasse. Je ne peux voter cette délibération. »
Réponse de Sylvie Hubert, conseillère municipale déléguée à l'emploi : « Nous couvrons la totalité des frais pour l'organisation de la manifestation. La subvention n'a pas vocation à combler les dépenses de fonctionnement. Et ce n'est pas du mépris à l'égard de l'emploi. »
Quant au loyer, c'est le maire Patrick Day, qui s'en est expliqué. La ville de Soissons est propriétaire des locaux, mais la mission locale dépend de l'arrondissement, puisque tous les jeunes jusqu'à 25 ans du Soissonnais peuvent bénéficier de ses services. « La mission locale doit percevoir des ressources non pas seulement de Soissons mais de toutes les communes. Nous avons la responsabilité de la gestion et des recettes dues à la collectivité, a insisté le maire. Jusqu'en 2008, la Ville payait deux fois, par sa cotisation à l'Agglo et cette mise à disposition. »
Un loyer intermédiaire (1 900 euros par mois) avait été appliqué à l'arrivée de la gauche en 2008. Il était à l'époque prévu que la mission locale déménage. « Au bout de trois ans, nous leur demandons un loyer basé sur la valeur des Domaines », a-t-il poursuivi.
Tiquet pour la patinoire
Edith Errasti a par ailleurs proposé la gratuité de la patinoire, installée pendant les fêtes de fin d'année, pour les familles des salariés de Géodis ou Baxi, deux sites menacés de fermeture. Gare à la démagogie, a répondu la majorité. Pas question donc de « jouer au Père Noël ». « Vous oubliez tous ceux qui perdent leur emploi tous les jours dans les TPE, a relevé Sylvie Hubert. Il faut avoir de la décence. » L'accès à la patinoire sera gratuit tous les samedis matin pour les enfants de moins de 10 ans.
L'élue d'opposition est revenue au créneau sur l'emploi à l'occasion du vote d'une motion demandant au ministère du Redressement productif d'organiser une table ronde - elle aura lieu le mercredi 14 novembre - concernant Baxi, l'usine d'assemblage de chaudières dont la direction a annoncé la fermeture prochaine. Edith Errasti a en effet demandé pourquoi Géodis ou Focast, deux sites en difficulté, ne bénéficiaient pas d'une telle motion. « Les situations sont très différentes, a répondu Patrick Day. Pour Géodis, il s'agit de la perte d'un marché ; des négociations sont en cours pour en trouver de nouveaux. Alors que Baxi fait partie d'un groupe qui fait énormément de bénéfices. » Quant à la fonderie Focast, l'on connaîtra le 8 novembre les offres de reprise.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/conseil-municipal-le-social-plombe-les-debats
EDITH ERRASTI était en colère, vendredi soir, lors du conseil municipal. C'est une délibération à première vue sans grande importance qui l'a fait sortir de ses gonds. La chef de file de l'opposition s'est indignée de voir que la Ville n'accordait « que » 1 700 euros à la mission locale, chargée de l'insertion professionnelle des 16-25 ans, pour l'organisation d'un forum des métiers le 20 novembre au lycée Vinci. « La formation est quelque chose de capital, a-t-elle argumenté. Quand je vois qu'on donne 2 500 euros à chaque compagnie de théâtre… »
L'élue était d'autant plus remontée que le conseil municipal a récemment passé le loyer annuel de la mission locale à 56 000 euros, soit une augmentation de 33 000 euros. « Je suis honteuse de voir que l'on traite ainsi la formation des jeunes !, a grondé Mme Errasti. Il y a quelque chose qui me dépasse. Je ne peux voter cette délibération. »
Réponse de Sylvie Hubert, conseillère municipale déléguée à l'emploi : « Nous couvrons la totalité des frais pour l'organisation de la manifestation. La subvention n'a pas vocation à combler les dépenses de fonctionnement. Et ce n'est pas du mépris à l'égard de l'emploi. »
Quant au loyer, c'est le maire Patrick Day, qui s'en est expliqué. La ville de Soissons est propriétaire des locaux, mais la mission locale dépend de l'arrondissement, puisque tous les jeunes jusqu'à 25 ans du Soissonnais peuvent bénéficier de ses services. « La mission locale doit percevoir des ressources non pas seulement de Soissons mais de toutes les communes. Nous avons la responsabilité de la gestion et des recettes dues à la collectivité, a insisté le maire. Jusqu'en 2008, la Ville payait deux fois, par sa cotisation à l'Agglo et cette mise à disposition. »
Un loyer intermédiaire (1 900 euros par mois) avait été appliqué à l'arrivée de la gauche en 2008. Il était à l'époque prévu que la mission locale déménage. « Au bout de trois ans, nous leur demandons un loyer basé sur la valeur des Domaines », a-t-il poursuivi.
Tiquet pour la patinoire
Edith Errasti a par ailleurs proposé la gratuité de la patinoire, installée pendant les fêtes de fin d'année, pour les familles des salariés de Géodis ou Baxi, deux sites menacés de fermeture. Gare à la démagogie, a répondu la majorité. Pas question donc de « jouer au Père Noël ». « Vous oubliez tous ceux qui perdent leur emploi tous les jours dans les TPE, a relevé Sylvie Hubert. Il faut avoir de la décence. » L'accès à la patinoire sera gratuit tous les samedis matin pour les enfants de moins de 10 ans.
L'élue d'opposition est revenue au créneau sur l'emploi à l'occasion du vote d'une motion demandant au ministère du Redressement productif d'organiser une table ronde - elle aura lieu le mercredi 14 novembre - concernant Baxi, l'usine d'assemblage de chaudières dont la direction a annoncé la fermeture prochaine. Edith Errasti a en effet demandé pourquoi Géodis ou Focast, deux sites en difficulté, ne bénéficiaient pas d'une telle motion. « Les situations sont très différentes, a répondu Patrick Day. Pour Géodis, il s'agit de la perte d'un marché ; des négociations sont en cours pour en trouver de nouveaux. Alors que Baxi fait partie d'un groupe qui fait énormément de bénéfices. » Quant à la fonderie Focast, l'on connaîtra le 8 novembre les offres de reprise.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/conseil-municipal-le-social-plombe-les-debats
lundi 29 octobre 2012
Lycée Saint-Rémy Des chiffres éloquents pour le Bac et le BTS
Deux manifestations ont eu lieu au lycée général et technologique privé Saint-Rémy avec la remise officielle des diplômes des baccalauréats et BTS. Grégory Laboureur, le directeur de l'établissement, et l'ensemble de l'équipe pédagogique ont accueilli les lauréats et leur famille pour cette réception. Cette cérémonie fut l'occasion pour le directeur d'associer dans la réussite de son établissement les enseignants, l'équipe administrative et les lauréats. Il ne manquait pas de remercier les parents pour la confiance qu'ils ont témoignée à l'établissement. En ce qui concerne le baccalauréat, la session 2012 a vu la réussite de 134 élèves sur 140 présentés soit un taux de réussite de 95,5 % et pratiquement une mention pour 1 candidat sur 2. Dans le détail des séries on retrouve 100 % de réussite en STG, 98 % en ST2S, 92,6 % en S, 83,3 % en L et 100 % en ES. Soixante et un candidats ont été admis avec mention soit un pourcentage de 47,66 %. Les lauréats qui ont obtenu une mention « Très bien » ont été reçus par le recteur. En ce qui concerne les BTS le taux de réussite a été de 73,58 % avec en détail 81,25 % pour la section Assurance, 65 % pour la section Communication et 76,47 % pour la section Management des unités commerciales
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/lycee-saint-remy-des-chiffres-eloquents-pour-le-bac-et-le-bts
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/lycee-saint-remy-des-chiffres-eloquents-pour-le-bac-et-le-bts
Non aux encombrants sur la voie publique
SOISSONS (Aisne). Lorsque matelas, armoire ou palettes traînent sur les trottoirs ou dans les cours, les animatrices de la CSF placardent des affiches pour montrer du doigt ces comportements malvenus.
UNE voiture en kit ! Véronique Dufour aurait presque pu reconstituer une automobile avec les objets trouvés, un jour, dans des conteneurs à Chevreux. « Je voulais déposer des déchets, j'ai ouvert l'un, puis l'autre… » S'y trouvaient roues, pots d'échappement, pare-chocs… n'ayant rien à faire dans le tri sélectif.
Ce genre de découverte n'est pas rare. Parfois, les amas ainsi constitués empêchent l'accès aux bacs et gênent donc les personnes souhaitant agir correctement. Des poubelles peuvent même s'accumuler autour.
Les animatrices de la confédération syndicale des familles (CSF) n'y sont pas insensibles. Elles sont même parties en guerre contre les comportements incorrects.
Telles de véritables commandos, des équipes vont placarder des affichettes pour montrer du doigt ces gestes manquant de civisme. Illustrées de visuels dont certains montrent à quel point une roue ou un vieux bidon s'harmonisent mal avec un paysage bucolique, elles tapent aussi où ça fait mal : le porte-monnaie. La mention « peut encourir une amende allant jusqu'à 150 €» figure sur l'un des flyers et, sur un autre, une balance penche du côté des déchets avec l'explication : « Moins vous triez, plus vous payez ».
Claire Couvel tempête : « On ne comprend pas pourquoi certains devraient payer pour les autres ! » Et d'évoquer le cercle vicieux : si des lits, canapés, matelas ou palettes jonchent le sol, un ramassage va être effectué et, voyant cela, certains estiment inutile de se rendre à la déchetterie…
Les photos qui accusent
Après avoir constaté des problèmes récurrents dans le tri, les représentantes du secteur logement de la CSF ont décidé de mener une sensibilisation. Elles se rendent ainsi sur place et n'hésitent pas à aller au-devant des habitants des différents quartiers : « Lorsqu'on le peut, on discute avec eux pour expliquer la nécessité de trier. »
Des sortes d'actions coup de poing doivent parfois être menées, dans des périodes de crises concernant certains quartiers. C'était le cas, indiquent les animatrices, il y a quelque temps dans le quartier des Feuillants : « Cela devenait la déchetterie. » Dans un tel cas, des photos des objets indésirables peuvent même être faites et affichées.
Un gros travail, indiquent les deux femmes, a également été réalisé sur Presles et sur Chevreux. Elles précisent d'ailleurs que les attitudes inadaptées ne surviennent pas forcément là où on le pense…
Elles évoquent un travail important avec les bailleurs sociaux. Avec la rénovation urbaine, des conteneurs en béton sont venus faciliter les choses. Il faut s'en servir
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/non-aux-encombrants-sur-la-voie-publique
UNE voiture en kit ! Véronique Dufour aurait presque pu reconstituer une automobile avec les objets trouvés, un jour, dans des conteneurs à Chevreux. « Je voulais déposer des déchets, j'ai ouvert l'un, puis l'autre… » S'y trouvaient roues, pots d'échappement, pare-chocs… n'ayant rien à faire dans le tri sélectif.
Ce genre de découverte n'est pas rare. Parfois, les amas ainsi constitués empêchent l'accès aux bacs et gênent donc les personnes souhaitant agir correctement. Des poubelles peuvent même s'accumuler autour.
Les animatrices de la confédération syndicale des familles (CSF) n'y sont pas insensibles. Elles sont même parties en guerre contre les comportements incorrects.
Telles de véritables commandos, des équipes vont placarder des affichettes pour montrer du doigt ces gestes manquant de civisme. Illustrées de visuels dont certains montrent à quel point une roue ou un vieux bidon s'harmonisent mal avec un paysage bucolique, elles tapent aussi où ça fait mal : le porte-monnaie. La mention « peut encourir une amende allant jusqu'à 150 €» figure sur l'un des flyers et, sur un autre, une balance penche du côté des déchets avec l'explication : « Moins vous triez, plus vous payez ».
Claire Couvel tempête : « On ne comprend pas pourquoi certains devraient payer pour les autres ! » Et d'évoquer le cercle vicieux : si des lits, canapés, matelas ou palettes jonchent le sol, un ramassage va être effectué et, voyant cela, certains estiment inutile de se rendre à la déchetterie…
Les photos qui accusent
Après avoir constaté des problèmes récurrents dans le tri, les représentantes du secteur logement de la CSF ont décidé de mener une sensibilisation. Elles se rendent ainsi sur place et n'hésitent pas à aller au-devant des habitants des différents quartiers : « Lorsqu'on le peut, on discute avec eux pour expliquer la nécessité de trier. »
Des sortes d'actions coup de poing doivent parfois être menées, dans des périodes de crises concernant certains quartiers. C'était le cas, indiquent les animatrices, il y a quelque temps dans le quartier des Feuillants : « Cela devenait la déchetterie. » Dans un tel cas, des photos des objets indésirables peuvent même être faites et affichées.
Un gros travail, indiquent les deux femmes, a également été réalisé sur Presles et sur Chevreux. Elles précisent d'ailleurs que les attitudes inadaptées ne surviennent pas forcément là où on le pense…
Elles évoquent un travail important avec les bailleurs sociaux. Avec la rénovation urbaine, des conteneurs en béton sont venus faciliter les choses. Il faut s'en servir
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/non-aux-encombrants-sur-la-voie-publique
dimanche 28 octobre 2012
Restauration et aménagements Que de projets pour la Chapelle Saint-Charles !
En présence d'Élisabeth Tuloup, adjointe au maire de la ville de Soissons, chargée du tourisme, du jumelage et du patrimoine, Régis Lajoie, trésorier de l'Association pour la sauvegarde de la Chapelle Saint-Charles (SCSC), a présenté le rapport financier lors de la dernière assemblée générale. Un bilan qui s'avère négatif du fait des gros travaux réalisés (plus de 5 000 euros), en décembre 2011.
Pour l'année écoulée, la restauration de l'édifice avait stagné mais en fin d'année, M. Briet, ébéniste, a terminé le travail, financé par les dons des membres de l'association, un don du Rotary Club et un mécénat du Crédit Agricole du Nord Est.
Malgré cette période latente des travaux, la SCSC a organisé de nombreuses manifestations : des expositions, des concerts, les Journées nationales du patrimoine de pays, la fête de la musique, des visites ou conférences.
D'autres travaux sont prévus et deux dossiers sont actuellement à l'étude pour l'aménagement d'un accès handicapés, prévu par le jardin du lycée Camille-Claudel ainsi que le ravalement de la façade qui, celui-ci, se fera dans le cadre d'un chantier de réinsertion.
Comme l'a stipulé la présidente, Monique Judas, « sans l'investissement des bénévoles, la générosité des membres, le partenariat des associations et des artistes locaux, tout ceci serait mission impossible. Il faut d'autre part une synergie toujours plus grande avec les services culturels de la ville ! ».
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/restauration-et-amenagements-que-de-projets-pour-la-chapelle-saint-charle
Pour l'année écoulée, la restauration de l'édifice avait stagné mais en fin d'année, M. Briet, ébéniste, a terminé le travail, financé par les dons des membres de l'association, un don du Rotary Club et un mécénat du Crédit Agricole du Nord Est.
Malgré cette période latente des travaux, la SCSC a organisé de nombreuses manifestations : des expositions, des concerts, les Journées nationales du patrimoine de pays, la fête de la musique, des visites ou conférences.
D'autres travaux sont prévus et deux dossiers sont actuellement à l'étude pour l'aménagement d'un accès handicapés, prévu par le jardin du lycée Camille-Claudel ainsi que le ravalement de la façade qui, celui-ci, se fera dans le cadre d'un chantier de réinsertion.
Comme l'a stipulé la présidente, Monique Judas, « sans l'investissement des bénévoles, la générosité des membres, le partenariat des associations et des artistes locaux, tout ceci serait mission impossible. Il faut d'autre part une synergie toujours plus grande avec les services culturels de la ville ! ».
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/restauration-et-amenagements-que-de-projets-pour-la-chapelle-saint-charle
samedi 27 octobre 2012
Baxi : bientôt une table ronde
Jean-Marie Carré a proposé à ses collègues élus de l'agglo de « faire une demande solennelle à Paul Coulon (commissaire au redressement productif, ancien sous-préfet de Soissons), pour la tenue d'une table ronde à la sous-préfecture de Soissons, avec les dirigeants hollandais du groupe Baxi ». Y assisteraient Paul Coulon, Frédéric Brassac, sous-préfet, les élus de l'agglo. « Je ne vois pas pourquoi Baxi ne pourrait pas faire comme Tereos à Vic-sur-Aisne », en reclassant tous les salariés.
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/baxi-bientot-une-table-ronde
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/baxi-bientot-une-table-ronde
Lycée Camille-Claudel Un métier à risques
Les professeurs du lycée Claudel ont assisté à une réunion d'information sur les risques de leur métier. Un avocat était là pour leur préciser les cadres juridiques
LES enseignants du lycée Camille-Claudel ont assisté à une réunion débat sur les risques du métier et les responsabilités chez l'enseignant.
Afin de sensibiliser son personnel à ce sujet d'actualité, Martine Dufour proviseur de l'établissement a invité Me Raymond Grasset, avocat au barreau de Soissons, et Michel Bourlet, président de l'Autonome de solidarité de l'Aisne. Marie-Christine Rattez, directrice de cabinet du directeur départemental des services académiques, a également assisté à cette réunion.
Être mieux armé
Me Grasset, avocat de l'Autonome, a présenté cette réunion qui s'inscrit dans le cadre de la formation des enseignants : « Au cours de cette réunion je ne vous ferais pas d'exposés techniques mais je vous présenterais des principes fondamentaux et ensuite je répondrais à vos questions. » Le juriste évoquait la situation actuelle avec le manque de respect croissant et les risques que comportent les relations entre les enseignants, les parents et les enfants.
Le personnel des collèges et lycées est en permanence sous la pression de menaces verbales et de dépôt de plainte. L'avocat leur signalait qu'à partir du moment où ils savent ce qui va se passer, ils sont armés. Il leur précisait que dans tous les cas ils avaient au-dessus d'eux un pouvoir disciplinaire pour lui rendre des comptes, qu'ils pouvaient mettre en cause leur responsabilité civile pour répondre à une éventuelle faute commise réclamant une indemnisation et enfin il évoquait le point crucial, celui qui fait peur, la responsabilité pénale pour un comportement d'infraction de la part d'un enseignant.
http://www.lunion.presse.fr/article/soissons/lycee-camille-claudel-un-metier-a-risques
LES enseignants du lycée Camille-Claudel ont assisté à une réunion débat sur les risques du métier et les responsabilités chez l'enseignant.
Afin de sensibiliser son personnel à ce sujet d'actualité, Martine Dufour proviseur de l'établissement a invité Me Raymond Grasset, avocat au barreau de Soissons, et Michel Bourlet, président de l'Autonome de solidarité de l'Aisne. Marie-Christine Rattez, directrice de cabinet du directeur départemental des services académiques, a également assisté à cette réunion.
Être mieux armé
Me Grasset, avocat de l'Autonome, a présenté cette réunion qui s'inscrit dans le cadre de la formation des enseignants : « Au cours de cette réunion je ne vous ferais pas d'exposés techniques mais je vous présenterais des principes fondamentaux et ensuite je répondrais à vos questions. » Le juriste évoquait la situation actuelle avec le manque de respect croissant et les risques que comportent les relations entre les enseignants, les parents et les enfants.
Le personnel des collèges et lycées est en permanence sous la pression de menaces verbales et de dépôt de plainte. L'avocat leur signalait qu'à partir du moment où ils savent ce qui va se passer, ils sont armés. Il leur précisait que dans tous les cas ils avaient au-dessus d'eux un pouvoir disciplinaire pour lui rendre des comptes, qu'ils pouvaient mettre en cause leur responsabilité civile pour répondre à une éventuelle faute commise réclamant une indemnisation et enfin il évoquait le point crucial, celui qui fait peur, la responsabilité pénale pour un comportement d'infraction de la part d'un enseignant.
http://www.lunion.presse.fr/article/soissons/lycee-camille-claudel-un-metier-a-risques
vendredi 26 octobre 2012
Le lycée professionnel Le Corbusier de Soissons affiche un déficit de plus de 400.000 euros.
C'est lorsque l'agent comptable du lycée a été remplacé que le problème est apparu: les comptes de l'établissement affichaient un trou de plus de 400.000 euros.
Aucune hypothèse pour le moment
Le rectorat a été aussitôt alerté par la direction du lycée. Aucune raison évidente ne pouvant expliquer ce trou de 400.000 euros, la direction des finances publiques de l'Aisne a été saisie pour analyser les comptes...Une enquête est en cours mais "il est pour le moment trop tôt pour tirer une quelconque hypothèse sur les causes de ce problème", selon Jean-Luc Strugarek, directeur académique de Laon, joint ce matin par téléphone.
Le lycée ne peut plus payer ses fournisseurs
La situation est telle que les dépenses de chauffage et d'électricité ne peuvent plus être assurées...Le lycée n'est même plus en mesure de payer les fournisseurs pour les cours des 623 élèves.
La direction a donc fait appel en urgence au Conseil Régional pour renflouer les comptes en banque de l'établissement: une avance remboursable exceptionnelle de 150.000 euros a été votée tandis 150.000 autres euros ont été avancés par le rectorat....
Reste à trouver comment combler les 100.000 derniers euros manquants....Pour le moment, plusieurs solutions sont à l'étude.
Analyser les factures une par une
Le Conseil Régional a demandé des explications quant à ce déficit. Mais il faudra attendre 3 semaines environ pour savoir où sont passés ces 300.000 euros: les services de la direction des finances publiques vont devoir analyser les comptes de l'établissement sur plusieurs années et reprendre une à une les factures de chaque fournisseur.
http://picardie.france3.fr/info/soissons-un-trou-de-400000-euros-a-le-corbusier--75795755.html
Aucune hypothèse pour le moment
Le rectorat a été aussitôt alerté par la direction du lycée. Aucune raison évidente ne pouvant expliquer ce trou de 400.000 euros, la direction des finances publiques de l'Aisne a été saisie pour analyser les comptes...Une enquête est en cours mais "il est pour le moment trop tôt pour tirer une quelconque hypothèse sur les causes de ce problème", selon Jean-Luc Strugarek, directeur académique de Laon, joint ce matin par téléphone.
Le lycée ne peut plus payer ses fournisseurs
La situation est telle que les dépenses de chauffage et d'électricité ne peuvent plus être assurées...Le lycée n'est même plus en mesure de payer les fournisseurs pour les cours des 623 élèves.
La direction a donc fait appel en urgence au Conseil Régional pour renflouer les comptes en banque de l'établissement: une avance remboursable exceptionnelle de 150.000 euros a été votée tandis 150.000 autres euros ont été avancés par le rectorat....
Reste à trouver comment combler les 100.000 derniers euros manquants....Pour le moment, plusieurs solutions sont à l'étude.
Analyser les factures une par une
Le Conseil Régional a demandé des explications quant à ce déficit. Mais il faudra attendre 3 semaines environ pour savoir où sont passés ces 300.000 euros: les services de la direction des finances publiques vont devoir analyser les comptes de l'établissement sur plusieurs années et reprendre une à une les factures de chaque fournisseur.
http://picardie.france3.fr/info/soissons-un-trou-de-400000-euros-a-le-corbusier--75795755.html
Les Baxi donnent de la voix à Paris
SOISSONS (Aisne). Presqu'au complet, les salariés de Baxi ont fait entendre leur voix, hier, sous les fenêtres du siège au Blanc-Mesnil.
ILS sont rentrés de Paris fatigués mais avec le sentiment d'avoir fait « une belle manif ». 137 salariés de Baxi, ainsi que quelques conjoints, se sont rendus en bus, hier matin, au siège du groupe au Blanc-Mesnil, en région parisienne.
Il s'agissait de faire entendre leur voix, leur colère, alors que se tenait le premier comité central d'entreprise après l'annonce, voici bientôt quinze jours, de la fermeture du site de Villeneuve-Saint-Germain.
Un cabinet d'expertises économiques et sociales - Syncea - a été nommé en vue d'examiner les motifs économiques ayant conduit le groupe BDR Thermea, dont fait partie Baxi, à prendre cette décision qui entraînera le départ de 140 salariés.
Parmi ceux-ci, quarante pourront être reclassés à Villers-Cotterêts au sein de la plateforme logistique, sans que l'on sache encore comment ils seront choisis.
« Provocation »
Les motifs invoqués par la direction de Baxi (notre édition d'hier) ne convainquent pas les salariés. « Ils nous disent qu'on fait perdre de l'argent au groupe BDR. C'est faux et on va leur montrer le contraire », insiste Thierry Depret (CFDT), au nom de l'intersyndicale.
Au Blanc-Mesnil, les assembleurs de chaudières ont donné de la voix et crié des slogans contre la fermeture du site. Le PDG de Baxi France, François Hiriart, a essuyé quelques noms d'oiseau. Alors que les salariés, en rogne de voir leur avenir ainsi confisqué, allumaient des pétards, François Hiriart est venu faire quelques pas au beau milieu de ceux qui le conspuaient. La colère était à son comble, toutefois, aucun débordement n'a eu lieu.
Le comportement du PDG a été jugé « provocateur » par l'ensemble des salariés, leurs représentants, mais aussi par deux adjoints au maire de Soissons, Violette Legrand et Claude Nonni, venus à Paris soutenir les salariés sur un plan politique.
Le maire du Blanc-Mesnil, Didier Mignot, proche de Marie-Georges Buffet, députée de la circonscription, est lui aussi venu prendre le pouls du mouvement.
Les salariés ont, en revanche, été « très déçus », rapporte Thierry Depret, d'apprendre hier que Paul Coulon, commissaire au redressement productif, devait rencontrer leur direction, « alors qu'il n'a même pas daigné nous contacter malgré nos demandes pour le rencontrer ».
Les représentants du personnel ne se sont pas résignés à la fermeture. « Nous sommes déterminés à obtenir le maintien de l'outil de travail, quelle que soit l'activité », a martelé Christophe Rousselle (CGT).
Prochains CCE et CE, les 14 et 15 novembre. D'ici là, les salariés se seront adjoint l'aide d'un avocat et d'un juriste.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-baxi-donnent-de-la-voix-a-paris
ILS sont rentrés de Paris fatigués mais avec le sentiment d'avoir fait « une belle manif ». 137 salariés de Baxi, ainsi que quelques conjoints, se sont rendus en bus, hier matin, au siège du groupe au Blanc-Mesnil, en région parisienne.
Il s'agissait de faire entendre leur voix, leur colère, alors que se tenait le premier comité central d'entreprise après l'annonce, voici bientôt quinze jours, de la fermeture du site de Villeneuve-Saint-Germain.
Un cabinet d'expertises économiques et sociales - Syncea - a été nommé en vue d'examiner les motifs économiques ayant conduit le groupe BDR Thermea, dont fait partie Baxi, à prendre cette décision qui entraînera le départ de 140 salariés.
Parmi ceux-ci, quarante pourront être reclassés à Villers-Cotterêts au sein de la plateforme logistique, sans que l'on sache encore comment ils seront choisis.
« Provocation »
Les motifs invoqués par la direction de Baxi (notre édition d'hier) ne convainquent pas les salariés. « Ils nous disent qu'on fait perdre de l'argent au groupe BDR. C'est faux et on va leur montrer le contraire », insiste Thierry Depret (CFDT), au nom de l'intersyndicale.
Au Blanc-Mesnil, les assembleurs de chaudières ont donné de la voix et crié des slogans contre la fermeture du site. Le PDG de Baxi France, François Hiriart, a essuyé quelques noms d'oiseau. Alors que les salariés, en rogne de voir leur avenir ainsi confisqué, allumaient des pétards, François Hiriart est venu faire quelques pas au beau milieu de ceux qui le conspuaient. La colère était à son comble, toutefois, aucun débordement n'a eu lieu.
Le comportement du PDG a été jugé « provocateur » par l'ensemble des salariés, leurs représentants, mais aussi par deux adjoints au maire de Soissons, Violette Legrand et Claude Nonni, venus à Paris soutenir les salariés sur un plan politique.
Le maire du Blanc-Mesnil, Didier Mignot, proche de Marie-Georges Buffet, députée de la circonscription, est lui aussi venu prendre le pouls du mouvement.
Les salariés ont, en revanche, été « très déçus », rapporte Thierry Depret, d'apprendre hier que Paul Coulon, commissaire au redressement productif, devait rencontrer leur direction, « alors qu'il n'a même pas daigné nous contacter malgré nos demandes pour le rencontrer ».
Les représentants du personnel ne se sont pas résignés à la fermeture. « Nous sommes déterminés à obtenir le maintien de l'outil de travail, quelle que soit l'activité », a martelé Christophe Rousselle (CGT).
Prochains CCE et CE, les 14 et 15 novembre. D'ici là, les salariés se seront adjoint l'aide d'un avocat et d'un juriste.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-baxi-donnent-de-la-voix-a-paris
jeudi 25 octobre 2012
Ambrief/ Un mur du souvenir pour la commune L'œuvre des soldats en pleine lumière
Des pierres sculptées par des soldats entre 1914 et 1915 constitueront un mur du souvenir à Ambrief, une commune dépourvue de monument aux morts.
LES enfants du centre trôneront désormais au milieu du village d'Ambrief. La mention était connue de certains, elle sera maintenant visible de tous, puisque la pierre sur laquelle elle est gravée a pris place sur l'un des côtés de l'ancienne école. Ce sera le mur du souvenir pour ce bourg, en l'absence de monument aux morts.
Depuis plusieurs années déjà, Nicolas Bertin, le maire, souhaitait mettre en valeur les douze pierres sculptées sur place par des soldats durant la Première Guerre mondiale.
C'est chose faite : elles accompagneront la plaque portant le nom des enfants de la commune, morts lors des conflits. Une présentation officielle aura lieu le 10 novembre, à 10 h 30.
« Le front s'était stabilisé là », indique le premier magistrat, dont la famille est implantée à Ambrief « depuis 1592 ». Aussi a-t-il même des photos de l'époque. Entre octobre 1914 et pendant une partie de l'année 1915, raconte-t-il, le village « servait de premier camp de repos ».
Des combattants ont orné des pierres sur le mur d'un bâtiment, à l'entrée d'Ambrief.
« C'était la vitrine ! », imagine Jérôme Butet, membre de l'association Soissonnais 14-18, indiquant que, si les inscriptions gravées ne sont pas rares dans le secteur, « dans cette configuration, ce n'est pas ordinaire ! » Il s'y connaît puisqu'il vient de réaliser un travail universitaire sur les graffitis de la Grande Guerre. Professeur au lycée Le Corbusier, il a proposé à la mairie de susciter un travail des élèves scolarisés dans son établissement. Ainsi, des projets, se souvient-il, ont été préparés par des jeunes en terminale bac pro, dans la section étude de prix, avec leur professeur d'architecture, Laurent Tissot. « On les a présentés au conseil municipal d'Ambrief, les élus ont été enthousiastes. »
Une botte allemande
À présent, les élèves préparant un CAP maçonnerie ont investi les lieux pour constituer un mur avec ces pierres, réaliser un soubassement en béton, le tout contre le bâtiment communal.
Les abords devraient également être aménagés par la suite avec une aire de repos, un banc et même un espace fleuri.
Chacun pourra se recueillir devant les noms inscrits sur la plaque, jusque-là conservée à l'intérieur de la mairie et définitivement exposée à l'extérieur par la suite.
Le maire devrait même prononcer quelques mots sur les circonstances du décès de certains. Il est aussi désireux de montrer les inscriptions et dessins, évoquant, par exemple, celui représentant « la botte allemande grignotée par un rat ». Tout un symbole
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ambrief-un-mur-du-souvenir-pour-la-commune-loeuvre-des-soldats-en-pleine-lumier
LES enfants du centre trôneront désormais au milieu du village d'Ambrief. La mention était connue de certains, elle sera maintenant visible de tous, puisque la pierre sur laquelle elle est gravée a pris place sur l'un des côtés de l'ancienne école. Ce sera le mur du souvenir pour ce bourg, en l'absence de monument aux morts.
Depuis plusieurs années déjà, Nicolas Bertin, le maire, souhaitait mettre en valeur les douze pierres sculptées sur place par des soldats durant la Première Guerre mondiale.
C'est chose faite : elles accompagneront la plaque portant le nom des enfants de la commune, morts lors des conflits. Une présentation officielle aura lieu le 10 novembre, à 10 h 30.
« Le front s'était stabilisé là », indique le premier magistrat, dont la famille est implantée à Ambrief « depuis 1592 ». Aussi a-t-il même des photos de l'époque. Entre octobre 1914 et pendant une partie de l'année 1915, raconte-t-il, le village « servait de premier camp de repos ».
Des combattants ont orné des pierres sur le mur d'un bâtiment, à l'entrée d'Ambrief.
« C'était la vitrine ! », imagine Jérôme Butet, membre de l'association Soissonnais 14-18, indiquant que, si les inscriptions gravées ne sont pas rares dans le secteur, « dans cette configuration, ce n'est pas ordinaire ! » Il s'y connaît puisqu'il vient de réaliser un travail universitaire sur les graffitis de la Grande Guerre. Professeur au lycée Le Corbusier, il a proposé à la mairie de susciter un travail des élèves scolarisés dans son établissement. Ainsi, des projets, se souvient-il, ont été préparés par des jeunes en terminale bac pro, dans la section étude de prix, avec leur professeur d'architecture, Laurent Tissot. « On les a présentés au conseil municipal d'Ambrief, les élus ont été enthousiastes. »
Une botte allemande
À présent, les élèves préparant un CAP maçonnerie ont investi les lieux pour constituer un mur avec ces pierres, réaliser un soubassement en béton, le tout contre le bâtiment communal.
Les abords devraient également être aménagés par la suite avec une aire de repos, un banc et même un espace fleuri.
Chacun pourra se recueillir devant les noms inscrits sur la plaque, jusque-là conservée à l'intérieur de la mairie et définitivement exposée à l'extérieur par la suite.
Le maire devrait même prononcer quelques mots sur les circonstances du décès de certains. Il est aussi désireux de montrer les inscriptions et dessins, évoquant, par exemple, celui représentant « la botte allemande grignotée par un rat ». Tout un symbole
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ambrief-un-mur-du-souvenir-pour-la-commune-loeuvre-des-soldats-en-pleine-lumier
François Hiriat : « Baxi ne disparaîtra pas »
À la veille du comité central d'entreprise qui se réunit, ce matin, au Blanc-Mesnil, François Hiriart, le PDG de Baxi France, a expliqué à l'union la stratégie du groupe BDR Thermea.
Lndi, le PDG de Baxi France, François Hiriart, était, dès potron-minet, sur le site soissonnais de la société. Sans surprise, il y a reçu un accueil plutôt frisquet.
Au lendemain de ce rendez-vous manqué avec le personnel et à la veille du comité central d'entreprise qui se tiendra ce matin au Blanc-Mesnil, François Hiriart - qui n'avait jusque-là pas souhaité s'exprimer - a détaillé, pour l'union, les raisons qui ont conduit à la fermeture programmée de l'usine soissonnaise et la stratégie que veulent mettre en œuvre l'entreprise et le groupe BDR Thermea* auquel elle appartient.
« En venant lundi matin sur le site de Soissons, mon but était d'aller au-devant des salariés et de tenter de leur parler. Il me semblait important que le patron soit là. Cela n'a pas été possible. Mon message, c'était : Il faut travailler ensemble pour amortir le maximum du choc social », explique François Hiriart, qui assure que son objectif est de « sauver le maximum d'emplois » et qu'il « comprend le stress énorme que constitue cette fermeture pour les salariés et les représentants syndicaux. Ce que je souhaite, c'est que, même dans des circonstances difficiles, il y ait du respect et qu'on retrouve de la sérénité. »
Le PDG de Baxi France confie : « Cela fait des mois qu'on voit que la production de chaudières au sol est en chute libre. Fin septembre, elle est à - 20 % sur la France. Un chiffre est parlant : en 2004, le site de Soissons produisait plus de 81 000 chaudières. Nous en sommes à moins de 30 000 cette année. Le volume produit est en dessous de la taille critique. »
Peu à peu, le marché des chaudières murales a supplanté celui des chaudières au sol, notamment pour répondre aux nouvelles normes de construction. Avec ses filiales présentes dans l'Hexagone, Baxi et De Dietrich, le groupe BDR Thermea travaille d'ailleurs aussi dans les domaines des pompes à chaleur, du solaire et des radiateurs panneaux.
« C'est un dossier compliqué qui a demandé trois ans de réflexion. On ne s'y engage pas de gaieté de cœur », souligne François Hiriart, en insistant sur le fait qu'il s'agit « d'un projet franco-français, sans délocalisation ».
La stratégie du groupe est de « regrouper » la production de chaudières sur le site alsacien de Mertzwiller (Bas-Rhin) et de renforcer le site logistique Baxi de Villers-Cotterêts.
Créé il y a quinze ans, il emploie une trentaine de personnes et il est « considéré comme l'un des meilleurs sites de logistique, si ce n'est le meilleur » par le groupe BDR.
Les pistes de reclassement
« Nous y avons un projet d'extension, avec quarante emplois créés, qui seront réservés en priorité aux salariés de Soissons », indique le patron de Baxi. Il table aussi, dans les deux ans qui viennent, sur des mesures d'âge pour une vingtaine de salariés.
Sur l'effectif actuel de 140 personnes, se poserait encore le problème pour quatre-vingts salariés. « Nous avons une première piste sur notre site de fabrication de radiateurs panneaux de la Charité-sur-Loire (Nièvre) où il y a une montée en puissance », indique François Hiriart, qui table là sur « une petite dizaine de postes ».
« Il reste donc la question de l'emploi pour environ soixante-dix salariés et le problème du site. J'ai besoin des élus et des pouvoirs publics et j'espère que chacun jouera son rôle », indique le PDG, en évoquant « les nombreux appels téléphoniques » échangés, tant avec la députée Mme Bechtel qu'avec le commissaire au redressement productif Paul Coulon, qu'il rencontrera d'ailleurs, ce soir, à la préfecture de région à Amiens.
Si la société est passée, il y a quelques années, tout près de la liquidation pure et simple, son PDG se veut aujourd'hui rassurant : « Baxi n'a pas disparu et ne disparaîtra pas. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/francois-hiriat-baxi-ne-disparaitra-pas
Lndi, le PDG de Baxi France, François Hiriart, était, dès potron-minet, sur le site soissonnais de la société. Sans surprise, il y a reçu un accueil plutôt frisquet.
Au lendemain de ce rendez-vous manqué avec le personnel et à la veille du comité central d'entreprise qui se tiendra ce matin au Blanc-Mesnil, François Hiriart - qui n'avait jusque-là pas souhaité s'exprimer - a détaillé, pour l'union, les raisons qui ont conduit à la fermeture programmée de l'usine soissonnaise et la stratégie que veulent mettre en œuvre l'entreprise et le groupe BDR Thermea* auquel elle appartient.
« En venant lundi matin sur le site de Soissons, mon but était d'aller au-devant des salariés et de tenter de leur parler. Il me semblait important que le patron soit là. Cela n'a pas été possible. Mon message, c'était : Il faut travailler ensemble pour amortir le maximum du choc social », explique François Hiriart, qui assure que son objectif est de « sauver le maximum d'emplois » et qu'il « comprend le stress énorme que constitue cette fermeture pour les salariés et les représentants syndicaux. Ce que je souhaite, c'est que, même dans des circonstances difficiles, il y ait du respect et qu'on retrouve de la sérénité. »
Le PDG de Baxi France confie : « Cela fait des mois qu'on voit que la production de chaudières au sol est en chute libre. Fin septembre, elle est à - 20 % sur la France. Un chiffre est parlant : en 2004, le site de Soissons produisait plus de 81 000 chaudières. Nous en sommes à moins de 30 000 cette année. Le volume produit est en dessous de la taille critique. »
Peu à peu, le marché des chaudières murales a supplanté celui des chaudières au sol, notamment pour répondre aux nouvelles normes de construction. Avec ses filiales présentes dans l'Hexagone, Baxi et De Dietrich, le groupe BDR Thermea travaille d'ailleurs aussi dans les domaines des pompes à chaleur, du solaire et des radiateurs panneaux.
« C'est un dossier compliqué qui a demandé trois ans de réflexion. On ne s'y engage pas de gaieté de cœur », souligne François Hiriart, en insistant sur le fait qu'il s'agit « d'un projet franco-français, sans délocalisation ».
La stratégie du groupe est de « regrouper » la production de chaudières sur le site alsacien de Mertzwiller (Bas-Rhin) et de renforcer le site logistique Baxi de Villers-Cotterêts.
Créé il y a quinze ans, il emploie une trentaine de personnes et il est « considéré comme l'un des meilleurs sites de logistique, si ce n'est le meilleur » par le groupe BDR.
Les pistes de reclassement
« Nous y avons un projet d'extension, avec quarante emplois créés, qui seront réservés en priorité aux salariés de Soissons », indique le patron de Baxi. Il table aussi, dans les deux ans qui viennent, sur des mesures d'âge pour une vingtaine de salariés.
Sur l'effectif actuel de 140 personnes, se poserait encore le problème pour quatre-vingts salariés. « Nous avons une première piste sur notre site de fabrication de radiateurs panneaux de la Charité-sur-Loire (Nièvre) où il y a une montée en puissance », indique François Hiriart, qui table là sur « une petite dizaine de postes ».
« Il reste donc la question de l'emploi pour environ soixante-dix salariés et le problème du site. J'ai besoin des élus et des pouvoirs publics et j'espère que chacun jouera son rôle », indique le PDG, en évoquant « les nombreux appels téléphoniques » échangés, tant avec la députée Mme Bechtel qu'avec le commissaire au redressement productif Paul Coulon, qu'il rencontrera d'ailleurs, ce soir, à la préfecture de région à Amiens.
Si la société est passée, il y a quelques années, tout près de la liquidation pure et simple, son PDG se veut aujourd'hui rassurant : « Baxi n'a pas disparu et ne disparaîtra pas. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/francois-hiriat-baxi-ne-disparaitra-pas
mercredi 24 octobre 2012
SNCF : les trains qui roulent dans l'Aisne
Le mouvement de grève à la SNCF débute ce mercredi soir à 19h, se poursuivra toute la journée de jeudi pour se terminer officiellement vendredi matin à 8 heures. Les prévisions de trafic , les trains qui roulent : tout est là.
Si vous devez empruntez le train, vous pouvez vérifier sur Infolignes s'il est maintenu ou non.
La SNCF a informé les usagers qui avaient déjà acheté des billets par SMS et mail précisant que "Si votre train est supprimé, vous pouvez voyager sur le même trajet sans échanger votre billet initial jusqu'au 26 octobre minuit, sans surcoût et sans garantie de place assise."
Les prévisions de trafic en Picardie :
TER : le trafic sera en moyenne de 2 trains sur 3
Intercités : le trafic sera normal sur Amiens – Paris et St Quentin - Paris
TGV au départ de la gare Haute Picardie : 1 TGV sur 2
LISTE DES TRAINS DEVANT CIRCULER LE 25 OCTOBRE
* Relation assurée par autocar
Service normal :
Axe Amiens – Paris
Axe Beauvais – Paris Service normal
Axe Amiens – Compiègne
Axe Beauvais – Creil
Axe Abbeville – Le Tréport : Programme bleu
Départs d'Abbeville 06h41* – 08h57* – 11h57* – 13h47* – 15h54* – 17h45
Départs Le Tréport 06h28 – 07h52* – 09h56* – 11h52* – 16h07* – 17h09*
Axe Amiens – Abbeville : Programme bleu
Départs d’Amiens 06h54 – 07h24 – 07h54 – 12h54 – 14h24 – 15h54 - 16h54 – 17h24 – 18h21 – 18h54
Départs d'Abbeville 06h12 – 06h42 – 06h56 – 07h21 – 07h45 – 09h04 – 11h20 – 16h21 – 17h21 – 19h21
Axe Amiens – Albert : Programme bleu
Départs d’Amiens 05h54 – 06h38 – 06h54 – 07h38 – 07h54 – 12h38 – 12h54 – 14h38 – 15h54 – 16h54 - 17h38 – 17h54 – 18h38 – 18h54 – 19h38
Départs d'Albert 04h51* – 06h35 – 06h58 – 07h35 – 08h01 – 08h10 – 08h35 – 13h01 – 13h35 – 16h35 – 17h01 – 17h35 - 18h01 – 18h35 – 19h35 – 20h01
Axe Amiens – Laon : Programme bleu
Départs d’Amiens 06h18 – 07h18 – 12h18 – 14h59 – 17h18 – 18h18 – 19h18 (limité Tergnier)
Départs de Laon 05h58 – 06h41 – 11h58 – 12h58 – 15h58 – 16h59 – 17h58
Axe Amiens – St Quentin : Programme bleu
Départs d’Amiens 07h42 – 12h42 – 16h42 – 18h42
Départs de St Quentin 06h22 – 07h22 – 17h22 – 18h22
Axe Paris – Creil : Programme bleu
Départs de Paris 06h28 - 06h49 – 07h01 – 07h10 - 07h28 – 08h07 – 08h28 - 09h07 – 09h10 - 10h49 – 11h10 - 12h07 – 12h10 – 12h28 – 14h07 - 14h49 - 16h10 – 17h04 – 17h07 - 17h28 – 17h49 – 18h04 – 18h07 - 18h28 – 18h49 – 19h07 – 19h10 – 20h07 – 20h10 – 20h28 - 21h28 - 22h28
Départs de Creil 05h41 – 06h17 - 06h27 – 07h18 – 07h27 – 07h40 – 08h07 - 08h17 – 08h27 - 09h07 – 10h17 – 11h07 – 11h27 – 12h07 – 12h39 - 13h17 – 13h27 – 14h07 – 15h39 - 16h07 - 17h27 – 18h07 - 18h17 – 18h27 – 18h41 -19h07 – 19h18 - 19h41 – 20h27 – 21h07 – 21h27 – 23h01
Axe Paris - Laon : Programme bleu
Départs de Paris 07h01 – 08h30 – 11h58 – 13h26 – 17h42 – 18h42 – 20h08 – 21h16
Départs de Laon 05h30 – 06h33 – 07h55 – 11h26 – 14h11 – 16h24 – 18h11 – 19h06
Axe Paris Nord – St Quentin : Programme bleu
Départs de Paris 07h37 – 08h07 - 09h07 – 10h37 – 10h49 – 12h07 - 14h07 – 14h37 – 14h49 - 16h37 – 17h04 – 17h37 – 18h04 – 18h37 – 19h07 – 20h07
Départs de St Quentin 05h13 – 06h06 – 06h13 – 07h06 – 07h13 – 08h06 – 10h13 – 10h26 - 12h13 – 14h06 - 16h06 – 16h13 – 17h13 – 18h06 - 19h13 – 20h17
Axe Laon – Hirson : Programme bleu
Départs de Laon 06h45 – 12h45 – 17h23* – 18h36
Départs d’Hirson 06h33 – 07h06* – 12h43 – 17h20 – 18h35*
Axe Beauvais – Le Tréport : Programme orange
Départs de Beauvais 07h32* – 12h43 - 18h35
Départs du Tréport 05h49 – 11h50* - 17h13*
Axe Amiens – Boulogne : Programme orange
Départs d’Amiens 07h24 – 18h21
Départs de Boulogne 05h05
Des cars sont mis en place entre Rue, Noyelles et Abbeville
Axe Amiens – Lille : Programme orange
Départs d’Amiens 06h38 – 07h38 – 12h38 – 14h38 – 17h38 - 18h38– 19h38
Départs de Lille 06h02 – 07h02 – 12h02 – 16h02 – 17h02 – 19h02
Axe Amiens – Rouen : Programme orange
Départs d’Amiens 07h19 – 16h57 (limité Serqueux) – 18h27 – 18h57* (limité Serqueux)
Départs de Rouen 06h10 (origine Serqueux) – 06h18 – 16h18* - 18h18
Axe St Quentin – Busigny : Programme orange
Départs de St Quentin 06h04 – 07h05 – 12h05 – 16h05 – 18h05* – 18h52 – 21h05
Départs de Busigny 04h18* – 05h38 – 06h02* – 06h29* – 06h49 –09h37 – 13h37 – 16h26* – 18h38 – 19h37
Gare TGV Haute Picardie : Programme bleu
Départs de la gare TGV Haute Picardie, à destination de :
Montpellier : 06h51
Bordeaux : 07h46
Nantes : 09h15
Rennes : 09h15
Strasbourg : 17h55
Marseille : 18h55
Lille : 09h49 – 11h09 – 12h08 - 13h14 – 21h49
Bruxelles : 21h14
Arrivées à la gare TGV Haute Picardie, en provenance de :
Marseille : 11h07
Bordeaux : 13h12 – 21h12
Nantes : 9h44 – 21h44
Rennes : 9h44 – 21h44
Strasbourg : 12h06
Lille : 06h49 – 07h43 – 09h06 – 17h53 – 18h53
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sncf-les-trains-qui-roulent-dans-laisne
Si vous devez empruntez le train, vous pouvez vérifier sur Infolignes s'il est maintenu ou non.
La SNCF a informé les usagers qui avaient déjà acheté des billets par SMS et mail précisant que "Si votre train est supprimé, vous pouvez voyager sur le même trajet sans échanger votre billet initial jusqu'au 26 octobre minuit, sans surcoût et sans garantie de place assise."
Les prévisions de trafic en Picardie :
TER : le trafic sera en moyenne de 2 trains sur 3
Intercités : le trafic sera normal sur Amiens – Paris et St Quentin - Paris
TGV au départ de la gare Haute Picardie : 1 TGV sur 2
LISTE DES TRAINS DEVANT CIRCULER LE 25 OCTOBRE
* Relation assurée par autocar
Service normal :
Axe Amiens – Paris
Axe Beauvais – Paris Service normal
Axe Amiens – Compiègne
Axe Beauvais – Creil
Axe Abbeville – Le Tréport : Programme bleu
Départs d'Abbeville 06h41* – 08h57* – 11h57* – 13h47* – 15h54* – 17h45
Départs Le Tréport 06h28 – 07h52* – 09h56* – 11h52* – 16h07* – 17h09*
Axe Amiens – Abbeville : Programme bleu
Départs d’Amiens 06h54 – 07h24 – 07h54 – 12h54 – 14h24 – 15h54 - 16h54 – 17h24 – 18h21 – 18h54
Départs d'Abbeville 06h12 – 06h42 – 06h56 – 07h21 – 07h45 – 09h04 – 11h20 – 16h21 – 17h21 – 19h21
Axe Amiens – Albert : Programme bleu
Départs d’Amiens 05h54 – 06h38 – 06h54 – 07h38 – 07h54 – 12h38 – 12h54 – 14h38 – 15h54 – 16h54 - 17h38 – 17h54 – 18h38 – 18h54 – 19h38
Départs d'Albert 04h51* – 06h35 – 06h58 – 07h35 – 08h01 – 08h10 – 08h35 – 13h01 – 13h35 – 16h35 – 17h01 – 17h35 - 18h01 – 18h35 – 19h35 – 20h01
Axe Amiens – Laon : Programme bleu
Départs d’Amiens 06h18 – 07h18 – 12h18 – 14h59 – 17h18 – 18h18 – 19h18 (limité Tergnier)
Départs de Laon 05h58 – 06h41 – 11h58 – 12h58 – 15h58 – 16h59 – 17h58
Axe Amiens – St Quentin : Programme bleu
Départs d’Amiens 07h42 – 12h42 – 16h42 – 18h42
Départs de St Quentin 06h22 – 07h22 – 17h22 – 18h22
Axe Paris – Creil : Programme bleu
Départs de Paris 06h28 - 06h49 – 07h01 – 07h10 - 07h28 – 08h07 – 08h28 - 09h07 – 09h10 - 10h49 – 11h10 - 12h07 – 12h10 – 12h28 – 14h07 - 14h49 - 16h10 – 17h04 – 17h07 - 17h28 – 17h49 – 18h04 – 18h07 - 18h28 – 18h49 – 19h07 – 19h10 – 20h07 – 20h10 – 20h28 - 21h28 - 22h28
Départs de Creil 05h41 – 06h17 - 06h27 – 07h18 – 07h27 – 07h40 – 08h07 - 08h17 – 08h27 - 09h07 – 10h17 – 11h07 – 11h27 – 12h07 – 12h39 - 13h17 – 13h27 – 14h07 – 15h39 - 16h07 - 17h27 – 18h07 - 18h17 – 18h27 – 18h41 -19h07 – 19h18 - 19h41 – 20h27 – 21h07 – 21h27 – 23h01
Axe Paris - Laon : Programme bleu
Départs de Paris 07h01 – 08h30 – 11h58 – 13h26 – 17h42 – 18h42 – 20h08 – 21h16
Départs de Laon 05h30 – 06h33 – 07h55 – 11h26 – 14h11 – 16h24 – 18h11 – 19h06
Axe Paris Nord – St Quentin : Programme bleu
Départs de Paris 07h37 – 08h07 - 09h07 – 10h37 – 10h49 – 12h07 - 14h07 – 14h37 – 14h49 - 16h37 – 17h04 – 17h37 – 18h04 – 18h37 – 19h07 – 20h07
Départs de St Quentin 05h13 – 06h06 – 06h13 – 07h06 – 07h13 – 08h06 – 10h13 – 10h26 - 12h13 – 14h06 - 16h06 – 16h13 – 17h13 – 18h06 - 19h13 – 20h17
Axe Laon – Hirson : Programme bleu
Départs de Laon 06h45 – 12h45 – 17h23* – 18h36
Départs d’Hirson 06h33 – 07h06* – 12h43 – 17h20 – 18h35*
Axe Beauvais – Le Tréport : Programme orange
Départs de Beauvais 07h32* – 12h43 - 18h35
Départs du Tréport 05h49 – 11h50* - 17h13*
Axe Amiens – Boulogne : Programme orange
Départs d’Amiens 07h24 – 18h21
Départs de Boulogne 05h05
Des cars sont mis en place entre Rue, Noyelles et Abbeville
Axe Amiens – Lille : Programme orange
Départs d’Amiens 06h38 – 07h38 – 12h38 – 14h38 – 17h38 - 18h38– 19h38
Départs de Lille 06h02 – 07h02 – 12h02 – 16h02 – 17h02 – 19h02
Axe Amiens – Rouen : Programme orange
Départs d’Amiens 07h19 – 16h57 (limité Serqueux) – 18h27 – 18h57* (limité Serqueux)
Départs de Rouen 06h10 (origine Serqueux) – 06h18 – 16h18* - 18h18
Axe St Quentin – Busigny : Programme orange
Départs de St Quentin 06h04 – 07h05 – 12h05 – 16h05 – 18h05* – 18h52 – 21h05
Départs de Busigny 04h18* – 05h38 – 06h02* – 06h29* – 06h49 –09h37 – 13h37 – 16h26* – 18h38 – 19h37
Gare TGV Haute Picardie : Programme bleu
Départs de la gare TGV Haute Picardie, à destination de :
Montpellier : 06h51
Bordeaux : 07h46
Nantes : 09h15
Rennes : 09h15
Strasbourg : 17h55
Marseille : 18h55
Lille : 09h49 – 11h09 – 12h08 - 13h14 – 21h49
Bruxelles : 21h14
Arrivées à la gare TGV Haute Picardie, en provenance de :
Marseille : 11h07
Bordeaux : 13h12 – 21h12
Nantes : 9h44 – 21h44
Rennes : 9h44 – 21h44
Strasbourg : 12h06
Lille : 06h49 – 07h43 – 09h06 – 17h53 – 18h53
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sncf-les-trains-qui-roulent-dans-laisne
Hommage au caporal-chef Bériot victime d'un attentat
Une cérémonie empreinte d'émotion s'est déroulée, samedi en fin d'après-midi, place Fernand-Marquigny, en mémoire de Laurent Bériot. Ce caporal-chef du 1er régiment de parachutistes de Pau a disparu, à l'âge de 19 ans, dans l'attentat suicide du Drakkar, une base militaire située à Beyrouth au Liban, le 23 octobre 1983.
Un événement dramatique qui avait suscité beaucoup d'émotion en France et, en particulier, à Soissons où Laurent Bériot demeurait avec toute sa famille. L'association Arfva/Drakkar a organisé une commémoration poignante, en présence de très nombreuses personnalités civiles et militaires, associations patriotiques et quinze rescapés de cet attentat, ainsi que tous les membres de la famille du regretté disparu. Un hommage marqué par de nombreux dépôts de gerbe et une forte cohorte de porte-drapeaux.
En prélude a été rappelé le contexte de l'époque, dans le cadre du renfort de la force multinationale de sécurité à Beyrouth pendant la guerre civile au Liban. Auparavant, une cérémonie s'était déroulée au cimetière municipal devant la tombe du défunt, suivie d'une messe en l'église Saint-Waast.
Près de trente années se sont écoulées depuis ce drame et les Soissonnais ainsi que ses camarades de régiment n'ont pas oublié le caporal-chef Bériot. La solidarité existe toujours malgré le temps qui passe......... Voir cet article et ses illustrations sur ce lien ....http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/hommage-au-caporal-chef-beriot-victime-dun-attentat
Un événement dramatique qui avait suscité beaucoup d'émotion en France et, en particulier, à Soissons où Laurent Bériot demeurait avec toute sa famille. L'association Arfva/Drakkar a organisé une commémoration poignante, en présence de très nombreuses personnalités civiles et militaires, associations patriotiques et quinze rescapés de cet attentat, ainsi que tous les membres de la famille du regretté disparu. Un hommage marqué par de nombreux dépôts de gerbe et une forte cohorte de porte-drapeaux.
En prélude a été rappelé le contexte de l'époque, dans le cadre du renfort de la force multinationale de sécurité à Beyrouth pendant la guerre civile au Liban. Auparavant, une cérémonie s'était déroulée au cimetière municipal devant la tombe du défunt, suivie d'une messe en l'église Saint-Waast.
Près de trente années se sont écoulées depuis ce drame et les Soissonnais ainsi que ses camarades de régiment n'ont pas oublié le caporal-chef Bériot. La solidarité existe toujours malgré le temps qui passe......... Voir cet article et ses illustrations sur ce lien ....http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/hommage-au-caporal-chef-beriot-victime-dun-attentat
Découvrez la nouvelle page du site Internet entièrement consacrée au projet d'éco-quartier de CROUY
Très détaillée cette page présente en premier lieu le principe des éco-quartiers ainsi que les problématiques que l'on y retrouve généralement.
De nombreuses photos prises en France ou aux Pays Bas illustrent le propos. L'éco-quartier de CROUY est le premier projet d'aménagement durable développé sur le Soissonnais. Il répond à une forte demande en logements sur le territoire et met en œuvre des principes de développement urbain maîtrisé, favorisant les modes de circulation douce, tout en préservant et valorisant l'environnement et le paysage.
Ainsi vous pouvez découvrir dans cette page les objectifs du projet, le site choisi, les partenaires qui concourent à son élaboration, les étapes de la concertation ainsi que les plans d'aménagement qui présentent l'organisation générale du futur quartier.
mardi 23 octobre 2012
Restaurant interadministratif : « Il n'y a pas de rat ici »
Le président de l'association qui gère le restaurant interadministratif répond à la polémique : il n'y a ici pas l'ombre d'un rat.
Comment ça des rats qui sortent du restaurant interadministratif pour aller se planquer dans les jardins de l'hôtel de ville ?
Jean-Paul Julhès, président de l'association qui gère ce restaurant dans les sous-sols de l'hôtel de ville, et Marielou De Vale, qui en est la responsable depuis presque 14 ans, parlent d'une même voix : « Je n'ai jamais vu trace d'un rat, pas même d'une souris. Il n'y a pas de rat ici ». Visite des locaux à l'appui.
Ils répondent ainsi à Édith Errasti, qui avait écrit sur le blog de l'opposition municipale, et redit dans nos colonnes, qu'elle avait vu des rongeurs sortir de ces lieux pour aller ce cacher dans les jardins de l'hôtel de ville, au moment des journées du patrimoine.
« Sur place »
Jean-Paul Julhès avait peu goûté cette affirmation, d'autant que le restaurant interadministratif accuse une petite baisse de fréquentation « depuis que le rectorat a revu sa position : les enseignants ne sont plus aidés par l'administration à hauteur de 40 % parce qu'il y a des cantines dans les établissements. »
Le restaurant interadministratif sert actuellement 130 repas en moyenne « avec des pointes à 180 », souligne Marielou De Vale. Les salariés d'une douzaine d'administrations à Soissons peuvent y déjeuner. Les repas sont « faits sur place ».
L'association des utilisateurs du restaurant interadministratif de Soissons, fait appel pour cela à un prestataire de service. « Les menus sont validés par une diététicienne qui vient faire une animation deux fois par an. »
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/restaurant-interadministratif-il-ny-a-pas-de-rat-ici
Comment ça des rats qui sortent du restaurant interadministratif pour aller se planquer dans les jardins de l'hôtel de ville ?
Jean-Paul Julhès, président de l'association qui gère ce restaurant dans les sous-sols de l'hôtel de ville, et Marielou De Vale, qui en est la responsable depuis presque 14 ans, parlent d'une même voix : « Je n'ai jamais vu trace d'un rat, pas même d'une souris. Il n'y a pas de rat ici ». Visite des locaux à l'appui.
Ils répondent ainsi à Édith Errasti, qui avait écrit sur le blog de l'opposition municipale, et redit dans nos colonnes, qu'elle avait vu des rongeurs sortir de ces lieux pour aller ce cacher dans les jardins de l'hôtel de ville, au moment des journées du patrimoine.
« Sur place »
Jean-Paul Julhès avait peu goûté cette affirmation, d'autant que le restaurant interadministratif accuse une petite baisse de fréquentation « depuis que le rectorat a revu sa position : les enseignants ne sont plus aidés par l'administration à hauteur de 40 % parce qu'il y a des cantines dans les établissements. »
Le restaurant interadministratif sert actuellement 130 repas en moyenne « avec des pointes à 180 », souligne Marielou De Vale. Les salariés d'une douzaine d'administrations à Soissons peuvent y déjeuner. Les repas sont « faits sur place ».
L'association des utilisateurs du restaurant interadministratif de Soissons, fait appel pour cela à un prestataire de service. « Les menus sont validés par une diététicienne qui vient faire une animation deux fois par an. »
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/restaurant-interadministratif-il-ny-a-pas-de-rat-ici
lundi 22 octobre 2012
Concert de L : le public M
Le Mail - Scène culturelle de Soissons accueillait, vendredi soir, la chanteuse L, un concert qui repose sur «Initiale», le titre de son premier album dont elle a signé les textes.
Entourée de quatre musiciens, voix de velours et joli minois, L fait voyager les spectateurs dans un univers où l'irréel se joue du réel, où le rêve s'enivre du présent.
Avec une infinie délicatesse, que vient parfois perturber un son à la limite de la saturation, L prend le public par la main, et le public M et en redemande, comme emporté par la grâce de la chanteuse. L, juste L et lui, lui et L.
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/concert-de-l-le-public-m
Entourée de quatre musiciens, voix de velours et joli minois, L fait voyager les spectateurs dans un univers où l'irréel se joue du réel, où le rêve s'enivre du présent.
Avec une infinie délicatesse, que vient parfois perturber un son à la limite de la saturation, L prend le public par la main, et le public M et en redemande, comme emporté par la grâce de la chanteuse. L, juste L et lui, lui et L.
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/concert-de-l-le-public-m
dimanche 21 octobre 2012
Alexandre Dumas et sa maison forestière
VILLERS-COTTRETS (Aisne). Alexandre Dumas a fréquenté Maison-Neuve, en forêt de Villers-Cotterêts. Il y a même situé l'histoire d'un de ses romans. Une bâtisse aujourd'hui menacée par le projet d'échangeur de Montgobert.
ELLE a connu le XVIIIe siècle, traversé la Révolution, résisté à la guerre de 1870, à deux conflits mondiaux, a bien failli être démolie, dans les années soixante-dix, avant d'être sauvée et même restaurée. La maison forestière Maison-Neuve, entre Montgobert et Puiseux-en-Retz, est une survivante.
Invité à une chasse
Au-delà de ces vicissitudes, qui parfois contribuent à faire la renommée d'une œuvre d'art, d'un tableau ou d'une sculpture, cette maison typique de son époque, comporte aussi un intérêt littéraire.
En effet, le romancier Alexandre Dumas a fréquenté cet endroit dans sa jeunesse. Il y plantera même le décor d'un de ses romans (lire encadré).
Dumas a 14 ans lorsqu'il est pour la première fois invité à une chasse, par M. Deviolaine, l'inspecteur forestier. « Le rendez-vous était à Maison Neuve, au chemin de Soissons, chez un garde-chef nomme Choron », écrit-il dans ses mémoires (tome II, chapitre 42). Quelques années plus tard, à 24 ans, il reviendra à Maison-Neuve alors qu'il passe quelques jours chez sa mère. Il s'y trouve lorsque Choron trouve la mort le jour de Noël 1826.
Etienne-Nicolas Choron était garde-forestier chef. Il avait succédé à son propre père, si bien que Maison-Neuve fut habitée par eux quarante années de suite.
Un carrefour tout proche porte d'ailleurs leur nom. Leur dimension romanesque n'a pas échappé à l'écrivain cotterézien. Il évoque, dans ses mémoires (chapitre 42, tome II), les circonstances de la mort de Choron - il prit une balle perdue en rangeant un pistolet - et bien d'autres aventures, plus fantasques les unes que les autres : « Choron et le chien enragé - le sanglier qu'il avait tué ressuscite ». Il relate dans un autre chapitre comment Choron tua d'une balle perdue son oncle Berthelin au cours d'une chasse au sanglier ; à la suite de quoi il aurait pris l'engagement que de sa vie il ne prendrait plus ni carabine, ni fusil et que, désormais, il tuerait le sanglier au couteau…
Pour la petite histoire, Paul Girod, ancien sénateur et président du conseil général de l'Aisne, est un descendant des Choron.
En 1972, cette maison forestière remarquable par son témoignage et son histoire, était promise à la démolition dans le cadre du doublement de cette partie de la RN 2. Elle est à nouveau menacée, par la réalisation prochaine de l'échangeur du carrefour de Montgobert sur cette même nationale. D'ardents défenseurs du patrimoine s'y opposent. Ils ont repris le flambeau de ceux qui, voilà quarante ans, sont parvenus à la sauver.
ELLE a connu le XVIIIe siècle, traversé la Révolution, résisté à la guerre de 1870, à deux conflits mondiaux, a bien failli être démolie, dans les années soixante-dix, avant d'être sauvée et même restaurée. La maison forestière Maison-Neuve, entre Montgobert et Puiseux-en-Retz, est une survivante.
Invité à une chasse
Au-delà de ces vicissitudes, qui parfois contribuent à faire la renommée d'une œuvre d'art, d'un tableau ou d'une sculpture, cette maison typique de son époque, comporte aussi un intérêt littéraire.
En effet, le romancier Alexandre Dumas a fréquenté cet endroit dans sa jeunesse. Il y plantera même le décor d'un de ses romans (lire encadré).
Dumas a 14 ans lorsqu'il est pour la première fois invité à une chasse, par M. Deviolaine, l'inspecteur forestier. « Le rendez-vous était à Maison Neuve, au chemin de Soissons, chez un garde-chef nomme Choron », écrit-il dans ses mémoires (tome II, chapitre 42). Quelques années plus tard, à 24 ans, il reviendra à Maison-Neuve alors qu'il passe quelques jours chez sa mère. Il s'y trouve lorsque Choron trouve la mort le jour de Noël 1826.
Etienne-Nicolas Choron était garde-forestier chef. Il avait succédé à son propre père, si bien que Maison-Neuve fut habitée par eux quarante années de suite.
Un carrefour tout proche porte d'ailleurs leur nom. Leur dimension romanesque n'a pas échappé à l'écrivain cotterézien. Il évoque, dans ses mémoires (chapitre 42, tome II), les circonstances de la mort de Choron - il prit une balle perdue en rangeant un pistolet - et bien d'autres aventures, plus fantasques les unes que les autres : « Choron et le chien enragé - le sanglier qu'il avait tué ressuscite ». Il relate dans un autre chapitre comment Choron tua d'une balle perdue son oncle Berthelin au cours d'une chasse au sanglier ; à la suite de quoi il aurait pris l'engagement que de sa vie il ne prendrait plus ni carabine, ni fusil et que, désormais, il tuerait le sanglier au couteau…
Pour la petite histoire, Paul Girod, ancien sénateur et président du conseil général de l'Aisne, est un descendant des Choron.
En 1972, cette maison forestière remarquable par son témoignage et son histoire, était promise à la démolition dans le cadre du doublement de cette partie de la RN 2. Elle est à nouveau menacée, par la réalisation prochaine de l'échangeur du carrefour de Montgobert sur cette même nationale. D'ardents défenseurs du patrimoine s'y opposent. Ils ont repris le flambeau de ceux qui, voilà quarante ans, sont parvenus à la sauver.
Le Soissonnais 3e du trophée junior à l'Euro-Racecar Fournillier : une saison en demi-teinte
Romain Fournillier vient de terminer sa saison de l'Euro-Racecar. S'il est 7e au classement général, il monte sur la 3e marche du podium au Trophée junior.
IL est un peu déçu, mais joue tout de même la positive attitude.
Le jeune Soissonnais Romain Fournillier a, le week-end dernier, couru sa dernière manche de l'Euro-Racecar sur le circuit du Mans (Sarthe), là où il avait fait ses armes de pilote il y a trois ans.
Un joli tour à Tours
Après deux saisons en Open, Romain Fournillier courrait cette année en catégorie Élite. Sous les couleurs de la team Over-Drive, que manage Philippe de Korsak, il y partageait une Dodge Challenger de 450 chevaux avec Alain Grand, un chef d'entreprise de Carcassonne de 60 ans, qui fait de la compétition automobile depuis quatre décennies ! L'eau et le feu, l'expérience et la jeunesse.
« Je suis plutôt satisfait de la saison, même si on n'a pas réussi à le concrétiser en course », explique Romain Fournillier, qui pointe néanmoins les bons moments de la saison, comme la pole position enregistrée à Tours, la première course sur un circuit ovale en Europe.
Au classement général, le pilote soissonnais finit 7e mais il monte sur le podium au Trophée junior avec la 3e place. Over-Drive termine, par ailleurs, 3e au championnat team.
« Il y a un peu de déception. Si je n'avais, notamment, pas eu de soucis de freins à Valence, j'aurais perdu moins de points », confie Romain Fournillier.
Nascar ou WTTC
Pas question pour autant de se décourager. Mieux, Romain Fournillier s'est fixé de nouveaux objectifs, très ambitieux, pour la prochaine saison.
« Le but est de courir en championnat du monde, soit en Nascar aux États-Unis, soit en WTTC », annonce le pilote.
Le WTTC (World touring car championship) est un championnat du monde super-tourisme avec un concept qui se résume en une formule : « Real cars, real racing », de vraies voitures, pour de vraies courses.
Pour Romain Fournillier, avant de se jouer sur la piste, la saison se décidera auparavant sur le terrain financier.
« Nous avons l'équipe pour le faire, mais ça demande un très gros budget », reconnaît le Soissonnais. Si les partenaires financiers sont trouvés, il faut ensuite « faire son trou ».
S'il ne réussit pas à passer la vitesse supérieure, Romain Fournillier devrait refaire une saison d'Euro-Racecar
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/le-soissonnais-3e-du-trophee-junior-a-leuro-racecar-fournillier-une-saison-en-d
IL est un peu déçu, mais joue tout de même la positive attitude.
Le jeune Soissonnais Romain Fournillier a, le week-end dernier, couru sa dernière manche de l'Euro-Racecar sur le circuit du Mans (Sarthe), là où il avait fait ses armes de pilote il y a trois ans.
Un joli tour à Tours
Après deux saisons en Open, Romain Fournillier courrait cette année en catégorie Élite. Sous les couleurs de la team Over-Drive, que manage Philippe de Korsak, il y partageait une Dodge Challenger de 450 chevaux avec Alain Grand, un chef d'entreprise de Carcassonne de 60 ans, qui fait de la compétition automobile depuis quatre décennies ! L'eau et le feu, l'expérience et la jeunesse.
« Je suis plutôt satisfait de la saison, même si on n'a pas réussi à le concrétiser en course », explique Romain Fournillier, qui pointe néanmoins les bons moments de la saison, comme la pole position enregistrée à Tours, la première course sur un circuit ovale en Europe.
Au classement général, le pilote soissonnais finit 7e mais il monte sur le podium au Trophée junior avec la 3e place. Over-Drive termine, par ailleurs, 3e au championnat team.
« Il y a un peu de déception. Si je n'avais, notamment, pas eu de soucis de freins à Valence, j'aurais perdu moins de points », confie Romain Fournillier.
Nascar ou WTTC
Pas question pour autant de se décourager. Mieux, Romain Fournillier s'est fixé de nouveaux objectifs, très ambitieux, pour la prochaine saison.
« Le but est de courir en championnat du monde, soit en Nascar aux États-Unis, soit en WTTC », annonce le pilote.
Le WTTC (World touring car championship) est un championnat du monde super-tourisme avec un concept qui se résume en une formule : « Real cars, real racing », de vraies voitures, pour de vraies courses.
Pour Romain Fournillier, avant de se jouer sur la piste, la saison se décidera auparavant sur le terrain financier.
« Nous avons l'équipe pour le faire, mais ça demande un très gros budget », reconnaît le Soissonnais. Si les partenaires financiers sont trouvés, il faut ensuite « faire son trou ».
S'il ne réussit pas à passer la vitesse supérieure, Romain Fournillier devrait refaire une saison d'Euro-Racecar
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/le-soissonnais-3e-du-trophee-junior-a-leuro-racecar-fournillier-une-saison-en-d
samedi 20 octobre 2012
Manifestation des Baxi Signer un livre de condoléances
Une petite centaine de salariés de Baxi, dont l'usine doit fermer d'ici deux ans, a manifesté, hier matin. Ils ont marché jusqu'en centre-ville. Place Marquigny, ils ont installé une table et ouvert un livre de condoléances qu'ils ont fait signer aux Soissonnais. Sur le trajet, ils ont distribué des tracts aux commerçants pour expliquer que « le groupe BDR Thermea a décidé de sacrifier cette usine pour encore plus de profit. 140 emplois sont menacés chez Baxi, 130 chez focast, 100, 200 ou plus chez nos sous-traitants ».
Avant le départ de la manifestation, hier matin, ils ont incendié un arbuste au milieu des croix piquées dans la cour de l'entreprise de l'avenue de Reims, leur « cimetière ». « Plus on s'approchera de la date du 24, plus on sera déterminé », assurait l'intersyndicale. Mercredi, au siège du Blanc-Mesnil, un comité central d'entreprise se tiendra. Les salariés y seront.
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/manifestation-des-baxi-signer-un-livre-de-condoleances
Avant le départ de la manifestation, hier matin, ils ont incendié un arbuste au milieu des croix piquées dans la cour de l'entreprise de l'avenue de Reims, leur « cimetière ». « Plus on s'approchera de la date du 24, plus on sera déterminé », assurait l'intersyndicale. Mercredi, au siège du Blanc-Mesnil, un comité central d'entreprise se tiendra. Les salariés y seront.
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/manifestation-des-baxi-signer-un-livre-de-condoleances
École du Centre Les enfants ont désormais leur restaurant
La municipalité a procédé à l'inauguration officielle d'un satellite de restauration scolaire avec liaison chaude, au sein même de l'école du Centre. Une cérémonie en toute simplicité, en présence des maîtres d'œuvre ainsi que de nombreux élus de la cité du Vase et des cadres municipaux en charge du domaine périscolaire. Les raisons ? Une centaine de rationnaires en moins à transporter, chaque jour, à la cuisine de Presles ; et des locaux disponibles pour créer ce satellite et contribuer à l'attractivité de l'école du Centre.
Le maire, Patrick Day, a félicité sa 1re adjointe, Mireille Tiquet, à l'origine de ce projet, Claude Nonni, adjoint aux Affaires scolaires, qui en a suivi toutes les phases avec le service des affaires scolaires qui a en été le pilote en liaison avec les enseignants et parents d'élèves. L'établissement s'est aussi enrichi de deux salles d'activités dont la réalisation a nécessité un investissement de 221 555 euros.
« Une salle de musique rénovée vient compléter ces nouvelles salles d'activités afin de donner à l'école du Centre des outils modernes et adaptés aux missions de l'école », soulignait Patrick Day.
Fréquentation en hausse
Coût de la création du satellite de restauration et de la salle de musique : 485 600 euros TTC.
Du personnel a été mis à contribution avec le recrutement de deux agents.
Depuis son ouverture, le 1er octobre, la fréquentation du restaurant scolaire a déjà connu une hausse de vingt rationnaires en passant à 110.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ecole-du-centre-les-enfants-ont-desormais-leur-restaurant
Le maire, Patrick Day, a félicité sa 1re adjointe, Mireille Tiquet, à l'origine de ce projet, Claude Nonni, adjoint aux Affaires scolaires, qui en a suivi toutes les phases avec le service des affaires scolaires qui a en été le pilote en liaison avec les enseignants et parents d'élèves. L'établissement s'est aussi enrichi de deux salles d'activités dont la réalisation a nécessité un investissement de 221 555 euros.
« Une salle de musique rénovée vient compléter ces nouvelles salles d'activités afin de donner à l'école du Centre des outils modernes et adaptés aux missions de l'école », soulignait Patrick Day.
Fréquentation en hausse
Coût de la création du satellite de restauration et de la salle de musique : 485 600 euros TTC.
Du personnel a été mis à contribution avec le recrutement de deux agents.
Depuis son ouverture, le 1er octobre, la fréquentation du restaurant scolaire a déjà connu une hausse de vingt rationnaires en passant à 110.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ecole-du-centre-les-enfants-ont-desormais-leur-restaurant
vendredi 19 octobre 2012
Miss Aisne 2012 / Laurine Wuattier, la belle de Fontenoy
Samedi soir, à Soissons, Laurine Wuattier a été élue Miss Aisne 2012 sous l'égide du comité Miss Prestige National. Âgée de 20 ans, la belle jeune femme de Fontenoy a été choisie parmi quinze prétendantes. Ses dauphines s'appellent Shirley Courtois, Cassandra Cerisier et Marie-Isabelle Payelle.
JUSQU'À samedi soir, Laurine Wuattier était la belle de Fontenoy, commune du canton de Vic-sur-Aisne. Elle est désormais, pour le département, la reine de Fontenay.
Une semaine après la soirée Endemol, à Hirson, c'était cette fois sous l'égide du comité Miss Prestige National - Geneviève de Fontenay et son fidèle serviteur Marc Santerre, qu'avait lieu au Mail - scène culturelle de Soissons, l'élection de Miss Aisne, canal historique.
Pour la seconde année, ce sont les Vitrines du Soissonnais, en partenariat avec la Ville, qui proposaient ce rendez-vous de la grâce et de la beauté. « Nous avons mobilisé une quarantaine de commerçants pour préparer cette soirée », se félicitait d'ailleurs la présidente des Vitrines, Françoise Iwanowski-Michau, qui y voyait l'assurance d'une « synergie » renforcée.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/miss-aisne-2012-laurine-wuattier-la-belle-de-fontenoy?xtcr=1&xtmc=belle de fontenoy
JUSQU'À samedi soir, Laurine Wuattier était la belle de Fontenoy, commune du canton de Vic-sur-Aisne. Elle est désormais, pour le département, la reine de Fontenay.
Une semaine après la soirée Endemol, à Hirson, c'était cette fois sous l'égide du comité Miss Prestige National - Geneviève de Fontenay et son fidèle serviteur Marc Santerre, qu'avait lieu au Mail - scène culturelle de Soissons, l'élection de Miss Aisne, canal historique.
Pour la seconde année, ce sont les Vitrines du Soissonnais, en partenariat avec la Ville, qui proposaient ce rendez-vous de la grâce et de la beauté. « Nous avons mobilisé une quarantaine de commerçants pour préparer cette soirée », se félicitait d'ailleurs la présidente des Vitrines, Françoise Iwanowski-Michau, qui y voyait l'assurance d'une « synergie » renforcée.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/miss-aisne-2012-laurine-wuattier-la-belle-de-fontenoy?xtcr=1&xtmc=belle de fontenoy
Barrage filtrant Les Baxi maintiennent la pression
Chose promise, chose due… Comme l'avaient annoncé leurs représentants syndicaux, les salariés de Baxi ont, toute la journée d'hier, mis en place un barrage filtrant route de Reims, à hauteur de leur entreprise, afin de distribuer des tracts sur la situation de leur société. « Le but n'est pas de gêner les Soissonnais mais d'expliquer ce qui se passe et de nous battre pour nos emplois », explique Thierry Depret, délégué central CFTC.
Hier, l'usine de La Magdeleine était totalement fermée. « Notre directeur est obligé de travailler dans sa voiture, car il ne peut pas aller à son bureau », commente le syndicaliste, en annonçant que la direction de Baxi s'est « engagée à payer les salaires jusqu'au 24 octobre », date du prochain comité central d'entreprise au Blanc-Mesnil.
Les représentants du personnel jugent que « la présence du PDG hollandais de BDR Thermea à ce CCE est indispensable. » Ce mercredi 24 octobre, des cars seront affrétés au départ de Soissons pour permettre au personnel de manifester devant le siège francilien au Blanc-Mesnil. « Nous allons aussi solliciter Marie-Georges Buffet (PCF) qui est maire de cette ville, pour qu'elle soit présente. »
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/barrage-filtrant-les-baxi-maintiennent-la-pression
Hier, l'usine de La Magdeleine était totalement fermée. « Notre directeur est obligé de travailler dans sa voiture, car il ne peut pas aller à son bureau », commente le syndicaliste, en annonçant que la direction de Baxi s'est « engagée à payer les salaires jusqu'au 24 octobre », date du prochain comité central d'entreprise au Blanc-Mesnil.
Les représentants du personnel jugent que « la présence du PDG hollandais de BDR Thermea à ce CCE est indispensable. » Ce mercredi 24 octobre, des cars seront affrétés au départ de Soissons pour permettre au personnel de manifester devant le siège francilien au Blanc-Mesnil. « Nous allons aussi solliciter Marie-Georges Buffet (PCF) qui est maire de cette ville, pour qu'elle soit présente. »
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/barrage-filtrant-les-baxi-maintiennent-la-pression
Manifestation des salariés de Baxi avant-hier : «On n’est pas encore mort»
Les salariés de Baxi ont, hier, battu le pavé du centre-ville avant qu’une délégation soit reçue en sous-préfecture. Le personnel apparaît « déterminé » à se battre.
La tension est montée d’un cran, hier chez Baxi. En début de matinée, prenant un peu de court les syndicats, la quasi-totalité des salariés a cessé le travail avec la ferme détermination de battre le pavé dans la journée, d’autant qu’un rendez-vous était prévu en sous-préfecture dans l’après-midi.
Le feu a été mis à des palettes et des pneumatiques tandis que cent quarante croix en bois, le nombre de salariés touchés, étaient plantées sur la pelouse qui jouxte les bâtiments de l’entreprise.
Pour l’intersyndicale, Thierry Depret (CFTC) et Christophe Rousselle (CGT) en tête, la partition à jouer était délicate : laisser s’exprimer la colère du personnel, mais en prévenant d’éventuels débordements.
En début d’après-midi, c’est ainsi dans le calme, mais sous bonne escorte, que le personnel a défilé à pied jusqu’à la sous-préfecture, après un passage en centre-ville.
« Pas des voyous, pas des casseurs »
« On n’est pas des voyous, pas des casseurs, on défend notre boulot », c’est le message que voulaient notamment faire passer les « Baxi » par la voix de Thierry Depret, qui promettait cependant des « actions dures » à venir, « plus dures que les Goodyear », afin d’être des « symboles face aux voyous qui dilapident notre savoir-faire ».
Christophe Rousselle affichait, face aux salariés regroupés devant la sous-préfecture, une même détermination. « On n’est pas encore mort et il ne faut pas nous enterrer trop vite. »
Ce mercredi, l’intersyndicale a exprimé le vœu de voir le ministre en charge du Redressement productif, Arnaud Montebourg, venir en personne à Soissons pour les rencontrer.
Selon Fabrice Benard, attaché parlementaire de Marie-Françoise Bechtel, c’est ce à quoi s’emploie d’ailleurs la députée qui « s’est saisie du dossier dès l’annonce de la fermeture ».
Pour les salariés, le prochain rendez-vous important est fixé à mercredi prochain 24 octobre, au Blanc-Mesnil.
Ce jour-là se tiendra une nouvelle réunion du comité central d’entreprise.
Venu rencontrer le personnel hier matin, le maire Patrick Day a annoncé que la Ville prendrait financièrement à sa charge l’affrètement d’un car pour que les salariés puissent s’y rendre.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/manifestation-des-salaries-de-baxi-hier-on-n%E2%80%99est-pas-encore-mort
La tension est montée d’un cran, hier chez Baxi. En début de matinée, prenant un peu de court les syndicats, la quasi-totalité des salariés a cessé le travail avec la ferme détermination de battre le pavé dans la journée, d’autant qu’un rendez-vous était prévu en sous-préfecture dans l’après-midi.
Le feu a été mis à des palettes et des pneumatiques tandis que cent quarante croix en bois, le nombre de salariés touchés, étaient plantées sur la pelouse qui jouxte les bâtiments de l’entreprise.
Pour l’intersyndicale, Thierry Depret (CFTC) et Christophe Rousselle (CGT) en tête, la partition à jouer était délicate : laisser s’exprimer la colère du personnel, mais en prévenant d’éventuels débordements.
En début d’après-midi, c’est ainsi dans le calme, mais sous bonne escorte, que le personnel a défilé à pied jusqu’à la sous-préfecture, après un passage en centre-ville.
« Pas des voyous, pas des casseurs »
« On n’est pas des voyous, pas des casseurs, on défend notre boulot », c’est le message que voulaient notamment faire passer les « Baxi » par la voix de Thierry Depret, qui promettait cependant des « actions dures » à venir, « plus dures que les Goodyear », afin d’être des « symboles face aux voyous qui dilapident notre savoir-faire ».
Christophe Rousselle affichait, face aux salariés regroupés devant la sous-préfecture, une même détermination. « On n’est pas encore mort et il ne faut pas nous enterrer trop vite. »
Ce mercredi, l’intersyndicale a exprimé le vœu de voir le ministre en charge du Redressement productif, Arnaud Montebourg, venir en personne à Soissons pour les rencontrer.
Selon Fabrice Benard, attaché parlementaire de Marie-Françoise Bechtel, c’est ce à quoi s’emploie d’ailleurs la députée qui « s’est saisie du dossier dès l’annonce de la fermeture ».
Pour les salariés, le prochain rendez-vous important est fixé à mercredi prochain 24 octobre, au Blanc-Mesnil.
Ce jour-là se tiendra une nouvelle réunion du comité central d’entreprise.
Venu rencontrer le personnel hier matin, le maire Patrick Day a annoncé que la Ville prendrait financièrement à sa charge l’affrètement d’un car pour que les salariés puissent s’y rendre.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/manifestation-des-salaries-de-baxi-hier-on-n%E2%80%99est-pas-encore-mort
jeudi 18 octobre 2012
L'espace accueil famille publie un livre Les vieux métiers au fil des pages
Désireuses de découvrir Soissons autrement, des familles ont décidé de faire revivre les vieux métiers à travers un ouvrage dont l'action se situe en 1912.
UNE femme sur la piste d'un mystère dans les rues de Soissons, en 1912. Telle est la trame du récit construit par un groupe de dix habitants du quartier de Chevreux. Ils en ont fait un livre qu'ils présenteront aujourd'hui à tous les partenaires de l'espace accueil famille dans le cadre duquel cet ouvrage a été réalisé.
L'objectif est la découverte des vieux métiers dont certains ont aujourd'hui disparu. La journaliste Adèle Coudert va rencontrer successivement différents professionnels issus des recherches du groupe. « Même les noms sont réels », soulignent les animatrices de cette structure issue de la Confédération syndicale des familles.
Basé sur des rencontres chaque jeudi matin, ce groupe se donne un projet annuel. Après avoir traité la maternité - et réalisé un recueil contenant le vécu des unes et des autres - l'école ou les produits de beauté au naturel, les usagers ont été « demandeurs » de partir à la découverte du patrimoine.
« Il y a des trésors », relate ainsi Mme Boukhercha, native de Laon, ravie de découvrir les richesses de Soissons tandis que Sylvie Bernier, elle, était curieuse de découvrir l'intérieur de la cathédrale ou des musées.
Un nom bien choisi
Une exposition en a découlé (notre édition du 16 septembre) encore visible à la bibliothèque jusqu'au 10 octobre.
Ces véritables aventuriers ne comptaient pas s'arrêter là. Ils avaient découvert les activités anciennes et ont décidé d'approfondir. D'où Les aventures journalistiques d'Adèle Coudert. Tiré à 100 exemplaires, l'ouvrage sera découvert aujourd'hui par ses auteurs eux-mêmes ! « L'éditeur vient nous le présenter », indique l'encadrante qui a donné la primeur de la maquette à deux privilégiées, en raison de notre venue. Elles racontent, avec un intérêt, voire une excitation, leur pérégrination lorsqu'elles ont construit l'histoire, jeudi matin après jeudi matin.
« On savait où elle devait aller et pourquoi. » Sur plan, le trajet avait été préparé, à partir de rues existant en 1912. « On n'allait pas mettre la rue du Général-de-Gaulle ! », s'exclame l'animatrice, puisque cette voie a été réalisée plus tard…
Même le nom de la vedette de l'histoire ainsi que son prénom ont été mûrement choisis en fonction de ceux existant à l'époque. De même que les métiers et leur situation géographique. Les patronymes de la plupart sont réels. Le photographe André Vergnol a ainsi droit à un rôle et, qui sait, certains descendants d'autres Soissonnais pourront peut-être reconnaître leurs ancêtres…
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/lespace-accueil-famille-publie-un-livre-les-vieux-metiers-au-fil-des-pages
UNE femme sur la piste d'un mystère dans les rues de Soissons, en 1912. Telle est la trame du récit construit par un groupe de dix habitants du quartier de Chevreux. Ils en ont fait un livre qu'ils présenteront aujourd'hui à tous les partenaires de l'espace accueil famille dans le cadre duquel cet ouvrage a été réalisé.
L'objectif est la découverte des vieux métiers dont certains ont aujourd'hui disparu. La journaliste Adèle Coudert va rencontrer successivement différents professionnels issus des recherches du groupe. « Même les noms sont réels », soulignent les animatrices de cette structure issue de la Confédération syndicale des familles.
Basé sur des rencontres chaque jeudi matin, ce groupe se donne un projet annuel. Après avoir traité la maternité - et réalisé un recueil contenant le vécu des unes et des autres - l'école ou les produits de beauté au naturel, les usagers ont été « demandeurs » de partir à la découverte du patrimoine.
« Il y a des trésors », relate ainsi Mme Boukhercha, native de Laon, ravie de découvrir les richesses de Soissons tandis que Sylvie Bernier, elle, était curieuse de découvrir l'intérieur de la cathédrale ou des musées.
Un nom bien choisi
Une exposition en a découlé (notre édition du 16 septembre) encore visible à la bibliothèque jusqu'au 10 octobre.
Ces véritables aventuriers ne comptaient pas s'arrêter là. Ils avaient découvert les activités anciennes et ont décidé d'approfondir. D'où Les aventures journalistiques d'Adèle Coudert. Tiré à 100 exemplaires, l'ouvrage sera découvert aujourd'hui par ses auteurs eux-mêmes ! « L'éditeur vient nous le présenter », indique l'encadrante qui a donné la primeur de la maquette à deux privilégiées, en raison de notre venue. Elles racontent, avec un intérêt, voire une excitation, leur pérégrination lorsqu'elles ont construit l'histoire, jeudi matin après jeudi matin.
« On savait où elle devait aller et pourquoi. » Sur plan, le trajet avait été préparé, à partir de rues existant en 1912. « On n'allait pas mettre la rue du Général-de-Gaulle ! », s'exclame l'animatrice, puisque cette voie a été réalisée plus tard…
Même le nom de la vedette de l'histoire ainsi que son prénom ont été mûrement choisis en fonction de ceux existant à l'époque. De même que les métiers et leur situation géographique. Les patronymes de la plupart sont réels. Le photographe André Vergnol a ainsi droit à un rôle et, qui sait, certains descendants d'autres Soissonnais pourront peut-être reconnaître leurs ancêtres…
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/lespace-accueil-famille-publie-un-livre-les-vieux-metiers-au-fil-des-pages
La Musarelle Grandiose, le 30e anniversaire en chansons et musiques
La chorale La Musarelle a fêté son 30e anniversaire au Mail scène culturelle, en offrant un spectacle musical de qualité à son fidèle public.
L'histoire de cette chorale a débuté en 1979, sous l'impulsion de Guy Lhéritier. Avec Marie-France Simboiselle comme directrice musicale, il a fondé l'Ensemble choral de Soissons. En 1982, le groupe prendra le nom de La Musarelle. La chorale a travaillé des œuvres importantes sous la direction de plusieurs chefs : la Messe de Couronnement de Mozart, Le Requiem de Fauré, Le Magnificat de Vivaldi, La messe de sainte Cécile de Gounod, etc.
La Musarelle s'est adjoint des orchestres afin d'aborder des œuvres majeures, sous l'impulsion de Stéphan Luxen, qui la dirigera pendant dix ans,
Après Maryse Tessier, Jean-Marc Hébert et Stéphan Luxen, c'est aujourd'hui Marie-Claude Binart qui en assure la direction et Axel Bensoussan la présidence.
Pour leur fabuleux spectacle d'anniversaire, les choristes n'ont pas quitté la scène sur laquelle ils ont accueilli tous ceux qui les ont accompagnés, un jour ou l'autre, au hasard des représentations.
À commencer par l'Harmonie municipale, sous la direction de Pierre Lemaire, en lever de rideau. Le cercle musical, la Campanella, les pianistes Jacques Mathis et Nathalie Godain, le groupe d'Air et d'âme, la Chanterelle, Emilie et Nicolas Tafoiry, les Cuivres soissonnais et Stany Lasry se sont succédé sur scène pour honorer cette sympathique chorale.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/la-musarelle-grandiose-le-30e-anniversaire-en-chansons-et-musiques
L'histoire de cette chorale a débuté en 1979, sous l'impulsion de Guy Lhéritier. Avec Marie-France Simboiselle comme directrice musicale, il a fondé l'Ensemble choral de Soissons. En 1982, le groupe prendra le nom de La Musarelle. La chorale a travaillé des œuvres importantes sous la direction de plusieurs chefs : la Messe de Couronnement de Mozart, Le Requiem de Fauré, Le Magnificat de Vivaldi, La messe de sainte Cécile de Gounod, etc.
La Musarelle s'est adjoint des orchestres afin d'aborder des œuvres majeures, sous l'impulsion de Stéphan Luxen, qui la dirigera pendant dix ans,
Après Maryse Tessier, Jean-Marc Hébert et Stéphan Luxen, c'est aujourd'hui Marie-Claude Binart qui en assure la direction et Axel Bensoussan la présidence.
Pour leur fabuleux spectacle d'anniversaire, les choristes n'ont pas quitté la scène sur laquelle ils ont accueilli tous ceux qui les ont accompagnés, un jour ou l'autre, au hasard des représentations.
À commencer par l'Harmonie municipale, sous la direction de Pierre Lemaire, en lever de rideau. Le cercle musical, la Campanella, les pianistes Jacques Mathis et Nathalie Godain, le groupe d'Air et d'âme, la Chanterelle, Emilie et Nicolas Tafoiry, les Cuivres soissonnais et Stany Lasry se sont succédé sur scène pour honorer cette sympathique chorale.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/la-musarelle-grandiose-le-30e-anniversaire-en-chansons-et-musiques
mercredi 17 octobre 2012
mardi 16 octobre 2012
Sous le chapiteau de Cœuvres-et-Valsery La Lanterne toujours magique
La Lanterne magique continue de mener de front transmission des arts du cirque et production de spectacles qui renouent avec les racines du spectacle vivant.
DEHORS, il tombe des cordes. Au pied de l'ancienne abbaye royale de Notre-Dame de Valsery, le chapiteau est cerné d'immenses flaques d'eau. Venir à l'atelier de la Lanterne magique, à Cœuvres-et-Valsery, cela peut être… acrobatique.
Cela tombe bien, la raison d'être de cette troupe de saltimbanques, c'est le cirque, la magie du cirque, celui qui met des étoiles dans les yeux des gosses, autant que des adultes.
Le vendredi soir, pour les ados et adultes, et le samedi après-midi, pour les enfants dès 4 ans, ses artistes invitent chacun à faire un tour de piste, au travers d'un atelier cirque.
Totalement ludique
« C'est du sport intelligent, une vraie mise en forme et un apprentissage sur soi », souligne l'un des animateurs de l'atelier. En travaillant sur son corps, la souplesse, l'équilibre, chacun parvient ainsi, pas à pas, petit à petit, à jongler, à s'essayer aux acrobaties, à se jouer de la peur de la chute… et à se faire plaisir.
« C'est totalement ludique. Travailler dans la souffrance, ça n'est pas le but », insiste le monsieur Loyal de la compagnie sud-axonaise.
« On a des enfants qui travaillent avec nous depuis des années et qui commencent à avoir un joli niveau. Nous en avons même certains qui ont envie d'en faire leur métier, même si ça n'est pas le but de l'atelier », confie le responsable.
Les artistes de la Lanterne magique continuent aussi d'animer des ateliers à la demande de plusieurs grandes fédérations d'éducation populaire et de travailler avec les écoles. « Avant, les écoles venaient ici, mais pour des raisons budgétaires - le transport étant devenu trop coûteux - c'est nous qui nous déplaçons », indique le maître des lieux, en regrettant que l'atelier y ait, sans chapiteau, sans doute perdu un peu de sa magie.
Spectacle au Clovis et à Paris
Parallèlement à ces ateliers, la troupe donne d'ores et déjà rendez-vous au public pour applaudir ses artistes.
Du 12 au 30 décembre, la Lanterne magique jouera au cinéma Clovis un spectacle de cirque, un projet fruit d'un partenariat avec Cinémovida.
Un grand temps fort aura ensuite lieu du 16 janvier au 10 février, dans la capitale*.
La Lanterne jouera............. LIRE LA SUITE DE CET ARTICLE SUR CE LIEN ............. http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/sous-le-chapiteau-de-coeuvres-et-valsery-la-lanterne-toujours-magique
DEHORS, il tombe des cordes. Au pied de l'ancienne abbaye royale de Notre-Dame de Valsery, le chapiteau est cerné d'immenses flaques d'eau. Venir à l'atelier de la Lanterne magique, à Cœuvres-et-Valsery, cela peut être… acrobatique.
Cela tombe bien, la raison d'être de cette troupe de saltimbanques, c'est le cirque, la magie du cirque, celui qui met des étoiles dans les yeux des gosses, autant que des adultes.
Le vendredi soir, pour les ados et adultes, et le samedi après-midi, pour les enfants dès 4 ans, ses artistes invitent chacun à faire un tour de piste, au travers d'un atelier cirque.
Totalement ludique
« C'est du sport intelligent, une vraie mise en forme et un apprentissage sur soi », souligne l'un des animateurs de l'atelier. En travaillant sur son corps, la souplesse, l'équilibre, chacun parvient ainsi, pas à pas, petit à petit, à jongler, à s'essayer aux acrobaties, à se jouer de la peur de la chute… et à se faire plaisir.
« C'est totalement ludique. Travailler dans la souffrance, ça n'est pas le but », insiste le monsieur Loyal de la compagnie sud-axonaise.
« On a des enfants qui travaillent avec nous depuis des années et qui commencent à avoir un joli niveau. Nous en avons même certains qui ont envie d'en faire leur métier, même si ça n'est pas le but de l'atelier », confie le responsable.
Les artistes de la Lanterne magique continuent aussi d'animer des ateliers à la demande de plusieurs grandes fédérations d'éducation populaire et de travailler avec les écoles. « Avant, les écoles venaient ici, mais pour des raisons budgétaires - le transport étant devenu trop coûteux - c'est nous qui nous déplaçons », indique le maître des lieux, en regrettant que l'atelier y ait, sans chapiteau, sans doute perdu un peu de sa magie.
Spectacle au Clovis et à Paris
Parallèlement à ces ateliers, la troupe donne d'ores et déjà rendez-vous au public pour applaudir ses artistes.
Du 12 au 30 décembre, la Lanterne magique jouera au cinéma Clovis un spectacle de cirque, un projet fruit d'un partenariat avec Cinémovida.
Un grand temps fort aura ensuite lieu du 16 janvier au 10 février, dans la capitale*.
La Lanterne jouera............. LIRE LA SUITE DE CET ARTICLE SUR CE LIEN ............. http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/sous-le-chapiteau-de-coeuvres-et-valsery-la-lanterne-toujours-magique
lundi 15 octobre 2012
Concours de dessin Les enfants imaginent leur quartier
Dans le cadre « des transformations de la rénovation urbaine de votre quartier », l'Odes, Logivam et la Ville de Soissons ont organisé un concours de dessins sur la thématique « Votre quartier rêvé ! » pour les enfants des quartiers de Presles et de Chevreux.
Une quinzaine d'enfants, âgés de 4 ans à 12 ans, se sont prêtés au jeu, avec pour certains une réelle imagination.
Ce concours avait pour but de familiariser les habitants qui, par de gros changements et rénovations, vont découvrir à partir de 2013, de nouveaux espaces et aussi la création de 2 183 logements qui s'élèveront sur Presles et Chevreux.
Après délibération effectuée par l'équipe partenaire (Anne, Audrey pour Logivam, Jean-François, Delphine, Valérie, Sandrine pour l'Odes et Catherine pour la Ville), les deux meilleurs artistes auront le plaisir de voir leur dessin édité sur carte postale.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/concours-de-dessin-les-enfants-imaginent-leur-quartier
Une quinzaine d'enfants, âgés de 4 ans à 12 ans, se sont prêtés au jeu, avec pour certains une réelle imagination.
Ce concours avait pour but de familiariser les habitants qui, par de gros changements et rénovations, vont découvrir à partir de 2013, de nouveaux espaces et aussi la création de 2 183 logements qui s'élèveront sur Presles et Chevreux.
Après délibération effectuée par l'équipe partenaire (Anne, Audrey pour Logivam, Jean-François, Delphine, Valérie, Sandrine pour l'Odes et Catherine pour la Ville), les deux meilleurs artistes auront le plaisir de voir leur dessin édité sur carte postale.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/concours-de-dessin-les-enfants-imaginent-leur-quartier
dimanche 14 octobre 2012
Baxi, une centenaire condamnée à mort
En 2007 l'usine de la Magdeleine comptait encore 400 salariés, dont 180 en fonderie. « L'usine aura 100 ans dans quelques années et elle ne verra peut-être pas son centenaire », confiait à l'époque un cégétiste. Une mauvaise intuition qui trouve en 2012 un écho amer. L'année de son centenaire, l'usine n'a que trop vécu pour le groupe BDR Therméa qui la condamne à la fermeture.
Depuis 2007, elle s'est flétrie, se recroquevillant sur un corps salarié de moins en moins épais. Après le plan social de 2008 et la perte de 80 emplois, la cession de l'activité de la fonderie, l'effectif comptait encore 230 salariés en 2010.
Les départs à la retraite non remplacés, les licenciements pour fautes et surtout les ruptures conventionnelles de contrat ont fait fondre l'effectif pour en arriver à 140 aujourd'hui. Depuis des mois, l'usine est exsangue, à bout de souffle et d'activité, vidée de sa substance.
Sa fermeture annoncée, c'est comme un virus mortel inoculé alors même que la fonderie Focast Picardie, dont Baxi n'était plus à la fin de l'été qu'un client minoritaire, doit impérativement trouver un repreneur avant l'audience du tribunal de commerce du 8 novembre prochain. Ce signal aurait de quoi décourager un volontaire à la reprise qui chercherait à redonner un peu de vigueur au site de Villeneuve-Saint-Germain.
C'est en tout cas ce que craignent les syndicats de Baxi pour leurs 130 collègues de la fonderie. pour Thierry Regnault, secrétaire du CE de Focast, « chez nous le mal est déjà fait. Baxi ne travaille plus pour nous .»
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/baxi-une-centenaire-condamnee-a-mort
Depuis 2007, elle s'est flétrie, se recroquevillant sur un corps salarié de moins en moins épais. Après le plan social de 2008 et la perte de 80 emplois, la cession de l'activité de la fonderie, l'effectif comptait encore 230 salariés en 2010.
Les départs à la retraite non remplacés, les licenciements pour fautes et surtout les ruptures conventionnelles de contrat ont fait fondre l'effectif pour en arriver à 140 aujourd'hui. Depuis des mois, l'usine est exsangue, à bout de souffle et d'activité, vidée de sa substance.
Sa fermeture annoncée, c'est comme un virus mortel inoculé alors même que la fonderie Focast Picardie, dont Baxi n'était plus à la fin de l'été qu'un client minoritaire, doit impérativement trouver un repreneur avant l'audience du tribunal de commerce du 8 novembre prochain. Ce signal aurait de quoi décourager un volontaire à la reprise qui chercherait à redonner un peu de vigueur au site de Villeneuve-Saint-Germain.
C'est en tout cas ce que craignent les syndicats de Baxi pour leurs 130 collègues de la fonderie. pour Thierry Regnault, secrétaire du CE de Focast, « chez nous le mal est déjà fait. Baxi ne travaille plus pour nous .»
http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/baxi-une-centenaire-condamnee-a-mort
samedi 13 octobre 2012
Attentat du Drakkar : l'hommage au Soissonnais Laurent Bériot
Autorités militaires et rescapés de l'attentat de Beyrouth participeront, le 20 octobre, à Soissons à la cérémonie en l'honneur de Laurent Bériot, disparu dans l'attaque, il y a près de 30 ans.
Le caporal-chef Laurent Bériot n'avait que 19 ans lorsqu'il a péri dans l'attentat suicide du Drakkar, base militaire située à Beyrouth, au Liban. Ce 23 octobre 1983, cinquante-huit parachutistes français ont été emportés lors de l'explosion d'un camion piégé à l'encontre de la Force multinationale de sécurité à Beyrouth. L'événement avait suscité beaucoup d'émotion dans le pays et en particulier à Soissons, où Laurent Bériot et toute sa famille demeuraient.
« Il représentait la France »
Une cérémonie d'hommage à la mémoire des disparus avait eu lieu aux Invalides en présence de François Mitterrand. Laurent Bériot a, par la suite, été inhumé au carré militaire du cimetière de Soissons, après des obsèques religieuses en la cathédrale, pleine à craquer ce jour-là.
Près de 30 ans après les événements, la ville s'apprête à honorer la mémoire de Laurent Beriot, lors d'une cérémonie organisée par l'association ARFVA/DRAKKAR, composée de rescapés de l'attentat, lesquels organisent chaque année, au mois d'octobre, une commémoration dans la ville d'un des disparus du Drakkar. Cette année, elle aura lieu le 20 octobre, le matin à Saint-Quentin, dont était originaire un autre parachutiste, et l'après-midi à Soissons (voir le programme ci-dessous). En présence des membres de l'association, des autorités militaires et de la famille, ses dix frères et sœurs notamment et sa mère.
Malheureusement, le père du garçon est décédé il y a quelques années. Une famille marquée à jamais par le malheur. Hervé Bériot, petit frère de Laurent, avait 16 ans en 1983. « C'est important que les militaires soient là car c'est une reconnaissance. Il représentait la France. Chaque fois qu'un militaire décède en Afghanistan, ça nous touche… », confie-t-il au nom de toute la famille.
« Il n'est pas oublié »
La messe aura lieu à l'église Saint-Waast, quartier qui a vu grandir Laurent Bériot - Saint-Médard exactement. « On a tous été baptisés ici », souligne Hervé. Tous espèrent que les Soissonnais viendront nombreux. « Beaucoup d'anonymes avaient fait la queue devant la mairie pour la veillée, souligne Elodie Bériot, fille d'Hervé et nièce de Laurent. Cette cérémonie, c'est l'occasion de dire qu'il n'est pas oublié. On sait que les gens du quartier vont venir. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/attentat-du-drakkar-lhommage-au-soissonnais-laurent-beriot
Le caporal-chef Laurent Bériot n'avait que 19 ans lorsqu'il a péri dans l'attentat suicide du Drakkar, base militaire située à Beyrouth, au Liban. Ce 23 octobre 1983, cinquante-huit parachutistes français ont été emportés lors de l'explosion d'un camion piégé à l'encontre de la Force multinationale de sécurité à Beyrouth. L'événement avait suscité beaucoup d'émotion dans le pays et en particulier à Soissons, où Laurent Bériot et toute sa famille demeuraient.
« Il représentait la France »
Une cérémonie d'hommage à la mémoire des disparus avait eu lieu aux Invalides en présence de François Mitterrand. Laurent Bériot a, par la suite, été inhumé au carré militaire du cimetière de Soissons, après des obsèques religieuses en la cathédrale, pleine à craquer ce jour-là.
Près de 30 ans après les événements, la ville s'apprête à honorer la mémoire de Laurent Beriot, lors d'une cérémonie organisée par l'association ARFVA/DRAKKAR, composée de rescapés de l'attentat, lesquels organisent chaque année, au mois d'octobre, une commémoration dans la ville d'un des disparus du Drakkar. Cette année, elle aura lieu le 20 octobre, le matin à Saint-Quentin, dont était originaire un autre parachutiste, et l'après-midi à Soissons (voir le programme ci-dessous). En présence des membres de l'association, des autorités militaires et de la famille, ses dix frères et sœurs notamment et sa mère.
Malheureusement, le père du garçon est décédé il y a quelques années. Une famille marquée à jamais par le malheur. Hervé Bériot, petit frère de Laurent, avait 16 ans en 1983. « C'est important que les militaires soient là car c'est une reconnaissance. Il représentait la France. Chaque fois qu'un militaire décède en Afghanistan, ça nous touche… », confie-t-il au nom de toute la famille.
« Il n'est pas oublié »
La messe aura lieu à l'église Saint-Waast, quartier qui a vu grandir Laurent Bériot - Saint-Médard exactement. « On a tous été baptisés ici », souligne Hervé. Tous espèrent que les Soissonnais viendront nombreux. « Beaucoup d'anonymes avaient fait la queue devant la mairie pour la veillée, souligne Elodie Bériot, fille d'Hervé et nièce de Laurent. Cette cérémonie, c'est l'occasion de dire qu'il n'est pas oublié. On sait que les gens du quartier vont venir. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/attentat-du-drakkar-lhommage-au-soissonnais-laurent-beriot
vendredi 12 octobre 2012
Baxi, c'est terminé : 140 salariés sur le carreau
SOISSONS (Aisne). La direction a annoncé hier la fermeture de l'usine de chaudières Baxi. 140 salariés vont perdre leur emploi.
LA nouvelle est tombée hier. Elle est terrible pour les 140 salariés de Baxi France : l'usine de chaudières de l'avenue de Reims, entre Soissons et Villeneuve-Saint-Germain, fermera d'ici deux ans.
La direction du groupe BDR Thermea - qui regroupe De Dietrich et Baxi-France - en a décidé ainsi. Elle l'a annoncé dans l'après-midi, lors d'une réunion au siège du Blanc-Mesnil. « C'est une réunion qui était prévue depuis un mois. On avait senti que des choses n'allaient pas alors j'ai appelé la DRH. Je lui ai demandé si on allait nous annoncer la fermeture du site. Elle m'a dit : " Je vous dirai des choses pas faciles à entendre…" », révélait, hier, Thierry Depret, délégué syndical central CFTC Baxi-France.
La direction se serait donnée deux ans pour fermer les portes de cette usine qui a fêté ses 100 ans cette année. « On se sent trahi », confie Thierry Depret. Les difficultés de l'entreprise, les syndicats les observent depuis de longs mois. Baisse du marché du chauffage, carnet de commandes toujours plus mince, les doublons avec l'usine alsacienne. Ils n'ignoraient pas que la direction allait prendre une décision.
« On pensait à des mesures d'âge mais pas à la fermeture du site. On n'est pas en dépôt de bilan ! On est dans un groupe qui gagne de l'argent. » L'activité de l'usine de Soissons pourrait être délocalisée en Alsace « dans l'usine De Dietrich ».
« On était un concurrent. Ils nous ont piqué nos marques et notre savoir-faire. Ils n'ont pas voulu investir. Ils nous ont volontairement laissé mourir. C'est un gâchis, un drame humain. »
Dès ce matin, les syndicats, réunis en intersyndicale, tiendront une assemblée générale à 7 h 30 pour informer les salariés. Puis, ce lundi 15 octobre, les élus du comité central d'entreprise seront reçus le matin au siège. La directrice des ressources humaines se déplacera dans l'après-midi à Soissons, pour informer le CHSCT et le CE et remettre des documents.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/baxi-cest-termine-140-salaries-sur-le-carreau
LA nouvelle est tombée hier. Elle est terrible pour les 140 salariés de Baxi France : l'usine de chaudières de l'avenue de Reims, entre Soissons et Villeneuve-Saint-Germain, fermera d'ici deux ans.
La direction du groupe BDR Thermea - qui regroupe De Dietrich et Baxi-France - en a décidé ainsi. Elle l'a annoncé dans l'après-midi, lors d'une réunion au siège du Blanc-Mesnil. « C'est une réunion qui était prévue depuis un mois. On avait senti que des choses n'allaient pas alors j'ai appelé la DRH. Je lui ai demandé si on allait nous annoncer la fermeture du site. Elle m'a dit : " Je vous dirai des choses pas faciles à entendre…" », révélait, hier, Thierry Depret, délégué syndical central CFTC Baxi-France.
La direction se serait donnée deux ans pour fermer les portes de cette usine qui a fêté ses 100 ans cette année. « On se sent trahi », confie Thierry Depret. Les difficultés de l'entreprise, les syndicats les observent depuis de longs mois. Baisse du marché du chauffage, carnet de commandes toujours plus mince, les doublons avec l'usine alsacienne. Ils n'ignoraient pas que la direction allait prendre une décision.
« On pensait à des mesures d'âge mais pas à la fermeture du site. On n'est pas en dépôt de bilan ! On est dans un groupe qui gagne de l'argent. » L'activité de l'usine de Soissons pourrait être délocalisée en Alsace « dans l'usine De Dietrich ».
« On était un concurrent. Ils nous ont piqué nos marques et notre savoir-faire. Ils n'ont pas voulu investir. Ils nous ont volontairement laissé mourir. C'est un gâchis, un drame humain. »
Dès ce matin, les syndicats, réunis en intersyndicale, tiendront une assemblée générale à 7 h 30 pour informer les salariés. Puis, ce lundi 15 octobre, les élus du comité central d'entreprise seront reçus le matin au siège. La directrice des ressources humaines se déplacera dans l'après-midi à Soissons, pour informer le CHSCT et le CE et remettre des documents.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/baxi-cest-termine-140-salaries-sur-le-carreau
Quartier de la gare La 3e édition de Finf'Arts arrosée mais réussie
Le président François Atron et les membres de l'association des habitants et parents du quartier de la Gare ont organisé la 3e édition de Finf'Arts.
Elle s'est déroulée sur la célèbre « place de Finfe », plus connue sous le nom de salle polyvalente de l'école de la Gare.
Malgré une météo peu favorable aux manifestations en extérieur, les visiteurs ont pu admirer des expositions de peinture en tout genre.
Ils ont pu admirer les photos retravaillées de Michel Minetto et découvrir ses astuces et les possibilités des logiciels de traitement. La mosaïque occupait une grande place et les enfants ont pu réaliser des compositions personnelles. Le stand du tourneur sur bois a connu lui aussi un grand succès, tout comme celui de la dentelière.
Cherche DVD à recycler
Alain Brouillard, outre ses tableaux, a présenté des sculptures originales réalisées à partir de CD ou de DVD refondus, il lance d'ailleurs un appel afin de récupérer de la matière première.
Jean-Luc Sendron a réalisé l'animation musicale avec flûte, scie musicale et cornemuse lorsque la pluie lui en laissait le temps.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/quartier-de-la-gare-la-3e-edition-de-finfarts-arrosee-mais-reussie
Elle s'est déroulée sur la célèbre « place de Finfe », plus connue sous le nom de salle polyvalente de l'école de la Gare.
Malgré une météo peu favorable aux manifestations en extérieur, les visiteurs ont pu admirer des expositions de peinture en tout genre.
Ils ont pu admirer les photos retravaillées de Michel Minetto et découvrir ses astuces et les possibilités des logiciels de traitement. La mosaïque occupait une grande place et les enfants ont pu réaliser des compositions personnelles. Le stand du tourneur sur bois a connu lui aussi un grand succès, tout comme celui de la dentelière.
Cherche DVD à recycler
Alain Brouillard, outre ses tableaux, a présenté des sculptures originales réalisées à partir de CD ou de DVD refondus, il lance d'ailleurs un appel afin de récupérer de la matière première.
Jean-Luc Sendron a réalisé l'animation musicale avec flûte, scie musicale et cornemuse lorsque la pluie lui en laissait le temps.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/quartier-de-la-gare-la-3e-edition-de-finfarts-arrosee-mais-reussie
jeudi 11 octobre 2012
Les voleurs attrapés grâce au voisin
Les forces de l'ordre le répètent à loisir : en matière de cambriolage, la vigilance du voisinage est précieuse. Dans la nuit de lundi à mardi, à Soissons, le bon réflexe d'un riverain a une nouvelle fois permis l'interpellation de jeunes voleurs.
Les faits ont eu lieu dans la nuit de lundi à mardi. Vers quatre heures du matin, le riverain prévient la Police en indiquant qu'il voit trois garçons en train de « s'intéresser » au garage du voisin. Très rapidement, les fonctionnaires de la brigade anticriminalité (BAC) se rendent sur les lieux, dans le centre-ville de Soissons.
Les policiers n'interviennent pas tout de suite, mais surveillent dans un premier temps le trio. Lorsque la porte est forcée, ils entrent en scène, et parviennent à arrêter deux des trois jeunes. Le troisième, un mineur, réussit à prendre la fuite. Pas pour très longtemps, puisqu'il est rapidement identifié. Son père est contacté, il conduit lui-même son fils au poste de Police.
Les deux autres, majeurs depuis peu, y sont déjà. L'un, l'instigateur du vol, est déjà connu des services. Le second, tout comme le benjamin de la bande, a un casier judiciaire vierge.
À l'issue de leur passage au commissariat, ils ont été relâchés. Tous trois ont rendez-vous
prochainement devant la justice.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-voleurs-attrapes-grace-au-voisin
Les faits ont eu lieu dans la nuit de lundi à mardi. Vers quatre heures du matin, le riverain prévient la Police en indiquant qu'il voit trois garçons en train de « s'intéresser » au garage du voisin. Très rapidement, les fonctionnaires de la brigade anticriminalité (BAC) se rendent sur les lieux, dans le centre-ville de Soissons.
Les policiers n'interviennent pas tout de suite, mais surveillent dans un premier temps le trio. Lorsque la porte est forcée, ils entrent en scène, et parviennent à arrêter deux des trois jeunes. Le troisième, un mineur, réussit à prendre la fuite. Pas pour très longtemps, puisqu'il est rapidement identifié. Son père est contacté, il conduit lui-même son fils au poste de Police.
Les deux autres, majeurs depuis peu, y sont déjà. L'un, l'instigateur du vol, est déjà connu des services. Le second, tout comme le benjamin de la bande, a un casier judiciaire vierge.
À l'issue de leur passage au commissariat, ils ont été relâchés. Tous trois ont rendez-vous
prochainement devant la justice.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-voleurs-attrapes-grace-au-voisin
A qui la couronne de Miss Prestige Aisne ?
Miss Prestige Aisne (comité Geneviève de Fontenay)sera forcément belle et… soissonnaise. Comme les quinze candidates, présentées hier à la concession automobile Tupin.
Celle qui succédera à Lisa Bévière, Miss Prestige Aisne et Picardie, sera élue samedi soir lors du gala qui se tiendra au Mail, mis à disposition par la Ville.
Chaque participant pourra voter. Mais c’est le jury qui aura le dernier mot.
Il s’agira également de choisir trois dauphines.
Une grande première aussi avec le défilé des candidates, samedi matin, de 11 à 12 heures, dans les rues de Soissons, à bord de voitures cabriolet.
« Cet événement participe au rayonnement de Soissons », s’est réjoui Françoise Michau-Iwanowski, présidente des Vitrines du Soissonnais, qui organise l’événement au côté de Marc Santerre, un fidèle de la première heure de Geneviève de Fontenay. « Et ce n’est pas près de s’arrêter », a-t-il confié.
Défilé en ville, samedi matin de 11 à 12 heures ; gala, samedi soir à 20 h 30, au Mail-Scène culturelle.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/a-qui-la-couronne-de-miss-prestige-aisne
Celle qui succédera à Lisa Bévière, Miss Prestige Aisne et Picardie, sera élue samedi soir lors du gala qui se tiendra au Mail, mis à disposition par la Ville.
Chaque participant pourra voter. Mais c’est le jury qui aura le dernier mot.
Il s’agira également de choisir trois dauphines.
Une grande première aussi avec le défilé des candidates, samedi matin, de 11 à 12 heures, dans les rues de Soissons, à bord de voitures cabriolet.
« Cet événement participe au rayonnement de Soissons », s’est réjoui Françoise Michau-Iwanowski, présidente des Vitrines du Soissonnais, qui organise l’événement au côté de Marc Santerre, un fidèle de la première heure de Geneviève de Fontenay. « Et ce n’est pas près de s’arrêter », a-t-il confié.
Défilé en ville, samedi matin de 11 à 12 heures ; gala, samedi soir à 20 h 30, au Mail-Scène culturelle.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/a-qui-la-couronne-de-miss-prestige-aisne
mercredi 10 octobre 2012
Un héritage du XVIIIe siècle menacé
La maison forestière de Maison Neuve serait menacée, à nouveau, de démolition par les travaux sur la RN 2. Les défenseurs du patrimoine se mobilisent.
AU tout début des années soixante-dix, la maison forestière Maison Neuve, bordant la RN 2 au niveau du rond-point de Montgobert, était promise à la démolition. Il s'agissait, à l'époque, de doubler la nationale sur ce tronçon. Un mouvement populaire avait non seulement réussi à la sauver mais avait aussi obtenu sa rénovation complète, en 1973.
Depuis, cette belle demeure en pierre de taille du XVIIIe siècle, la seule à avoir conservé son aspect d'origine, coule des jours heureux. Depuis 2006, la bâtisse, propriété de l'ONF, est louée en concession d'occupation à l'association les Amis tricolores du Valois, une société de chasse à courre.
L'on pensait la maison forestière sauvée à tout jamais. D'autant que l'ONF avait indiqué, à l'époque de la signature du bail, « qu'en connaissance des études actuelles [du projet de requalification de la RN 2, NDLR], la maison forestière de Maison Neuve ne sera pas impactée ».
L'État a engagé, ces deux dernières années, les travaux de doublement de la RN 2. L'on devrait prochainement entamer le chantier de requalification du rond-point de Montgobert, avec un échangeur. Dans les plans initiaux, il ne s'agissait pas de démolir Maison Neuve. Il se pourrait qu'elle soit à nouveau menacée. De quoi attiser la curiosité de Denis Rolland, le président de la Société historique de Soissons, lequel s'est fait confirmer cette information par le président de l'association les Amis tricolores du Valois.
Patrice de La Bouillerie a pourtant signé un bail jusqu'en 2016. « La bretelle passerait trop près de la maison », a-t-il entendu dire auprès d'une personne proche du dossier.
Pour Patrice de La Bouillerie et Denis Rolland, il y a urgence à réagir. D'autant que Maison Neuve n'est pas du tout classée, « alors qu'elle avait été réhabilitée avec des prescriptions des Bâtiments historiques », observe M. Rolland.
Un collectif d'associations
La maison forestière peut donc être, d'un jour à l'autre, la proie des bulldozers.
C'est pourquoi Patrice de La Bouillerie a, le 5 octobre, fait une demande de classement au titre de l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Dans sa missive, il rappelle qu'en 1973, un certain Jacques Chauvin, très investi dans la préservation de la forêt de Retz, avait convaincu Jacques Chirac, alors ministre de l'Agriculture et du Développement rural, de conserver ce patrimoine.
De son côté, Denis Rolland entend bien mobiliser les associations en lien avec l'histoire et le patrimoine local : « L'idéal serait de créer un collectif. »
« On est tous d'accord pour aménager la RN 2, insiste-t-il, mais pas en sacrifiant le patrimoine. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-heritage-du-xviiie-siecle-menace
AU tout début des années soixante-dix, la maison forestière Maison Neuve, bordant la RN 2 au niveau du rond-point de Montgobert, était promise à la démolition. Il s'agissait, à l'époque, de doubler la nationale sur ce tronçon. Un mouvement populaire avait non seulement réussi à la sauver mais avait aussi obtenu sa rénovation complète, en 1973.
Depuis, cette belle demeure en pierre de taille du XVIIIe siècle, la seule à avoir conservé son aspect d'origine, coule des jours heureux. Depuis 2006, la bâtisse, propriété de l'ONF, est louée en concession d'occupation à l'association les Amis tricolores du Valois, une société de chasse à courre.
L'on pensait la maison forestière sauvée à tout jamais. D'autant que l'ONF avait indiqué, à l'époque de la signature du bail, « qu'en connaissance des études actuelles [du projet de requalification de la RN 2, NDLR], la maison forestière de Maison Neuve ne sera pas impactée ».
L'État a engagé, ces deux dernières années, les travaux de doublement de la RN 2. L'on devrait prochainement entamer le chantier de requalification du rond-point de Montgobert, avec un échangeur. Dans les plans initiaux, il ne s'agissait pas de démolir Maison Neuve. Il se pourrait qu'elle soit à nouveau menacée. De quoi attiser la curiosité de Denis Rolland, le président de la Société historique de Soissons, lequel s'est fait confirmer cette information par le président de l'association les Amis tricolores du Valois.
Patrice de La Bouillerie a pourtant signé un bail jusqu'en 2016. « La bretelle passerait trop près de la maison », a-t-il entendu dire auprès d'une personne proche du dossier.
Pour Patrice de La Bouillerie et Denis Rolland, il y a urgence à réagir. D'autant que Maison Neuve n'est pas du tout classée, « alors qu'elle avait été réhabilitée avec des prescriptions des Bâtiments historiques », observe M. Rolland.
Un collectif d'associations
La maison forestière peut donc être, d'un jour à l'autre, la proie des bulldozers.
C'est pourquoi Patrice de La Bouillerie a, le 5 octobre, fait une demande de classement au titre de l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Dans sa missive, il rappelle qu'en 1973, un certain Jacques Chauvin, très investi dans la préservation de la forêt de Retz, avait convaincu Jacques Chirac, alors ministre de l'Agriculture et du Développement rural, de conserver ce patrimoine.
De son côté, Denis Rolland entend bien mobiliser les associations en lien avec l'histoire et le patrimoine local : « L'idéal serait de créer un collectif. »
« On est tous d'accord pour aménager la RN 2, insiste-t-il, mais pas en sacrifiant le patrimoine. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-heritage-du-xviiie-siecle-menace
Églises fracturées / Mgr Giraud: «Un acte de profanation grave»
À la suite de vols avec effraction commis dans deux églises de Soissons, l'évêque, Mgr Giraud, a vivement réagi. Pour lui, le saint-sacrement a été profané.
IL fallait « réparer cette injure par un acte pénitentiel ». Une messe exceptionnelle s'est ainsi tenue samedi à l'église de Presles. L'Évêque Mgr Hervé Giraud s'est fait le porte-voix de la communauté chrétienne, très choquée à la suite des vols avec effraction commis dans deux lieux de culte dans la nuit de mercredi à jeudi où un ciboire, un ostensoir ou encore une étole ont été dérobés. « On se sent comme après une violation de domicile », explique-t-il.
Atteinte au sacré
La porte de l'église Sainte-Eugénie a été fracturée, le tabernacle ouvert, des papiers et de l'argent ont été volés. Mais c'est à l'église de la Résurrection, dans le quartier de Presles, que le pire a été commis : le tabernacle a aussi été fracturé et les hosties consacrées emportées.
Ces méfaits ne sont pas pour la communauté catholique qu'un simple vol. En effet, fracturer le tabernacle et voler les hosties, c'est porter atteinte au Christ, au sacré. « Au sens de notre foi, c'est un acte de profanation grave », observe l'évêque de Soissons, Laon et Saint-Quentin. « Ce manque total de respect à l'égard des hosties consacrées offense celui en qui nous croyons et les délits perpétrés blessent toute la communauté. »
Mgr Giraud a immédiatement bouleversé son emploi du temps - il devait dire une messe à Terny-Sorny - pour organiser une messe, samedi en fin d'après-midi à l'église de Presles afin que le saint-sacrement soit consacré à nouveau. « Je voulais que ce soit fait le samedi soir, avant la messe du dimanche. » Bien que l'évêque ait communiqué tard sur cette messe improvisée, les fidèles étaient nombreux.
Rites satanistes ?
Cette affaire laisse un goût amer, d'autant qu'elle soulève quelques questions sans réponse. « Etait-ce des violences gratuites, juste pour avoir quelques objets dorés, qui n'ont aucune valeur d'ailleurs, ou était-ce par idéologie anti-chrétienne ? », se demande l'évêque. Comme les forces de police, Msg Giraud a eu vent de mouvements satanistes assez importants dans le département. Les hosties sont parfois utilisées dans les rites satanistes. Pourquoi avoir alors pris les hosties dans une église et pas dans l'autre ? Mystère…
Il n'est pas rare que des vols soient commis dans des églises, en général en journée et pendant les heures d'ouverture. Mais de nuit, avec effraction, pour voler des hosties ou un vase liturgique, ça l'est déjà plus.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/eglises-fracturees-mgr-giraud-un-acte-de-profanation-grave
IL fallait « réparer cette injure par un acte pénitentiel ». Une messe exceptionnelle s'est ainsi tenue samedi à l'église de Presles. L'Évêque Mgr Hervé Giraud s'est fait le porte-voix de la communauté chrétienne, très choquée à la suite des vols avec effraction commis dans deux lieux de culte dans la nuit de mercredi à jeudi où un ciboire, un ostensoir ou encore une étole ont été dérobés. « On se sent comme après une violation de domicile », explique-t-il.
Atteinte au sacré
La porte de l'église Sainte-Eugénie a été fracturée, le tabernacle ouvert, des papiers et de l'argent ont été volés. Mais c'est à l'église de la Résurrection, dans le quartier de Presles, que le pire a été commis : le tabernacle a aussi été fracturé et les hosties consacrées emportées.
Ces méfaits ne sont pas pour la communauté catholique qu'un simple vol. En effet, fracturer le tabernacle et voler les hosties, c'est porter atteinte au Christ, au sacré. « Au sens de notre foi, c'est un acte de profanation grave », observe l'évêque de Soissons, Laon et Saint-Quentin. « Ce manque total de respect à l'égard des hosties consacrées offense celui en qui nous croyons et les délits perpétrés blessent toute la communauté. »
Mgr Giraud a immédiatement bouleversé son emploi du temps - il devait dire une messe à Terny-Sorny - pour organiser une messe, samedi en fin d'après-midi à l'église de Presles afin que le saint-sacrement soit consacré à nouveau. « Je voulais que ce soit fait le samedi soir, avant la messe du dimanche. » Bien que l'évêque ait communiqué tard sur cette messe improvisée, les fidèles étaient nombreux.
Rites satanistes ?
Cette affaire laisse un goût amer, d'autant qu'elle soulève quelques questions sans réponse. « Etait-ce des violences gratuites, juste pour avoir quelques objets dorés, qui n'ont aucune valeur d'ailleurs, ou était-ce par idéologie anti-chrétienne ? », se demande l'évêque. Comme les forces de police, Msg Giraud a eu vent de mouvements satanistes assez importants dans le département. Les hosties sont parfois utilisées dans les rites satanistes. Pourquoi avoir alors pris les hosties dans une église et pas dans l'autre ? Mystère…
Il n'est pas rare que des vols soient commis dans des églises, en général en journée et pendant les heures d'ouverture. Mais de nuit, avec effraction, pour voler des hosties ou un vase liturgique, ça l'est déjà plus.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/eglises-fracturees-mgr-giraud-un-acte-de-profanation-grave
mardi 9 octobre 2012
Il tire sur le compagnon de son ex : 8 mois ferme
Un homme de 26 ans, au casier judiciaire bien rempli mais qui semblait pourtant en voie de réinsertion, était jugé, hier, en comparution immédiate, pour avoir, vendredi à Soissons, tiré avec un pistolet automatique à billes sur le nouveau compagnon de son ex.
Alors qu'il sortait du travail, c'est un SMS reçu sur son portable qui lui a donné un coup de sang : « J'ai quelque chose à te dire. Je sors avec E. »
Muni de son arme de poing, Sébastien Padieu est allé là où il savait trouver son rival. S'il a, à la barre, affirmé ne pas avoir eu l'intention de le toucher à la tête, l'un de la dizaine de projectiles a tout de même atteint la victime à un œil. La blessure n'a, par miracle, été que superficielle.
« J'ai été dépassé par les événements. Je me rends compte de la gravité des faits », confiait-il aux juges, qui avaient aussi à se prononcer sur la découverte, lors de la perquisition à son domicile, de 97 grammes de résine de cannabis.
Le président ne masquait pas son incompréhension devant ces nouveaux délits reprochés à Sébastien Padieu, alors qu'il avait fait des efforts de réinsertion et même retrouvé un poste en CDI. Le vice-procureur, Éric De Valroger, s'avouait lui-même « consterné » et requérait 4 ans d'emprisonnement dont 3 ans avec sursis.
Me Laurent Landry pointait, quant à lui, la « volonté de provoquer et d'en découdre » de la victime. « Mon client est quelqu'un qui a changé depuis qu'il travaille », insistait l'avocat, en invitant le tribunal à la clémence.
Sébastien Padieu a été condamné à 18 mois de prison, dont 10 mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-tire-sur-le-compagnon-de-son-ex-8-mois-ferme
Alors qu'il sortait du travail, c'est un SMS reçu sur son portable qui lui a donné un coup de sang : « J'ai quelque chose à te dire. Je sors avec E. »
Muni de son arme de poing, Sébastien Padieu est allé là où il savait trouver son rival. S'il a, à la barre, affirmé ne pas avoir eu l'intention de le toucher à la tête, l'un de la dizaine de projectiles a tout de même atteint la victime à un œil. La blessure n'a, par miracle, été que superficielle.
« J'ai été dépassé par les événements. Je me rends compte de la gravité des faits », confiait-il aux juges, qui avaient aussi à se prononcer sur la découverte, lors de la perquisition à son domicile, de 97 grammes de résine de cannabis.
Le président ne masquait pas son incompréhension devant ces nouveaux délits reprochés à Sébastien Padieu, alors qu'il avait fait des efforts de réinsertion et même retrouvé un poste en CDI. Le vice-procureur, Éric De Valroger, s'avouait lui-même « consterné » et requérait 4 ans d'emprisonnement dont 3 ans avec sursis.
Me Laurent Landry pointait, quant à lui, la « volonté de provoquer et d'en découdre » de la victime. « Mon client est quelqu'un qui a changé depuis qu'il travaille », insistait l'avocat, en invitant le tribunal à la clémence.
Sébastien Padieu a été condamné à 18 mois de prison, dont 10 mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-tire-sur-le-compagnon-de-son-ex-8-mois-ferme
La Ville consulte les habitants pour son Agenda 21 Des pistes pour améliorer l'environnement
Le public participe à l'élaboration de l'Agenda 21, feuille de route environnementale à laquelle peu de villes axonaises ont, pour l'instant, adhéré.
«LES trottoirs sont défoncés ou mesurent 20 centimètres de large. Avec une poussette, on ne peut pas passer ! » De telles réflexions vont faire avancer l'Agenda 21, que la Ville de Soissons souhaite élaborer ces prochains mois. Celle-ci se tenait dans le groupe « Au quotidien » constitué lors de la soirée de mardi. Le public - notamment des personnes s'étant déjà impliquées dans la vie de la commune en prenant part à des ateliers ou réunions de travail, des membres d'associations… - avait été convié. Auparavant, un travail avait été réalisé avec des partenaires de la Ville. Le tout pour, en plusieurs mois, parvenir à établir des projets aidant à un meilleur développement durable.
Hormis ce groupe, évoquant les transports, la gestion des déchets et le logement, un autre « Vivre ensemble » traitait de la solidarité, des sports et le dernier d'environnement.
Prochaine consultation en 2013
Très organisée et rythmée, la rencontre se décomposait en une présentation, avec notamment un petit film et des explications des organisateurs. Suivait le travail en atelier, minuté, avec un « gardien du temps », avant une mise en commun. Il s'agissait de définir les forces et les faiblesses constatées dans chacune des thématiques pour déterminer des enjeux. Ils ont été mis en commun lors du rassemblement de fin de soirée. Viendra ensuite la mise en œuvre des actions concrètes, auxquelles seront associés des projets déjà réalisés, comme la chaufferie biomasse qui vient d'être inaugurée ou le bilan carbone effectué par l'école Michelet. « On donne une cohérence », indique Franck Delattre, adjoint au maire. « Les enjeux seront insérés au diagnostic », note Dorothée Caudron. Le travail sur la stratégie à développer va maintenant être poursuivi avec les « partenaires » et la prochaine sollicitation des habitants de Soissons devrait intervenir d'ici fin février-début mars pour compléter la définition des actions à mener.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/la-ville-consulte-les-habitants-pour-son-agenda-21-des-pistes-pour-ameliorer-le
«LES trottoirs sont défoncés ou mesurent 20 centimètres de large. Avec une poussette, on ne peut pas passer ! » De telles réflexions vont faire avancer l'Agenda 21, que la Ville de Soissons souhaite élaborer ces prochains mois. Celle-ci se tenait dans le groupe « Au quotidien » constitué lors de la soirée de mardi. Le public - notamment des personnes s'étant déjà impliquées dans la vie de la commune en prenant part à des ateliers ou réunions de travail, des membres d'associations… - avait été convié. Auparavant, un travail avait été réalisé avec des partenaires de la Ville. Le tout pour, en plusieurs mois, parvenir à établir des projets aidant à un meilleur développement durable.
Hormis ce groupe, évoquant les transports, la gestion des déchets et le logement, un autre « Vivre ensemble » traitait de la solidarité, des sports et le dernier d'environnement.
Prochaine consultation en 2013
Très organisée et rythmée, la rencontre se décomposait en une présentation, avec notamment un petit film et des explications des organisateurs. Suivait le travail en atelier, minuté, avec un « gardien du temps », avant une mise en commun. Il s'agissait de définir les forces et les faiblesses constatées dans chacune des thématiques pour déterminer des enjeux. Ils ont été mis en commun lors du rassemblement de fin de soirée. Viendra ensuite la mise en œuvre des actions concrètes, auxquelles seront associés des projets déjà réalisés, comme la chaufferie biomasse qui vient d'être inaugurée ou le bilan carbone effectué par l'école Michelet. « On donne une cohérence », indique Franck Delattre, adjoint au maire. « Les enjeux seront insérés au diagnostic », note Dorothée Caudron. Le travail sur la stratégie à développer va maintenant être poursuivi avec les « partenaires » et la prochaine sollicitation des habitants de Soissons devrait intervenir d'ici fin février-début mars pour compléter la définition des actions à mener.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/la-ville-consulte-les-habitants-pour-son-agenda-21-des-pistes-pour-ameliorer-le
lundi 8 octobre 2012
Confrérie du haricot : la récolte amère
Elle a dû mal à digérer qu'on l'oublie, la Confrérie du haricot de Soissons. La graine lui reste même en travers de la gorge. Ce week-end, la Ville organise un parcours guidé à la découverte de l'histoire du célèbre haricot, avec un rendez-vous fixé au pied de la cathédrale, dans le petit jardin.
Or, ce jardin, la confrérie en revendique l'entière maternité. « C'est nous qui avons décidé, en 2004, de faire ce jardin. C'est surprenant mais pour cette visite, ils n'ont pas pensé à nous », indique Yana Boureux, président de la confrérie et conseillère municipale d'opposition.
Ce sont les membres de son association qui plantent les graines en mai pour en récolter les fruits en septembre. Ce qu'ils ont tenté de faire jeudi, quoique le petit jardin ne soit suffisamment entretenu (par la Ville) pour que la récolte nourrisse son homme. Qu'importe, ils se sont réunis en habits pour une cueillette symbolique et pour une distribution aux Soissonnais croisés sur leur chemin.
Des planteurs de l'association avaient prévu cette maigre récolte et avaient pris avec eux un stock de haricots. « On veut montrer que la confrérie existe toujours », souligne Yana Boureux, déjà privée de sa fête du haricot et de son défilé depuis 2009.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/confrerie-du-haricot-la-recolte-amere
Or, ce jardin, la confrérie en revendique l'entière maternité. « C'est nous qui avons décidé, en 2004, de faire ce jardin. C'est surprenant mais pour cette visite, ils n'ont pas pensé à nous », indique Yana Boureux, président de la confrérie et conseillère municipale d'opposition.
Ce sont les membres de son association qui plantent les graines en mai pour en récolter les fruits en septembre. Ce qu'ils ont tenté de faire jeudi, quoique le petit jardin ne soit suffisamment entretenu (par la Ville) pour que la récolte nourrisse son homme. Qu'importe, ils se sont réunis en habits pour une cueillette symbolique et pour une distribution aux Soissonnais croisés sur leur chemin.
Des planteurs de l'association avaient prévu cette maigre récolte et avaient pris avec eux un stock de haricots. « On veut montrer que la confrérie existe toujours », souligne Yana Boureux, déjà privée de sa fête du haricot et de son défilé depuis 2009.
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