lundi 30 juin 2014

Soissons ( 02): alerte à la bombe à la gare

Ce lundi matin, vers 7h, une partie de la gare de Soissons a été évacuée à cause d'une alerte à la bombe: un bagage avait été oublié à proximité. C'est un client qui a signalé la présence de ce colis suspect.
Cette alerte a mobilisé une équipe de démineurs: une valise à roulettes noire abandonnée sans étiquette avait été signalée par un client sur le parvis.

Un périmètre de sécurité a été mis en place mais les spécialistes n'ont pas eu besoin de faire sauter le bagage oublié.

Les guichets ont été fermés le temps de l'intervention mais la direction de la SNCF assure qu'il n'y a pas eu de retards sur les trains.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/06/30/soissons-02-alerte-la-bombe-la-gare-508903.html

"Se Cayo" lors de l'été de la Saint-jean

dimanche 29 juin 2014

Le 17e Pic’Arts tient toutes ses promesses


17e édition du festival Pic'Arts par UnionArdennais « Vous avez de la voix ? », ou « Qui a vécu les années 80 ? » ou encore « Avez-vous peur de la pluie ? »

Ils en ont posé des questions au public, les artistes qui se sont succédé, hier, dès le milieu de l’après-midi et jusqu’à la nuit, au pied du donjon de Septmonts. Si les deux premières interrogations sont de Cats on Trees, la troisième était la plus pertinente, traduisant peut-être une petite pointe de stress de la part du chanteur de Lyre le Temps. Faisant montre d’une énergie impressionnante, sautant comme une balle rebondissante sur la scène, même au début de son tour de chant, alors que l’ambiance était un peu molle, il a dû affronter pas mal de gouttes. Mais le public ne l’a pas lâché. Si certains se sont retranchés dans le bosquet, d’autres avaient prévu l’équipement de pluie et d’autres sont restés stoïques.
Très attendues, les vedettes, qui avaient déjà attiré de nombreuses réservations au fil des dernières semaines, ont eu le succès escompté. De leur côté, elles ne se sont pas ménagées. Sweety Haze et Arnaud Mace ont ouvert le bal, l’ambiance est devenue romantique un peu avant la nuit, avec Cats on Trees, avant de s’enflammer avec Patrice puis Keziah Jones.
Il y en avait donc un peu pour tous les goûts, et c’est visiblement ce qui fait le succès annoncé de cette dix-septième édition pour laquelle de très nombreux forfaits deux jours ont été vendus. En effet, à Septmonts, le public est familial et, comme le disait Higelin il y a quelques années, on aime s’asseoir par terre. Personne ne s’en est privé hier et on est venu même avec des enfants !
On ne relâche pas la pression aujourd’hui. Dès 17 heures, le chanteur de rap français Diziz la Peste entrera dans la place, suivi d’Oldelaf et ses chansons rigolotes. Alex Hepburn lui succédera. Vous avez forcément dans la tête son tube de l’année, en l’occurrence Under.
La soirée se poursuivra avec Ben l’Oncle Soul, qu’on ne présente plus, puis avec Hollysiz, peu avant minuit. On compte sur elle pour nous emmener danser. Sans doute pas aussi bien qu’elle dans le clip de Come back to me, mais qu’importe. L’important, c’est de faire la fête. Et elle a bien commencé.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/video-le-17e-pic-arts-tient-toutes-ses-promesses-ia0b0n370205

samedi 28 juin 2014

Pour les soldes, passez au bar !

SOISSONS (02). Un bistrot a pris l’initiative originale de proposer des promotions sur les boissons durant la période des solde. Le café baisse ainsi de 25 %, les sodas de près de 30 %.
Le café à 0,90 euros, une eau pétillante ou un soda à 2 euros tout rond, ou encore 50 % sur les chewing-gums… Durant la période des soldes, qui a commencé hier, un bar installé dans la galerie marchande de l’Intermarché de Crouy a décidé de proposer des prix réduits. « Ce sont des promotions, car je ne pense pas avoir le droit d’appeler ça soldes », explique Éric Delorme, qui aide son épouse à gérer le bar-snack-presse-jeux-PMU Le Mail.
Pour le commerçant, c’est une occasion de se faire connaître. « Nous avons ouvert en septembre dernier. Pour le moment, notre clientèle est surtout composée de gens venant faire leurs courses. Nous aimerions toucher également des personnes de l’extérieur ».
Cette baisse temporaire des tarifs durera jusqu’au 29 juillet prochain. À savoir également : les réductions concernent de nombreuses références du commerce. « Sur ce qui concerne l’alcool, je n’ai pas le droit de communiquer », souligne Éric Delorme.
Pour le nouvel établissement, l’initiative est aussi un test. « Les gens choisissent-ils un bar en fonction du tarif ? Pour le moment, je ne sais pas… Mais si nous n’essayons, nous ne saurons jamais », commente Éric Delorme.
Même si Le Mail a ouvert à la rentrée 2013, le couple de commerçant n’est pas inconnu dans le secteur. La femme d’Eric Delorme, Karine, est déjà gérante du bar-tabac-loto de Bucy-le-Long depuis neuf ans. Quant à Éric Delorme, il est issu d’une famille de commerçants. « Mes parents ont tenu le restaurant Au petit cochon à Cuffies », raconte-t-il.
Pour l’anecdote, les commerçants ont choisi le nom de leur nouveau bar en fonction de son implantation. « Le Mail, ça désigne l’allée entre la sortie des caisses et la galerie marchande. C’était donc tout naturel… »

http://www.lunion.presse.fr/region/pour-les-soldes-passez-au-bar-ia3b26n369033

vendredi 27 juin 2014

SOISSONS (02). Les agriculteurs manifestent

Une cinquantaine d'agriculteurs du Soissonnais et de Chauny se sont rassemblés devant la permanence de la député Marie-Françoise Bechtel, apparentée socialiste, ce vendredi matin. Ils ont déversé des chardons ainsi que du purin sur la chaussée afin de manifester leur inquiétudes quant à l'avenir de la profession. Ce rassemblement a réuni éleveurs et céréaliers qui expriment leur ras le bol par rapport aux aux normes et contraintes administratives imposées par l'Etat et l'Union européenne.
La ville n'a pas connu de perturbation majeure en termes de circulation

http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-02-les-agriculteurs-manifestent-ia231b0n369605

jeudi 26 juin 2014

Ces dames courage de Soissons

 Alors que la guerre débute, des femmes accomplissent des missions sanitaires et sociales et assument des responsabilités politiques qui suscitent bien des critiques.

Lorsque les Allemands arrivent le 1er septembre 1914 devant Soissons après avoir paradé dans les rues de Saint-Quentin, le maire Victor Becker et de nombreux habitants de cette sous-préfecture de l’Aisne ont préféré quitter la ville. D’autres sont restés et ils voient l’ennemi entrer dans la cité, poussant devant lui des otages. Le pillage des commerces et de plusieurs maisons commence tandis que l’hôtel de ville est fouillé de fond en comble. L’envahisseur est persuadé que des militaires français s’y sont dissimulés.
Les officiers cherchent un interlocuteur et on leur indique la « Dame de la Croix-Rouge », Jeanne Macherez qui revient du couvent des sœurs de l’Enfant-Jésus où elle a déposé du matériel sanitaire puisque les locaux sont transformés en ambulance. Cette sexagénaire dévouée est la veuve d’un ancien député et sénateur du département qui a également été vice-président de la chambre syndicale des sucres de France. Fondatrice de « La Goutte de lait » en 1909 pour une meilleure santé des nouveau-nés, elle est la responsable de la Croix-Rouge du comité Soissons-Braine et siège au comité national. Jeanne Macherez est invectivée parce que l’occupant exige ravitaillement et réquisitions. Elle toise le militaire qui lui donne des ordres et répond avec un grand calme : « Le maire c’est moi ». Elle réagit avec le même sang-froid que d’autres femmes de la région comme Mlle Migeot, institutrice à Lalobbe (Ardennes).

Intelligence et autorité

L’Axonaise tient tête à l’adversaire dénonce les pillages et en impose même à un général qui exige néanmoins la fourniture dans les dix jours de soixante-dix mille kilos de lard, de jambon, de viande fumée, de poisson en conserve, de légumes secs ainsi que soixante-dix mille kilos de nourriture pour les chevaux. Elle se bat pied à pied pour atténuer les souffrances induites par les exigences allemandes. Elle est aidée par Mgr Pierre-Louis Péchenard, évêque de Soissons ainsi que par un notaire, Me Blamoutier. Cette gestion est critiquée par M. Muzart, conseiller municipal qui a formé un comité de secours. Il assure que c’est lui qui fait fonction de maire à compter du 3 septembre. L’échec des Allemands sur la Marne les contraint à la retraite et le 12 septembre 1914, ce sont les chasseurs d’Afrique et les zouaves de la 45e division qui entrent en ville. L’ennemi s’est alors replié sur le plateau qui domine la rive droite de l’Aisne. Depuis Pasly et Pommiers l’artillerie allemande tire au hasard sur la ville.
Les blessés affluent et Jeanne Macherez confie leur accueil dans l’ancien collège à une jeune parisienne volontaire, Germaine Sellier, 25 ans. Bientôt, le préfet Robert Leullier désigne Georges Muzart comme maire. On n’imagine guère qu’une femme puisse assumer de telles responsabilités ! L’infirmière minimise son rôle devant les journalistes mais en ville, ils entendent surtout des compliments et des témoignages sur le courage exemplaire de cette femme. « Elle a été l’âme et le cerveau de Soissons en ces jours d’épreuve et de péril », « Elle s’en tire à merveille et inspire toute confiance et respect » entendent-ils. « L’Illustration » consacre un article à « La mairesse de Soissons ». Le « Petit Écho de la Mode » parle de la « Dame de fer ». Le 4 décembre 1914, elle reçoit une citation civile dans laquelle le gouvernement porte à la connaissance du pays sa belle conduite. Le 19 janvier 1915 c’est « Le Petit Journal » qui parle de l’exemple de cette « Grande dame de l’Aisne » tandis que Germaine Sellier est surnommée « La Dame blanche ». Le maire Georges Muzart fait le service minimum lorsqu’on enquête afin de proposer Jeanne et Germaine pour la croix de guerre.

Décorations méritées

Jeanne Macherez est citée à l’ordre de la division : « Pendant l’occupation allemande, a fait preuve de la plus grande ténacité pour défendre les intérêts français et a donné, dans les mois qui ont suivi, un exemple magnifique du mépris du danger. Passionnément attachée au pays et à l’armée, elle a fait face dans des circonstances les plus périlleuses à d’incessantes difficultés, donnant à tous le plus beau témoignage de dévouement et de vaillance ». Germaine Sellier est citée à l’ordre de l’armée : « A témoigné en toutes circonstances d’une grande bravoure, en consacrant avec abnégation au traitement des blessés et des contagieux dans un bâtiment éventré sans cesse par les obus ».
La citation indique aussi qu’elle a été blessée au genou par une balle de shrapnell. Il faut savoir qu’une autre infirmière Anne Canton Baccara chargée de l’ambulance de Vauxbuin faite prisonnière par les Allemands et blessée par un éclat d’obus est décorée de la croix de guerre avec palme et reçoit la croix de chevalier de la Légion d’honneur. Ses deux assistantes, Geneviève et Jeanne de Maistre reçoivent aussi la croix de guerre avec palme.

http://www.lunion.presse.fr/region/ces-dames-courage-de-soissons-ia3b26n368616

lundi 23 juin 2014

SOISSONS (02). Un compteur à gaz en feu: plusieurs maisons évacuées

Un compteur à gaz a pris feu dans la nuit de dimanche à lundi, vers 1 heure du matin, au 9 rue Ambroise-Paré, à Soissons. Un problème sur le compteur électrique attenant a causé l’incident. Deux fourgons de pompiers sont rapidement intervenus et ont évacué plusieurs maisons, dont celle sur laquelle était installés les compteurs, où se trouvaient un couple de personnes âgées et leur fils. Les autres riverains ont, avant de regagner leur logement, dû attendre que les pompiers maîtrisent l’incendie, très impressionnant avec une colonne de feu de plusieurs mètres.

http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-02-un-compteur-a-gaz-en-feu-plusieurs-maisons-ia231b0n367257

dimanche 22 juin 2014

Baxi : licenciement, la deuxième vague arrive cet été

hebergeur image SOISSONS (02). Dans le processus de liquidation du site Baxi de Soissons, devenu Chappee depuis le rachat, il y a trois phases. La première a commencé en janvier dernier. Les 29 premières lettres de licenciements sont arrivées. Ou plutôt pour ceux « qui ont été notifiés »... Soit les premiers concernés par le choix de prendre les indemnités tout de suite et tirer un trait définitif sur cette partie de sa vie. Ou alors se lancer dans la procédure de reclassement, soit le travail du groupe Aksis, lauréat de ce marché.
Pour ces 29 premières feuilles, seul un très petit nombre (deux) n'avait pas opté au départ, pour le reclassement. Aujourd'hui, la situation est différente, mais la seule et unique personne du cabinet apte à communiquer, n'était pas joignable cette semaine.
L'été prochain va voir la seconde vague de « notifications ». La troisième arrivera à la fin de l'année, y compris pour ceux qui vont rejoindre le site cotterézien du groupe Chappee. Les ultimes départs seront ceux des salariés protégés (délégués du personnel, au comité d'entreprise et délégués syndicaux). La fermeture définitive du site version Baxi Chappee sera effective en 2015.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/baxi-licenciement-la-deuxieme-vague-arrive-cet-ete-ia0b0n366491

samedi 21 juin 2014

14 000 euros pour un chauffe-eau !

21 000 euros de travaux dans la même journée. Les faux artisans n’y sont pas allés de main morte avec Guy Petit, un habitant de Cuffies âgé de 83 ans. « Une personne est venue chez moi mercredi matin (le 11 juin, NDLR). Il m’a convaincu de poser une ventilation mécanique contrôlée (VMC) dans mes combles », raconte le retraité.
Le démarcheur se présente en tant que salarié de « Réseau ACH », une entreprise qui existe bel et bien mais qui ne semble pas impliquée dans cette histoire. L’usurpateur a une manière assez inhabituelle de travailler : il propose à Guy Petit de réaliser la pose immédiatement, sans lui délivrer de bon de commande, ni de devis.
« Sur le coup, j’ai un peu perdu les pédales. Je lui ai fait un chèque d’environ 7 000 euros », avoue Guy Petit. Un montant exorbitant, qui représente le double du prix moyen pour une installation haut de gamme.

Une plainte déposée à la gendarmerie

Les déconvenues de l’octogénaire ne vont pas s’arrêter là. Vers 16 heures, le prétendu installeur s’en va. « Nous sommes allés faire des courses avec ma fille. En revenant vers 18 h 30, il y avait de l’eau pleine ma cave, et dans la cour », raconte Guy Petit. Son chauffe-eau s’était mis à fuir. « Même pas deux minutes, deux autres gars se sont présentés à mon domicile. Ils disaient être de la même société ».
Les deux hommes font usage de la même méthode. Ils mettent la pression sur le retraité, en lui indiquant qu’il faut changer le chauffe-eau. Ce dernier finit par céder et les deux hommes repartent avec un chèque de 14 000 euros. « Ils m’ont dit qu’ils reviendraient le lendemain avec le matériel. Ils l’ont fait, mais je n’ai pas ouvert », raconte Guy Petit. Au lieu de cela, le retraité a été déposé plainte à la gendarmerie. Il conclut : « Aujourd’hui, il faut se méfier de tout le monde ».

http://www.lunion.presse.fr/accueil/14-000-euros-pour-un-chauffe-eau-ia0b0n365403

jeudi 19 juin 2014

Soissons (02) : un Roumain interpellé pour "vol à la paupière"

Ce matin, deux personnes tentent de retirer de l’argent dans un distributeur de billets du centre ville de Soissons. Mais l’argent ne sort pas. Le distributeur est piégé : une réglette empêche les billets de sortir. Un peu plus tard, le voleur, d’origine roumaine, s’approche du distributeur et récupère les billets coincés.

Interpellé sur le fait par les gendarmes de Soissons, le malfaiteur a avoué avoir piégé deux autres distributeurs de la ville. Il sera présenté très prochainement devant un juge dans le cadre d’une procédure de reconnaissance de culpabilité, le plaider coupable.

C’est la 3e affaires de ce genre qui se produit à Soissons. Elles aussi mettaient en cause des roumains.


 http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/06/18/soissons-02-un-roumain-interpelle-pour-vol-la-paupiere-501571.html

Unis pour un tour de chant à Villers-Cotterêts

Philopolis est née il y a un mois et sa renommée se résumait jusque-là essentiellement à sa participation à la commémoration de l’abolition de l’esclavage. L’association fait aujourd’hui à nouveau parler d’elle en programmant la venue du groupe de rock Jagas. Un courrier du maire actuel avait suscité la déception chez les artistes sollicités par son prédécesseur pour jouer lors de la musique. Ils affirmaient avoir été déprogrammés alors que Franck Briffaut, maire FN de Villers-Cotterêts, indiquait leur avoir proposé de se produire dans une programmation globale sans nier cependant que leurs textes lui déplaisent. L’épilogue a donc été suscité par Philopolis qui organise la venue des rockeurs dans un lieu privé.
Thomas Humbert, chanteur du groupe parle, lui, d’union, « ce qui m’ intéressait, c’était créer une dynamique pour un espace artistique ». Le leader de la formation musicale indique comment il a rencontré les responsables de Philopolis après « avoir contacté plusieurs personnes sur Villers-Cotterêts ». Car ce groupe des Yvelines tenait à jouer tout de même dans la cité de Dumas. « C’est nos messages qui ont été attaqués », affirme celui qui écrit les textes. Il admet d’ailleurs que, de toute façon, même sans courrier du maire, le groupe aurait eu à « se positionner » et à avoir une réflexion après l’élection d’une municipalité FN.

Perte d’argent

Il l’a fait en proposant de jouer gratuitement alors même que ces artistes cherchent à vivre de leur passion. « Ça va nous coûter un peu d’argent », précise le chanteur.
Le discours du musicien s’harmonise tout à fait avec celui des responsables de la nouvelle association, dont certains, notamment le président Jean-Claude Monnier et la trésorière Christiane Dufour, étaient candidats aux municipales sur la liste du front de gauche. Interrogé sur la proposition faite par le maire de laisser jouer Jagas salle Démoustier, « dans un créneau réservé aux amateurs, ce que n’est pas Jagas », le président affirme qu’elle cache les vrais enjeux : « la volonté du FN de censurer ce qui, à ses yeux, est partisan en s’attaquant à ses symboles. C’est aussi sa limite car il ne peut pas faire la loi en dépit des lois ». Même s’ils tiennent à dire qu’ils ne sont encartés dans aucun parti politique et que l’association veut créer des événements culturels. Son objectif sera aussi et surtout d’être « un club de réflexion  et de réaliser un travail d’animation, quelque chose de l’ordre de la démocratie locale », souligne le président. Aussi celui qui enseigne la philosophie décrypte-t-il le nom de l’association en unissant philia, l’amour, et polis, la politique, qui peut aussi se traduire, dit-il, par l’amour de la ville.

http://www.lunion.presse.fr/region/unis-pour-un-tour-de-chant-a-villers-cotterets-ia3b26n365039

mardi 17 juin 2014

Albane sera-t-elle la grande gagnante du casting Elite Look Model ?

Albane, originaire de Taillefontaine, participera au casting national d’Élite Model Look, en août à Paris. Du haut de ses 17 ans et de son mètre 78, elle se prépare à cet événement avec excitation.
Faire de la mode le centre de sa vie n’est pas donné à tout le monde. Albane en a pourtant décidé ainsi. À 17 ans, elle prend son avenir à bras-le-corps tout en gardant les pieds sur terre. Son souhait ? Se tourner vers la gestion de défilés, vers le lien avec les mannequins, les créateurs. Lors du casting de sélection de l’Élite Model Look début juin à Marne-La-Vallée, la jeune fille était loin de penser participer au casting national, qui se déroulera en août à Paris. «  Je suis plutôt réservée et défiler devant des centaines de personnes, être jugée, critiquée fait monter la pression », confie-t-elle. « Mais cela procure de l’adrénaline, c’est comme tirer à l’arc, on se dépasse, on se sent léger et entier ».
Albane tend vers son rêve de mannequinat en restant humble. «  Même en accédant au podium des défilés de plus ou moins grandes marques, il faut rester soi-même. Cela peut paraître évident, mais il me semble plus important de garder mes véritables amis que de m’enfermer dans ce que je peux faire ».

Un corps sain dans un vêtement de créateur

Cette grande passionnée de mode et de défilé regardait magazines de mode et défilés avec sa mère. Rapidement, elle a voulu être à la place des mannequins afin de porter des vêtements de créateurs. Textures, couleurs, formes, le stylisme de haute couture attire Albane. D’ailleurs, elle adore le styliste John Galliano, ex-couturier de Dior. «  Il a su mêler classe, beauté et extravagance, un trio important dans la haute couture ! » Chanel, Louis Vuitton et Louboutin ne sont pas en reste dans les préférences de la jeune fille.
Pour percer dans ce monde d’élégance et accéder à son rêve, la jolie Albane opte pour un mode de vie sain. «  Alimentation équilibrée et course à pied sont les clefs de mon énergie  ! », sourit-elle. Car pour elle, mode ne rime pas avec anorexie. Elle soupire doucement lorsque d’autres jeunes déplorent l’aspect des mannequins, considérées décharnés. «  Il doit y avoir une part de jalousie. Nous rêvons toutes d’être comme les femmes des magazines, toujours jeunes et belles ! Mais ce qui est certain, c’est qu’il faut garder un équilibre de vie pour garder sa beauté ».

http://www.lunion.presse.fr/accueil/albane-sera-t-elle-la-grande-gagnante-du-casting-elite-look-ia0b0n363604

lundi 16 juin 2014

Un train Laon-Paris saboté

Ce lundi matin, les voyageurs du Laon-Paris ont accusé près de deux heures de retard à l'arrivée en gare du Nord. Le train avait été saboté.
Le train de 6 h 35 n'a pas pu partir à l'heure de Laon à destination de Paris, rapporte France3. Des cheminots non grévistes ont en effet constaté que des tuyaux d'air avaient été sectionnés entre la locomotive et le wagon suivant et entre d'autres wagons du convoi. Ces tuyaux d'air assurent le bon fonctionnement du freinage du convoi.
Les voyageurs ont été transférés dans un autre train qui est arrivé à destination vers 10h30 au lieu de 8h26. La SNCF a décidé de porter plainte. Les passagers devraient être indemnisés.
Voilà qui ne va pas arranger la réputation de cette ligne déjà bien connue pour ses retards. En effet, près d'un train sur dix sur la ligne Paris-Laon n'arrivent pas à l'heure. En janvier, un des TER a enregistré un record historique : 6 heures pour rejoindre la capitale

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-train-laon-paris-sabote-ia0b0n363638

mercredi 11 juin 2014

A Soissons, les instituts de beauté sont -un peu- trop nombreux

SOISSONS (02). On compte dans la ville seize salons dédiés au bien-être du visage et du corps. Deux ont encore ouvert cette année. La concurrence est rude et la survie pas garantie
Les instituts de beauté à Soissons, c’est un peu comme les cheveux ou les ongles, ils poussent inexorablement. Juana Hernandez, qui a ouvert le centre du Vernet il y a seize ans, le confirme : « Quand j’ai fait mon étude de marché à l’époque, il n’y avait que deux instituts de beauté et deux ou trois kinés qui faisaient de l’amincissement », indique-t-elle. Et de commenter : « Aujourd’hui, on ne les compte plus. »
En fait si, on les compte quand même. Plus facilement que les poils sur un bras en tout cas. Il y en a 16 au total dans la cité du Vase auxquels s’ajoutent 9 entreprises à domicile, essentiellement des auto-entrepreneurs. « Quand j’ai ouvert en 2007, nous n’étions pas autant », note Aurélie Lebas, gérante de l’institut Céleste. Élise, son apprentie, renchérit : « Il y a un an quand je faisais mes recherches, il y en avait 14. Depuis, il y en a deux qui ont ouvert. » Elle fait ses études au CFA de Château-Thierry, en esthétique cosmétique. Et d’après elle, beaucoup de ses camarades étudiantes trouvent leurs stages et leur apprentissage dans les instituts de beauté soissonnais.

De la concurrence en nombre

Pour autant, Aurélie Lebas nuance : « J’ai aussi l’impression qu’il y en a qui ouvrent et d’autres qui ferment. » Un turnover qui pourrait ajouter à cette impression de masse.
Alors comment survivre dans cette jungle concurrentielle ? « Moi je travaille sur le bouche-à-oreille et on communique de temps en temps. Le service, la qualité, le lieu sont importants », assure Juana Hernandez. Idem pour Aurélie Lebas : « Ce qui fait la différence, c’est la qualité du travail et le sérieux. »
Malgré la crise, cette activité des soins esthétiques se porterait bien. Pour Juana Hernandez, c’est même lié : « Plus le secteur est sinistré, plus les gens ont besoin de s’occuper d’eux. » Aurélie Lebas acquiesce : « On a besoin de plus en plus de moment à soi. » Pour preuve, « quand j’ai débuté, on faisait très peu de soin relaxant. Aujourd’hui, il serait impensable de ne pas en proposer ». Une évolution dans la palette des offres, avec les cartes cadeaux, qui permet aux esthéticiennes de la ville de garder le sourire, si elles n’oublient pas, comme Juana Hernandez, « que rien n’est jamais acquis ».

http://www.lunion.presse.fr/accueil/a-soissons-les-instituts-de-beaute-sont-un-peu-trop-nombreux-ia0b0n360588

mardi 10 juin 2014

Partez en visite !!!

Flashez et visitez !
Trois applications gratuites (Appl Store, Goggle Play et site Mobile) pour visiter les cités historiques de l'Aisne... Une opportunité à exploiter de toute urgence. Flashez le code et partez en visite ! C'est magique.


http://www.ville-soissons.fr/actualite/smartphone-et-sites-historiques/

Vous cherchez un emploi pour cet été ? Figurez-vous qu'il en reste !

Animateurs à Villers-Cotterêts ou encore à Laon, technicien d’usinage à Soissons, employé de restauration rapide ou préparateur de commandes en intérim… Nous avons dû chercher pour les trouver, mais ces offres d’emploi existent bel et bien en ce moment. Certaines constituent ce que l’on appelle les « jobs d’été ». Mais beaucoup des postes à pourvoir en ce moment sont plus que ça.
Pour commencer, c’est un fait, la plupart des jobs d’été sont pourvus. Par exemple, le camping de Berny-Rivière a déjà tout son personnel, tout comme la mairie de Soissons, qui recrutait essentiellement des animateurs. « Pour ce type d’offre, la plupart des recrutements ont eu lieu entre février et fin avril. À cette période, nous avions entre 200 et 300 offres affichées dans nos locaux », indique Stéphanie Houlette, du centre information jeunesse (CIJ) de Laon. La tendance est confirmée localement par les deux Points information jeunesse (Pij) de Soissons, qui se trouvent dans les locaux des centres sociaux de Presles et Saint-Waast. « En ce moment, il ne reste pas grand-chose, à moins d’être mobile », résume Loucif Aitmeddour, animateur du Pij et directeur adjoint du centre social de Presles. Tout espoir n’est pas perdu puisqu’en quelques minutes, l’animateur nous indique que la Ville de Laon recherche six animateurs coordinateurs, ou encore que seize postes en alternance sont à pourvoir en tant que technicien d’usinage. D’autre part, le secteur de la restauration rapide recrute.
Pour ceux qui cherchent encore du boulot, il y a encore d’autres pistes. Notamment celle il y a celles des métiers agricoles. « Beaucoup de travaux sont en train de se faire ou vont se faire prochainement : récolte des fruits rouges, des pommes et des poires, vendanges ou encore tri des pommes de terre », indique-t-on à la maison de l’agriculture de l’Aisne. Des offres d’emploi sont consultables sur le site Internet de la Maison de l’agriculture. Pour trouver, il faut également frapper aux portes et contacter directement les producteurs.
Enfin, pour ceux que l’animation ou les travaux agricoles rebutent, il reste également la voie de l’intérim. « Pour nous, l’été va être une période très chargée, puisque les entreprises ont des absences à gérer. Ensuite, c’est également le moment où elles effectuent l‘entretien de leurs machines ou de leurs matériels », décrit Nathalie Durieux, responsable des agences Adecco de Soissons et Noyon. Les principaux secteurs qui recrutent localement sont l’industrie, la logistique et le bâtiment.
Dans ces secteurs, des personnes qualifiées ont des possibilités, mais pas seulement. « Dans les trois domaines, nous recherchons tous les types de profils. Pour les personnes peu qualifiées, c’est la motivation qui comptera le plus », explique Nathalie Durieux. La responsable poursuit en précisant qu’il existe « des opportunités dans la ville de Soissons, car il existe une multitude de petites entreprises très actives dans le secteur ».
Pour le moment, les offres arrivent au coup par coup. Les deux autres agences d’intérim que nous avons contacté nous l’ont confirmé.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/vous-cherchez-un-emploi-pour-cet-ete-figurez-vous-ia0b0n360147

dimanche 8 juin 2014

Sa webradio soissonnaise écoutée jusqu’aux USA

SOISSONS (02). Un jeune habitant de la cité du Vase, Quentin Esse, a créé une webradio, Ten’dance webradio Soissons, qui trouve sa place sur le web. Avec des auditeurs un peu partout dans le monde.
C’est la magie du web. Avec une bonne discothèque (au sens des CD ou des mp3), un accès internet et un peu de connaissance en informatique, vous pouvez devenir patron de radio. Cela s’appelle une webradio. Quentin, connu aussi sous le pseudo de Buzzy B dans le milieu des Dj en a créé une, Ten’dance webradio Soissons, qui commence à avoir une petite audience sur le Net. Âgé aujourd’hui de 22 ans, le jeune homme, de formation cuisinier, a commencé à s’intéresser à cela dès l’âge de 14 ans. Avec déjà l’idée de tâter des premiers outils de création de webradio qui existaient déjà. «  Ce n’était pas facile et, en plus, je pense que j’étais encore trop jeune. Là, je l’ai reprise récemment et les premiers résultats sont encourageants.» Avec des auditeurs en Espagne, aux USA et en France.
Comment cela se passe ? Radionomy paye les droits d’auteur, offre un outil pour programmer les listes de chansons et permet à chaque jeune qui se lance de piocher aussi dans une vaste série d’émissions que d’autres jeunes font. Flash d’infos, de météo, d’horoscope, actualités sportives, cinéma, tout un choix qui permet de construire une véritable programmation radio. Mais sur le web. Attention, les règles sont fixées aussi dès le départ avec Radionomy : la web radio doit avoir un minimum d’auditeurs en durée au bout de six mois pour pouvoir bénéficier de la plateforme.
«  C’est le jeu, explique Quentin, et il faut bien choisir, s’organiser pour ne pas être pris en défaut sur une mauvaise programmation, sélectionner ce que l’on veut dans les émissions. Pour ma radio, j’ai choisi de l’information sportive, du cinéma, l’horoscope, la météo. Et je vais bientôt prendre un programme spécial coupe du monde de football.» Ses playlists (la liste des chansons que sa radio diffuse) sont réalisées un mois à l’avance. Avec bien sûr des corrections en fonction de l’actualité. Mais ce jeune homme a un plus : deux heures en direct tous les samedis soir, juste avant l’heure de sortie en boîte, il mixe sur sa radio, de l’électro : «  Je prépare les gens pour leur soirée !  »
adresse de la radio : http://www.tendancewebradiosoissons.com/

http://www.lunion.presse.fr/accueil/sa-webradio-soissonnaise-ecoutee-jusqu-aux-usa-ia0b0n358714

samedi 7 juin 2014

Ils ont embrasé Omaha Beach

SOISSONS (02). Deux artificiers soissonnais ont participé à la soirée de commémoration du Jour J en Normandie. Une expérience hors du commun où 24 feux ont été tirés simultanément.
C ’était notre premier feu d’artifice de l’année… Et sûrement le plus gros ». Les Soissonnais Pierre et Mathieu Idelot ont encore des étoiles plein les yeux. Jeudi soir, ils se trouvaient sur la mythique plage d’Omaha Beach en Normandie, pour tirer l’un des feux d’artifice de la commémoration du 70e anniversaire du Débarquement.
« La veille du débarquement, les Alliés ont bombardé la côte normande. Les feux tirés jeudi soir étaient là pour rappeler ces tirs », explique Mathieu Idelot. Avant-hier, ce sont pas moins de vingt-quatre feux d’artifice qui furent tirés en simultanés le long de 80 km de côte. « Pour des artificiers, c’était très complexe car il fallait que l’ensemble des shows aient lieu en même temps », commente Pierre. D’habitude, les artificiers sont habitués à travailler seul.
Pour les quinze minutes de spectacle, la logistique déployée était hors-norme, avec une centaine d’artificiers présents, et surtout une ligne téléphonique spécialement installée pour l’occasion et reliant les 24 sites de tirs. Ce, afin d’assurer la meilleure coordination possible.« D’autres difficultés sont venues s’ajouter, comme le terrain, qui pouvait nous exposer au vent, ou encore la foule présente, qui nous obligeait à surveiller soigneusement les lieux ».
Les Soissonnais, au terme d’une journée marathon, ont réussi à assurer le spectacle, dont le coup d’envoi fut donné par le Premier ministre Manuel Valls. « Nous n’avons pas eu de trou noir durant le spectacle, ni de décalage. Nous sommes satisfaits ».
Pierre et Mathieu Idelot, qui œuvrent au sein de l’entreprise Aisne artifice, vont désormais se tourner vers la saison qui débute. Une dizaine de feux d’artifice les attendent notamment avec le reste de l’équipe lors de la soirée du 13 juillet. La plupart auront lieu dans le Soissonnais et dans l’Oise. Leur plus grande fierté localement, reste celui tiré à Septmonts

http://www.lunion.presse.fr/accueil/ils-ont-embrase-omaha-beach-ia0b0n359369

jeudi 5 juin 2014

Soissons (02). Deux frères artificiers tirent ce soir le feu d’artifice de Colleville-sur-Mer

Pierre et Mathieu Idelot, deux Soissonnais vont tirer ce soir à 23 heures, un des 23 feux d’artifice mis en place pour les cérémonies de commémoration du D-day sur les plages du débarquement en Normandie. Eux sont basés à Colleville-sur-Mer pour tirer un feu d’artifice que les Soissonnais vont pouvoir voir en direct sur BFM TV à partir de 23 heures4

http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-02-deux-freres-artificiers-tirent-ce-soir-le-ia231b0n358716

Amélie McCandless

mercredi 4 juin 2014

Ces animaux sont devenus des «stars»

Avec l’ouverture de la première animalerie sur Soissons, l’animal de compagnie est devenu bien plus qu’un simple chien de garde par exemple. Un membre de la famille.
Dans la zone des Moulins à Vauxbuin, les enseignes ouvrent peu à peu. Avant « But » le 17 juin, c’est « Maxi Zoo », une animalerie, qui tient l’affiche. Si les Saint-Quentinois et les Rémois connaissent déjà ce nom, c’est une première sur Soissons, même si déjà certains magasins proposent des rayons de ce style (Jardiland par exemple).
La part qu’ont prise les animaux de compagnie – nouveau style le furet ou les reptiles, ou classique que comme les chiens et chats – n’est plus à démontrer. Pour son ouverture, l’enseigne a logiquement proposé des opérations commerciales. L’une cartonne puisqu’elle consiste à participer à un concours de photo. Pas la figure du propriétaire mais celle de son fidèle animal de compagnie. Trois gagnants repartiront avec un bon pour une vraie séance de photo avec un professionnel.

Membre à part entière de la famille

«  Nous avons eu des clients qui sont venus une première fois, ont vu le concours et sont revenus spécialement avec leur animal  » explique Jessica Stasiak, la directrice du magasin. Un fait confirmé par Thomas Legoff, un des conseillers vente du magasin, qui supervise, Amélie et Alexiane, les deux jeunes femmes dédiées à ce concours. En quatre jours depuis mercredi, plus de 200 personnes sont venues obtenir leur photo et tenter de gagner le prix. Principalement des chiens, des chats mais aussi deux lapins et un furet. «  Nous allons devoir prendre un second panneau où sont affichées les photos. Il nous reste encore 15 jours pour le concours  » glisse le conseiller à la vente.
«  Aujourd’hui, c’est fini, l’animal de compagnie qui n’était par exemple, qu’un chien de garde  » analyse la directrice de magasin, «  il y a de l’affectif qui entre en compte. C’est devenu un membre à part entière de la famille. Les gens viennent nous demander des conseils. Il est hors de question de donner n’importe quoi à son animal. C’est un comportement quotidiens. Notre secteur est en pleine progression depuis quelques années  ». Sans excès ? «  Tant que l’on n’entame pas le bonheur de l’animal, on peut aller se laisser aller » glisse Jessica. Chez elle, vivent trois chiens, trois chats et des poissons…

http://www.lunion.presse.fr/region/ces-animaux-sont-devenus-des-stars-ia3b26n356313

mardi 3 juin 2014

Thierry Delprai édite son livre...

hebergeur image
 
Il est né à Villers-Cotterêts, pour ainsi dire dans le soissonnais... il vient de voir son livre édité sous son pseudonyme (Thierry Delprai) et je me devais de vous le faire savoir sur ce blog. Il faut l'encourager...
Je vous copie le message qu'il m'a adressé.


Bonjour à tous 

 

Un éditeur a accepté de publier mon roman qui dormait dans mon placard depuis de nombreuses années.


Il ne faut pas s’imaginer une publication à grande échelle, puisque les livres seront édités à la demande selon les commandes. Le monde de l’édition est un monde très complexe et assez fermé sauf pour les gens de grand talent qui ont le droit à la promotion qu’ils méritent, ce qui n’est pas évidemment mon cas.

Modestement, je me contente de prévenir ma famille, mes amis, et mes connaissances et il est évident que pour certains d’entre vous, cette information sera juste anecdotique voire sans intérêt. J’espère seulement que vous me pardonnerez le côté impersonnel de cet envoi groupé de mail. Je n’ai pas voulu faire de sélection arbitraire dans mes contacts pour que l’information soit la plus large possible et vous avez le droit également de transmettre ce message à ceux qui me connaissent mais dont je n’ai pas l’adresse. 
Si vous êtes intéressés par la lecture de ce livre vous avez plusieurs possibilités :

-         commander en librairie avec les références : « Entre silences et ratures » Thierry Delprai aux éditions Edilivre.

-         Commander la version papier ou numérique sur le site Internet d’Edilivre avec le lien suivant :

 
 


dimanche 1 juin 2014

Le fils spirituel de Dali, soissonnais le temps d’un week-end


Juan Ramirez, fils spirituel de Dali, en pleine... par UnionArdennais

Soissons met son matériel aux enchères sur le Net

SOISSONS (02). Depuis l’automne, la Ville de Soissons vend son matériel et ses véhicules déclassés aux enchères sur internet. Ils trouvent une seconde vie et la collectivité de nouvelles recettes.
Adjugés ! Vendus ! Un Peugeot Boxer, deux Renault Express, une 307, une Citroën ZX et un Mercedes gros volume. Sans oublier un matériel de démontage de pneumatiques. Alors, qui pour acheter cette magnifique balayeuse année 2004, 133 710 km au compteur ? La mise à prix est fixée à 10 000 euros, avec une buse, une cuve et un humectage à remettre en état. Il ne reste que deux semaines pour faire une offre. Alors, qui ? Un internaute sans aucun doute.
Depuis l’automne dernier, la ville de Soissons met en vente aux enchères, sur la plate-forme internet Webenchères, son matériel déclassé et obsolète. Total des recettes déjà encaissées : 7300 euros. « L’objectif est de valoriser des matériels que les agents municipaux n’utilisent plus mais qui peuvent trouver une seconde vie », indique David Bobin, directeur de cabinet du maire de Soissons. Pour accéder à ce service, «  la ville paie une cotisation et met en ligne ce qu’elle souhaite vendre avec une mise à prix sur laquelle il convient de renchérir. La vente est définitive après un acte administratif signé du maire et le versement par l’acquéreur directement auprès du receveur de la somme convenue.  »

Une démarche utile et écolo

Quand la dernière enchère dépasse les espérances, comme pour le véhicule Mercedes, et surtout lorsqu’elle dépasse la somme de 4600 euros, la vente doit être validée par le conseil municipal. L’intérêt n’est pas que pécuniaire. Au gain de recettes nouvelles pour la collectivité s’ajoute un geste écolo en recyclant du matériel encore utilisable et en réduisant les déchets. Avant cela, bien souvent, quand les poids lourds partaient avec une petite reprise, les autres véhicules du parc municipal partaient à la casse.
La nouvelle majorité municipale a décidé de maintenir ces ventes aux enchères sur le web, avec un aménagement d’ici peu. À la demande d’Alain Crémont, le maire, « la ville proposera désormais la mise aux enchères de ces véhicules et matériels en interne à la collectivité, avant d’ouvrir les enchères à d’autres publics dans le cas où aucun agent ne se porterait acquéreur », signale David Bobin qui précise : « Prochainement, la ville devrait procéder ainsi pour plusieurs fourgons, un camion nacelle, un tracteur, une remorque ou encore quelques outillages agricoles ».
Les véhicules et les matériels obsolètes trouvent aussi une nouvelle utilité, après transformation, d’un service municipal à l’autre. « La ville a transformé un ancien camion nacelle en camion plateau de 7 tonnes, très utilisé aujourd’hui pour assurer le soutien aux manifestations. Un camion spécialisé gourdronnage-gravillonnage devrait être transformé afin de permettre aux agents d’effectuer de nouveau des entretiens de voirie en régie », ajoute le directeur de cabinet. La balayeuse, elle, attend sa première enchère.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/soissons-met-son-materiel-aux-encheres-sur-le-net-ia0b0n355792