vendredi 31 mai 2013

Domaine des Cordonniers Une résidence respectueuse de l'environnement

L'opération Le Domaine des Cordonniers, mise en place par le Foyer rémois, boulevard Branly et allée du Jeu-d'Arc, a été inauguré à l'issue de l'ouverture de la seconde résidence.
La cérémonie inaugurale a eu lieu en présence de Benoît Pellot et Christophe Villers respectivement président du conseil de surveillance et président du directoire du Foyer rémois. Le ruban a été coupé par Patrick Day, maire de la ville, sous les yeux de Mireille Tiquet, vice-présidente du conseil régional, Franck Delattre, vice-président de la communauté d'agglomération en charge de l'habitat et de nombreux élus des communes voisines. Ce programme immobilier offre deux résidences de 25 appartements chacune du type 1 bis au type 4. Il s'agit de logements labellisés Très haute performance énergétique (THPE), de plus tous les appartements répondent aux règles d'accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.
Après la visite d'un appartement, les personnalités ont regagné le parking engazonné de la résidence où ont eu lieu les différentes allocutions. Le président du directoire a retracé l'historique des constructions en soulignant le respect du contrat de réalisation. Il a ensuite insisté sur la qualité des constructions destinées à être inscrites dans le temps avant de terminer en remerciant l'ensemble des entreprises pour la qualité remarquable de l'ensemble des réalisations. L'architecte, Jean-Michel Jacquet a ensuite apporté les précisions techniques en signalant : « L'environnement a été pris en compte dans la réalisation de ces bâtiments, qui, vous l'avez sans doute remarqué dispose de deux orientations, les espaces respectent les individus, c'est important pour le comportement. »
Patrick Day a fait le point sur les objectifs fixés il y a deux ans lors de la pose de la première pierre : « Le 20 mai 2011 le Foyer rémois s'était engagé dans une démarche de construction qui se voulait novatrice, qu'en est-il aujourd'hui ? » Il répondait ensuite à sa question : « Le cadre et le confort sont au rendez-vous, l'architecture est sobre et moderne, l'accessibilité est excellente et sécurisée, les dépenses d'énergie sont maîtrisées. » L'opération a été séduisante puisqu'aujourd'hui tous les logements ont été attribués. Au niveau du financement, 42 logements sont financés en Prêt locatif à usage social (PLUS) et 8 en prêt locatif aidé d'intégration (PLAI). Le Foyer rémois va poursuivre maintenant ses actions dans la Cité du Vase avec le dépôt imminent d'un permis de construire dans le projet d'aménagement du quartier des silos.

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mardi 28 mai 2013

Trafic d'héroïne : dix prévenus et deux ans d'enquête

Ecoutes téléphoniques et filatures viennent d'aboutir à l'audience de ce lundi avec dix personnes à juger dans le cadre d'un trafic de drogue.
Plusieurs dizaines de kilos auraient, selon le vice-procureur, Éric De Valroger, été vendues dans le cadre d'un trafic de produits stupéfiants - héroïne, cannabis « et surtout cocaïne » - démantelé au cours des derniers mois par les policiers. Ceux-ci n'ont pas ménagé leurs efforts et, comme le rappelait le représentant du ministère public, d'importants moyens ont été mis en œuvre pour parvenir à l'audience de ce lundi, au tribunal correctionnel de Soissons, avec dix prévenus poursuivis. Neuf seulement étaient présents et ils ne connaîtront leur condamnation que jeudi puisque, au terme d'une journée fleuve consacrée à cette affaire, le président a préféré la mettre en délibéré.
Des peines allant, pour certains, jusqu'à quatre ans de prison ferme avec mandat de dépôt à l'audience ont été requises. Deux des prévenus comparaissaient déjà détenus et sous solide escorte, l'un étant en préventive depuis plus d'un an et l'autre purgeant une autre peine, déjà dans une affaire de stupéfiants.
Missiles
Ecoutes téléphoniques, filatures et bien sûr perquisitions… Rien n'a été laissé au hasard depuis le début de l'enquête préliminaire lancée en février 2011. Il suffisait, pour se convaincre du travail réalisé, d'observer les volumineux dossiers disposés sur la table des trois juges, exceptionnellement présidés par Luc Billon, un magistrat venu spécialement de l'extérieur. « T'as du rab ? » ou « Envoie-moi le truc » : de telles phrases ont conduit les enquêteurs à établir, par exemple, que de la drogue parvenait en prison auprès de deux Soissonnais qui, justement s'étaient retrouvés dans la même cellule, à la demande du plus anciens dans les lieux.
De là à penser qu'ils organisaient, via des téléphones portables, un trafic à l'intérieur, il n'y a qu'un pas qui a été franchi par l'enquête. Ce que les intéressés ont toujours nié, assurant n'avoir demandé l'envoi de ces « missiles », lancé au-dessus du mur du centre pénitentiaire de Laon, que pour leur consommation personnelle.
Car peu d'aveux, hier. Une jeune femme s'est ainsi retrouvée « devant », comme l'a affirmé son avocat, Me Leclerc, reconnaissant, elle, avoir vendu régulièrement à une quinzaine de clients et s'approvisionner auprès de l'un des deux frères mis en cause, un troisième étant rejoint au Maroc. Ce qui a fait clamer à ce « fournisseur » - réfutant le terme de « tête de réseau » - qu'on en voulait à sa famille ! Car ce voyage est en effet crucial dans l'enquête, avec une fameuse photo devant une importante quantité de hachisch.
Des voyages, il y en a eu d'autres, en Belgique et en Hollande pour aller ensuite en Bretagne, car la vente y serait plus lucrative, comme l'affirmait le dénonciateur anonyme, par qui tout a commencé !

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lundi 27 mai 2013

Conseil municipal La ballade du maire et de l'opposante

Vous avez trop et mal dépensé : l'argument du maire à son opposante depuis le début du mandat. Elle lui retourne à chaque fois que les réalisations se font attendre.

C'EST un peu comme le refrain d'une chanson. Dès que les finances publiques interviennent dans un couplet du conseil municipal de Soissons, Patrick Day, le maire, et Édith Errasti, son opposante de droite et ancien maire, reprennent en chœur leur discours préféré. Vendredi soir n'a pas failli à ce qui est devenu une rengaine, à la faveur des débats menés sur le compte administratif 2012.
Patrick Day a une nouvelle fois voulu démontrer « la maîtrise » des dépenses publiques de son équipe, par la rigueur de sa gestion, chiffres à l'appui, et le retour à une situation financière saine pour la ville.
Il s'est notamment félicité d'une augmentation des dépenses réelles de fonctionnement de 1 %, « moins que l'inflation », tandis que les recettes de fonctionnement augmentent de 1,7 % : « Il n'y a donc pas d'effet ciseaux dans le budget, c'est-à-dire que les dépenses de fonctionnement n'augmentent pas plus vite que les recettes. »
Il a rappelé que « les taxes communales n'avaient pas augmenté depuis trois ans » et que « la politique menée avait permis de sortir de l'emprunt ».
2008, la référence
Comme toujours visée sur son bilan, Édith Errasti a rejoué sa partition pour contre attaquer : « Ici les conditions financières sont assez favorables. La majorité des ressources de la commune provient soit directement, soit indirectement des contribuables. Directement, les contribuables soissonnais sont généreux, ils ont apporté plus de 4 millions supplémentaires au compte administratif de 2008 grâce à l'augmentation des impôts. »
Son argument : si les finances sont saines, que fait la municipalité de tout cet argent ? « Pour les berges de l'Aisne, le coût pèse en totalité sur les Soissonnais. La question est donc de savoir si toutes ces dépenses améliorent réellement le confort ou le développement économique local. » Elle a cité également, entre autres, « le boulevard Jeanne-d'Arc, les Soissonnais se demandent ce que l'on attend ».
La réponse ne s'est pas fait attendre. Patrick Day lui a renvoyé comme un boomerang le bilan de la trésorerie pour la période 2004-2008 : « Soissons se trouvait placée dans les 10 % de communes les plus en difficultés. »
La mélodie se fera certainement encore entendre d'ici les élections, dans moins d'un an.


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dimanche 26 mai 2013

Vague de cambriolages dans le Soissonnais

Oulchy-la-Ville, jeudi après-midi. Il est 14 h 40 quand un homme surprend deux individus dans la cour de son voisin en train de porter une petite armoire forte contenant des armes à feu. Il intervient pour demander ce qu'il se passe et reçoit pour toute réponse, tout comme un autre témoin de la scène, un jet de gaz lacrymogène.
Plan de recherche
Les deux individus abandonnent le coffre sur place et prennent la fuite à bord d'une Twingo noire. Un plan de recherche a été mis en place par les gendarmes sur le territoire des compagnies de Soissons et de Château-Thierry. Les deux individus n'ont pas été retrouvés mais des témoins ont précisé aux forces de l'ordre que les deux hommes avaient frappé aux portes des maisons, prétextant chercher une adresse, pour vérifier s'il y avait une présence ou non.
Dans la même journée, entre 9 heures et 18 heures, en l'absence des propriétaires, deux cambriolages ont été commis à Mortefontaine, un à Dampleux et un autre à Laversine. Dans la nuit de jeudi à vendredi, cette fois dans la commune d'Arcy-Sainte-Restitue, durant le sommeil des occupants du logement, des individus se sont introduits dans une habitation et ont emporté deux téléphones portables, un ordinateur et des bijoux.
Vigilance
La gendarmerie appelle à la plus grande vigilance et invite à composer le 17 en cas de comportement suspect


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jeudi 23 mai 2013

Grève générale au collège de Presles

Les profs de Gérard-Philipe protestaient contre le projet de suppression des postes d'assistants pédagogiques.
C'ÉTAIT un appel à la grève générale. Elle le fut. À part deux profs le matin, les enseignants du collège Gérard-Philipe étaient mobilisés contre le projet de suppression des neuf postes d'assistants pédagogiques. Du personnel jugé indispensable dans ce collège classé Éclair (ex-ambition réussite).
Les « AP », comme on les nomme ici, sont présents dans les classes pour aider les élèves en difficulté, sur l'aide aux devoirs et lors des sorties. « Cela remet en question plein de choses, notamment la classe de remotivation qui vient d'être créée », explique Odile Chériot, prof de mathématiques.
Une centaine de personnes a signé la pétition que les enseignants ont fait circuler hier. Parallèlement, des élèves ont spontanément lancé la leur. « Ils nous aident, nous conseillent et nous réconfortent aussi quand ça va mal », explique la jeune Zibelle. « Quand on est trop nombreux, leur présence permet au prof de couper la classe en deux et de faire deux niveaux », souligne de son côté Jihane.

Le rectorat fait un pas en arrière
Les parents sont, eux aussi, venus assez nombreux soutenir les professeurs. « L'an dernier, ma fille avait 8 de moyenne. Je l'ai mise à l'aide aux devoirs avec un assistant pédagogique. Cela l'a beaucoup aidée. Cette année, elle est presque à 12 », raconte une maman. Emeline confirme : « Il y avait des choses que je ne comprenais pas en classe, avec tous les autres élèves. » La fille de Yann Amiot a pu en bénéficier aussi. « Elle avait des difficultés de lecture et d'orthographe ; aujourd'hui, elle a les félicitations. » Une autre maman, Lætitia Feurté, confirme : « Ils sont vraiment derrière eux, ils n'en lâchent aucun. »
Le principal du collège, Gilles Bayard, a été un peu surpris devant une telle mobilisation. Il a fallu gérer l'accueil des élèves qui ne pouvaient pas rentrer chez eux. Pour lui, pas de doute, les AP sont « un accompagnement plus qu'utile à l'établissement », et leur suppression serait « encore un coup porté à l'éducation prioritaire ».
La décision de supprimer les assistants pédagogiques dans l'académie d'Amiens - ils sont plus de 200, soit 126 en équivalent temps plein - avait été annoncée le 11 avril. Cela s'inscrit dans la volonté de Bercy de faire des économies de fonctionnement dans tous les domaines.

Compte tenu de la protestation un peu partout en Picardie, le recteur a annoncé, mardi, aux chefs d'établissement rassemblés à Amiens, que les deux tiers des AP seraient conservés dans les établissements Éclair. Le tiers restant se verra proposer des solutions, comme les emplois d'avenir.
Reste à savoir si cela s'avérera suffisant pour le corps enseignant.


http://www.lunion.presse.fr/article/region/greve-generale-au-college-de-presles

mercredi 22 mai 2013

La fibre optique arrive !

La fibre optique, qui assure un Internet à très haut débit, va se déployer sur Soissons à partir de la mi-juin, avec la mise en œuvre de deux premières boucles, l'une vers le plateau, l'autre pour le centre-ville.
C'EST une étape importante pour le développement économique que va franchir, à la mi-juin, le bassin de Soissons avec la mise en place de deux premières boucles de fibre optique. Les deux, pour un total d'un peu plus de 25 km, transiteront par le parc Gouraud, où sera physiquement installé le point de présence d'opérateurs. L'une reliera la zone d'activités du plateau et passera par Mercin-et-Vaux. La seconde (en rose) desservira le centre-ville.
« Deux autres boucles devraient être ouvertes au cours du 4e trimestre de cette année, vers les Étomelles (en rouge) et vers la zone des Taillepieds (en bleu) », indique Jean-Michel Guillon, directeur des services techniques de la communauté d'agglomération du Soissonnais.
Plus rapide et plus sûr
L'Agglo s'est dotée de cette compétence d'opérateur de télécommunication en février 2008, afin d'aménager des infrastructures dites « passives ».
L'objectif affiché était alors de « favoriser l'essor des technologies de l'information auprès des entreprises, des administrations et établissements publics de l'agglomération en créant pour les opérateurs de télécommunications des conditions techniques et financières susceptibles d'offrir des services variés à haut débit à des tarifs attractifs ».

Comme le précise Denis Collet, technicien à l'aménagement numérique auprès du Conseil général, « ce sera ainsi le premier réseau d'initiative publique (RIP) à se mettre en place dans le département ». Saint-Quentin et Laon devraient suivre, mais sans qu'un calendrier précis soit encore fixé.
Pour l'heure, les opérateurs privés SFR et Orange disposent déjà de leur réseau de fibre optique mais pour leur propre compte. La formule du RIP a pour intérêt de proposer des offres tarifaires plus abordables pour les entreprises. Vice-présidente en charge du dossier à l'Agglomération, Claire Le Flécher rappelle que l'intérêt de la fibre optique est de « proposer un Internet plus rapide mais aussi plus sûr. Il y avait un vide pour les entreprises ».

Le réseau, déployé et entretenu par la communauté d'agglomération du Soissonnais, sera ainsi « 100 % sécurisé », assure Claire Le Flécher. Le choix de la structure intercommunale, qui a voté une délibération dans ce sens la semaine dernière, c'est aussi de « proposer des prix attractifs pour les entreprises », avec ce souci, insiste la vice-présidente, de « ne pas pénaliser financièrement celles qui sont les plus éloignées ».
Le catalogue tarifaire adopté se veut, en effet, « adapté aux entreprises de tailles petite (moins de 10 salariés) et moyenne (moins de 50 salariés) en raison du coût de location dissuasif sur des distances importantes ».

L'autre objectif affiché par la communauté d'agglomération est « d'élargir l'offre concurrentielle en favorisant l'installation sur le territoire d'opérateurs télécoms dits alternatifs ».
Pour les particuliers soissonnais, la fibre optique devrait se déployer en 2015 via l'opérateur Orange.


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mardi 21 mai 2013

Cartes postales anciennes Le salon profite… de la pluie

Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Alors que la pluie battante a dissuadé les brocanteurs autant que les chineurs, le salon organisé dimanche, bien au chaud, par les Cartophiles soissonnais a récupéré une partie de la « clientèle » perdue par les vide-greniers.
Ce rendez-vous traditionnel du mois accueillait une quarantaine d'exposants au foyer socioculturel de Villeneuve-Saint-Germain.
A la mi-journée, le président, Jean-Pierre Corneille, avait déjà enregistré plus de la moitié du demi-millier de visiteurs que reçoit chaque année le salon.
Si, pour le public, cet événement était avant tout l'occasion de trouver certaines cartes manquantes à sa collection, il permettait aussi aux Soissonnais de découvrir l'exposition « De l'Hôtel-Dieu au centre hospitalier », avec quelques photographies étonnantes prises au cœur des anciens hôpitaux soissonnais.


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lundi 20 mai 2013

Deux voleurs présumés trahis par leur ADN

SOISSONS (Aisne). En septembre dernier puis en novembre, des cambriolages avaient été commis à Courmelles et Vregny. Les auteurs présumés viennent d’être retrouvés grâce à leur ADN.

LA police technique et scientifique (PTS) est, de plus en plus, un allié précieux des enquêteurs pour identifier les auteurs de vols par effraction. Deux affaires solutionnées en fin de semaine dernière par les gendarmes l'ont encore démontré, grâce à des retours positifs d'empreintes génétiques.
Le premier cambriolage résolu remonte au 14 septembre 2012. Cette nuit-là, la société Anett de Courmelles est la cible de voleurs qui, après avoir fracturé les distributeurs, fouillent l'ensemble des locaux et repartent avec du matériel informatique et des aspirateurs.
Sur place, un technicien d'investigations criminelles de proximité (TICP) procède au relevé d'indices et empreintes digitales et génétiques. Transmise à l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN) basé à Rosny-sous-Bois, puis confronté au fichier national des empreintes génétiques, la trace ADN finit par parler.
Elle conduit les gendarmes de la compagnie de Soissons… à la maison d'arrêt de Liancourt, dans l'Oise. C'est là qu'est incarcéré un Roumain dont le profil génétique est le même que celui retrouvé à Courmelles.

Des dizaines de vols déjà à son actif
Entendu par les enquêteurs, le cambrioleur présumé a reconnu les faits. Il comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Soissons le 16 septembre.
Les autres vols par effraction solutionnés, avec le même renfort de la PTS, se sont tous déroulés à Vregny le 20 novembre dernier. L'équipe qui a sévi dans le village du nord de Soissons avait visiblement été déposée à l'entrée de la commune avant de mener son équipée nocturne.

Quatre faits ont été recensés par les gendarmes, rue du Général-de-Gaulle, place de la Mairie puis chemin de Pierrelet. Au fil de leur périple dans Vregny, les voleurs ont fait main basse sur des outils dans des abris de jardin, mais aussi sur des numéraires, des bijoux et du matériel informatique dans des habitations.
Ce sont, là, des traces ADN trouvées sur une perceuse ayant servi au cambriolage et abandonnée sur place, ainsi que sur un briquet laissé maladroitement dans l'une des résidences visitées, qui ont permis de confondre l'un des auteurs présumés.

C'est là encore en prison, mais à Rouen (Seine-Maritime) que les gendarmes sont allés, vendredi, auditionner le mis en cause, un ressortissant des pays de l'Est écroué pour plusieurs dizaines de cambriolages. Face aux militaires, l'homme a affiché un mutisme total. Il sera jugé le 16 septembre.

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dimanche 19 mai 2013

Feu rue Léon-Blum : deux familles relogées

Un violent incendie a touché, vendredi soir, un immeuble de la rue Léon-Blum. Le sinistre est parti au 2e étage et s'est propagé au 3e. Deux familles ont dû être relogées, l'une par le bailleur, l'autre chez des proches.
Portable en main, un riverain montre le cliché qu'il a pris de l'incendie. On y voit d'impressionnantes flammes sortir des fenêtres qui donnent sur l'arrière de l'immeuble du quartier de Presles, témoignant de la violence du sinistre.
C'est vers 20 h 45, vendredi soir, que l'alerte a été donnée. Une équipe de sapeurs-pompiers était présente dans un immeuble proche pour un secours à personne et a pu intervenir aussitôt pour s'assurer que d'autres n'étaient pas prisonnières des flammes. Un fourgon et la grande échelle, accompagnés d'un chef de groupe, les ont vite rejoints.
Tout l'immeuble - soit une trentaine de résidants, dont un handicapé qui vivait au dernier étage - a été évacué. C'est dans un appartement situé au 2e étage du 16, rue Léon-Blum que le feu s'est déclaré, pour une raison que l'enquête de police déterminera.
Logement ravagé
« C'est dans ma chambre que ça a pris. Toute ma famille était là, mais on a eu le temps de sortir », témoigne un père, encore sous le choc. Très violent, l'incendie a rapidement commencé à se propager à l'étage supérieur, via le balcon où séchait du linge.
Le logement directement touché a été ravagé par les flammes, celui du 3e étage a été essentiellement endommagé par la fumée. Le 4e étage a, lui aussi, été « léché par le feu », mais sans dommage à l'intérieur.
Maire-adjoint de permanence, Franck Delattre s'est rendu sur les lieux dans la soirée, accompagné d'un fonctionnaire, pour s'assurer que le concours de la Ville n'était pas nécessaire.
Les six occupants de l'appartement détruit ont, dès avant-hier soir, été relogés dans un hôtel par leur bailleur Logivam qui avait dépêché un agent d'astreinte. La famille du 3e - cinq enfants et deux adultes - a, pour sa part, pu être recueillie chez des proches à Fère-en-Tardenois.

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samedi 18 mai 2013

Le centre de conservation et d'études archéologiques inauguré

Chercheurs, archéologues et spécialistes de la restauration de vestiges cohabiteront dans ce lieu unique en Picardie. Enfin inauguré hier.
Certains l'appellent le sarcophage, d'autres y voient le sous-marin du capitaine Némo. Chacun y va de son imaginaire. Ce qui est certain, c'est que son architecture, tellement décriée par le passé, se fait tout doucement accepter.
D'ailleurs, beaucoup de Soissonnais sont venus, hier matin, participer à l'inauguration du centre de conservation et d'études archéologiques. Même ceux qui ne sont pas friands de son aspect rouillé. Ce fut l'occasion de rencontrer l'architecte Karine Herman (K Architectures) et sa chef de projet Emilie Bourdier.
Un outil de travail
Après de longs discours, les curieux ont pu se promener dans la faille, sorte de rampe bétonnée sur le flanc du bâtiment, où ils ont découvert, à travers des vitres, quelques vestiges gallo-romains, l'objet de fouilles intenses dans la vallée de l'Aisne. Visite sous la houlette de Karine Jagielsi, responsable du patrimoine. Cette partie du bâtiment est consacrée aux réserves lapidaires du musée de l'abbaye Saint-Léger et de Saint-Jean-des-Vignes.
Mais cet équipement, le premier du genre en Picardie, est avant tout un outil de travail. Les archéologues de l'Institut national de recherches archéologique préventives (Inrap) viennent y déposer le produit des fouilles du département, lesquelles sont mises à la disposition des chercheurs.
Par ailleurs, une grande salle est dédiée aux chantiers d'études et de restauration du centre de peintures murales romaines, un centre unique en France pour son savoir-faire, installé dans les anciens greniers à farine, près de Saint-Jean-des-Vignes.
Un projet vieux de quinze ans
Cet équipement municipal à vocation départementale a tout naturellement été installé à Soissons, au cœur de la Vallée de l'Aisne, où des équipes archéologiques se sont implantées dans les années 1970. Les plus anciens se souviendront aussi des importantes fouilles réalisées sur le site de l'ancienne abbaye Saint-Jean-des-Vignes.
Ce projet se trouvait dans les réserves depuis quinze ans, entamé par Edith Errasti, concrétisé par l'actuel maire Patrick Day. Comme l'a rappelé son directeur, Dominique Roussel, il a connu « des hauts et des bas ». Le voilà enfin inauguré. Tout le monde s'en est félicité. A commencer M. Day, pour qui la volonté était claire : « Donner à ce site patrimonial exceptionnel, une vocation culturelle, pédagogique, scientifique et touristique. » Eh oui, tout ça.

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vendredi 17 mai 2013

Le complexe aquatique déjà couronné

Le futur complexe aquatique de l'agglomération a, d'ores et déjà, reçu la certification NF HQE™ « Equipements Sportifs » qui récompense, notamment, ses spécificités environnementales.
Pas encore construit, déjà couronné ! La certification NF HQE™ « Équipements Sportifs », gérée par l'organisme certificateur Certivéa, vient d'être délivrée à cinq premières opérations au travers de l'Hexagone, dont le futur complexe aquatique de la communauté d'agglomération du Soissonnais qui sera bâti sur le territoire de Mercin-et-Vaux. Ce dossier a été labellisé avec la mention « HQE excellent ».
Cercle vertueux
Dans sa catégorie, le centre aquatique soissonnais rivalise avec le Centre Aqualudique « La Vague » du Puy-en-Velay (43) et la reconstruction du stade aquatique de l'Institut national du sport, de l'expertise et de la performance (INSEP) de Paris.
« Le projet a été monté dans ce cadre-là. Les équipes ont bien travaillé », se félicitait hier Bernard Grégoire, vice-président de la communauté d'agglomération en charge des équipements sportifs, après avoir appris la bonne nouvelle.
Pour Eric Delhaye, directeur adjoint des services techniques, « la certification NF Equipements sportifs adossée à la démarche HQE est un outil qui engage la collectivité dans un processus vertueux s'intégrant dans les politiques de l'agglomération ».
Initiée par Association pour l'information et la recherche sur les équipements de sport et de loisirs (AIRES) dans le cadre de sa convention d'objectifs avec le ministère des Sports, de la jeunesse, de l'education populaire et de la vie associative, la certification NF HQE™ Équipements sportifs permet de distinguer en France, comme à l'international, les équipements sportifs « dont les performances environnementales, énergétiques, de santé et de confort correspondent aux meilleures pratiques actuelles ».
Sur les étangs
Selon Patrick Nossent, président de Certivéa, « cette certification permet d'améliorer et de valoriser les performances des équipements sportifs tout en conservant une haute qualité d'usage ». Le coût global prévisionnel du projet - imaginé par le cabinet parisien BVL Architecture - sera, hors taxes, de 15,1 millions d'euros.
Le complexe aquatique aura pour particularité de donner sur les étangs mercinois. L'espace baignade se caractérisera notamment par son bassin principal de 25 m x 25 m, un exemple unique en Picardie. Ainsi, il y aura dix lignes d'eau, au lieu de six actuellement. Cela permettra notamment de doubler la capacité d'accueil des scolaires.
 
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-complexe-aquatique-deja-couronne

jeudi 16 mai 2013

Soissons ne rate pas l’événement et l’Arsenal, St Jean des Vignes et le musée St Léger vous attendent le 18 mai 2013.

La Nuit des Musées aura lieu le samedi 18 mai 2013. En Picardie 36 musées et lieux patrimoniaux ont préparé une programmation variée et attractive pour tous les publics.
Visites libres ou commentées, ateliers pour les enfants, visites à la torche, mises en lumières exceptionnelles,
expositions temporaires, conférences, concerts, spectacles jalonneront la soirée des visiteurs, petits et grands.


http://www.agglo-soissonnais.com/images/actus/nuit_des_musées_2013_soissons.pdf

Un dimanche cartes sur table

SOISSONS (Aisne). Dimanche, le foyer socioculturel de Villeneuve-Saint-Germain accueillera la 33e édition du salon proposé par les Cartophiles du Soissonnais.

C'est, chaque année, un rendez-vous très attendu du public.
Les Cartophiles du Soissonnais proposeront, ce dimanche*, leur 33e salon des cartes postales, une manifestation où l'on pourra aussi trouver des monnaies, timbres, cartes téléphoniques, vieux papiers et autres livres anciens.
« Cette année, nous attendons une quarantaine d'exposants. Le plus éloigné viendra des Pays-Bas. Ce sera sa première participation. L'an passé, il était venu comme visiteur incognito. Nous aurons aussi des Allemands », explique Jean-Pierre Corneille, le président des Cartophiles. Au total, cela représentera près de 200 mètres de tables.

Les critères qui fixent la valeur
Il y aura évidemment une majorité de professionnels de la carte postale ancienne, mais aussi quelques membres du club soissonnais ou d'autres amateurs de Laon ou Reims. Si Jean-Pierre Corneille ne cache pas que le marché de la carte postale « connaît des hauts et des bas », il se porte, à ses yeux, « mieux que celui des timbres ».
« Il y a des vendeurs qui ont fait le choix d'Internet pour vendre leurs cartes postales parce qu'ils touchent beaucoup plus de monde. Ceux-là, on ne les voit plus dans les salons. Ceux qui continuent d'en faire en font plus en revanche », constate Jean-Pierre Corneille.
Plusieurs critères rentrent en ligne de compte pour fixer la valeur d'une carte postale ancienne : le sujet, la rareté et la qualité de la photographie. « Ici, la carte postale la plus chère actuellement vaut 220 euros. C'est une carte de Villeneuve-Saint-Germain. On y voit une machine à tailler les pierres en gros plan, avec deux ouvriers qui sont nommés et on sait de quelle entreprise il s'agit. Ce sont tous ces éléments qui lui donnent de l'intérêt », révèle le président des cartophiles.
Sur des documents encore plus spécifiques, « comme les montreurs d'ours par exemple » pointe Jean-Pierre Corneille, « les prix peuvent s'envoler ». Plus que celles éditées aujourd'hui, et qui ne diffèrent guère de Nice à Saint-Malo et de Bayonne à Annecy, hormis les paysages, les cartes postales anciennes témoignaient du quotidien de chaque village. Ça n'est pas là la moindre de leur valeur.
* 33e salon des cartes postales, dimanche 19 mai de 8 heures à 17 heures au foyer socioculturel de Villeneuve-Saint-Germain, route de Reims.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-dimanche-cartes-sur-table

mercredi 15 mai 2013

L'opération "Des tulipes contre le cancer" est lancée à Soissons (02)

L'initiative est organisée actuellement à Chaudun près de Soissons. L'opération "des tulipes contre le cancer" est menée chaque année en avril et début mai depuis 24 ans par le Lion's club de Soissons vise à récolter des fonds pour lutter contre cette maladie et soutenir les malades.

Les vols de carburant augmentent

Depuis quelques semaines, les plaintes pour vol de carburants sont plus nombreuses. Ce week-end, trois Cotteréziens ont été interpellés pour avoir siphonné le réservoir d'un poids lourd.
Une recrudescence de vols de carburant est constatée depuis quelques semaines dans les communes de la circonscription de gendarmerie de la compagnie de Soissons. À Villers-Cotterêts, c'est grâce à l'appel au 17 d'un témoin que les trois jeunes soupçonnés d'avoir volé du carburant dans le réservoir d'un poids lourd ont pu être interpellés ce week-end.
Ces faits se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche, à 2 heures du matin. Les trois jeunes gens, tous les trois Cotteréziens, auraient siphonné le réservoir d'un poids lourd, pendant le sommeil du routier roumain. Ce dernier avait stationné son camion à proximité de la ZAC de la queue d'Oigny, à Villers-Cotterêts.
Pour faire le plein
Le témoin aurait alors vu arriver une Citroën C3 blanche avec trois individus masqués à bord. Tandis que l'un reste près de la voiture pour faire le guet, les deux autres sortent de la voiture, munis d'un bidon de 30 litres. Ils siphonnent le réservoir, remplissent le bidon qu'ils déposent dans le coffre de la Citroën… pour en embarquer un second.
À l'arrivée du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie de Soissons, qui se trouvait à proximité de Villers-Cotterêts, le jeune homme qui faisait le guet s'enferme dans la voiture. Les deux autres individus prennent la fuite dans deux directions différentes.
Le premier a été placé en garde à vue. Un autre s'est présenté de lui-même à la gendarmerie, le troisième, étudiant, a été interpellé dans son établissement scolaire dans l'Oise, où il est interne. Ils ont expliqué de pas avoir assez d'argent pour faire le plein. Tous les trois ont reçu une convocation en justice pour le 30 septembre prochain.
En zone rurale
Si à Soissons, peu de ces vols sont constatés, dans les zones rurales, à proximité des grands axes mais aussi dans les exploitations agricoles, les plaintes sont en augmentation ces dernières semaines : en avril, près de la RN31 au niveau de la commune de Courcelles-sur-Vesles et sur le chantier d'Intermarché à Crouy ; ce week-end dans une exploitation agricole à Juvigny ; et dans la nuit de lundi à mardi, sur les bords de la RN31 dans le canton de Vic-sur-Aisne, dans une entreprise, les réservoirs de trois camions étaient dégradés et du carburant volé

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-vols-de-carburant-augmentent

Les vols de carburant augmentent

Depuis quelques semaines, les plaintes pour vol de carburants sont plus nombreuses. Ce week-end, trois Cotteréziens ont été interpellés pour avoir siphonné le réservoir d'un poids lourd.
Une recrudescence de vols de carburant est constatée depuis quelques semaines dans les communes de la circonscription de gendarmerie de la compagnie de Soissons. À Villers-Cotterêts, c'est grâce à l'appel au 17 d'un témoin que les trois jeunes soupçonnés d'avoir volé du carburant dans le réservoir d'un poids lourd ont pu être interpellés ce week-end.
Ces faits se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche, à 2 heures du matin. Les trois jeunes gens, tous les trois Cotteréziens, auraient siphonné le réservoir d'un poids lourd, pendant le sommeil du routier roumain. Ce dernier avait stationné son camion à proximité de la ZAC de la queue d'Oigny, à Villers-Cotterêts.
Pour faire le plein
Le témoin aurait alors vu arriver une Citroën C3 blanche avec trois individus masqués à bord. Tandis que l'un reste près de la voiture pour faire le guet, les deux autres sortent de la voiture, munis d'un bidon de 30 litres. Ils siphonnent le réservoir, remplissent le bidon qu'ils déposent dans le coffre de la Citroën… pour en embarquer un second.
À l'arrivée du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie de Soissons, qui se trouvait à proximité de Villers-Cotterêts, le jeune homme qui faisait le guet s'enferme dans la voiture. Les deux autres individus prennent la fuite dans deux directions différentes.
Le premier a été placé en garde à vue. Un autre s'est présenté de lui-même à la gendarmerie, le troisième, étudiant, a été interpellé dans son établissement scolaire dans l'Oise, où il est interne. Ils ont expliqué de pas avoir assez d'argent pour faire le plein. Tous les trois ont reçu une convocation en justice pour le 30 septembre prochain.
En zone rurale
Si à Soissons, peu de ces vols sont constatés, dans les zones rurales, à proximité des grands axes mais aussi dans les exploitations agricoles, les plaintes sont en augmentation ces dernières semaines : en avril, près de la RN31 au niveau de la commune de Courcelles-sur-Vesles et sur le chantier d'Intermarché à Crouy ; ce week-end dans une exploitation agricole à Juvigny ; et dans la nuit de lundi à mardi, sur les bords de la RN31 dans le canton de Vic-sur-Aisne, dans une entreprise, les réservoirs de trois camions étaient dégradés et du carburant volé.
Les opérations de surveillance vont se multiplier.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-vols-de-carburant-augmentent

mardi 14 mai 2013

Livres en fête De la lecture pour tous les goûts

Le samedi 18 mai 2013, de 10 heures à 18 heures, se déroulera, à l'Hôtel-de-Ville de Soissons, la deuxième édition de « Livres en Fête ». Un programme très diversifié attend le public qui pourra rencontrer une quinzaine d'auteurs, éditeurs, illustrateurs, installés dans la salle des fêtes.
Les ateliers de la bibliothèque municipale seront : concours de dessin avec remise de prix, exposition « le livre dans tous ses états (du manuscrit à la liseuse) », Heure du conte, atelier pop up. Les quatre centres sociaux de la ville et le Centre communal d'action sociale présenteront les bandes dessinées réalisées avec l'école Ramon, le travail des écoles et des centres sur les sélections « les incorruptibles », le livret jeux « histoire sans fin » et l'exposition « Phil Lacter mène l'enquête ».
Des ateliers calligraphie se tiendront de 11 heures à midi, de 13 h 30 à 14 h 30, de 15 heures à 16 heures et de 16 h 30 à 17 h 30 et Sébastien Dieu (caricaturiste) se tiendra à la disposition du public de 14 heures à 18 heures. Des animations podium auront lieu tout au long de la journée avec à 13 h 30 un spectacle et un débat « la grande conférence des vilains de contes de fée » qui sera suivi des contes de Anna Parker.
La compagnie Acaly déambulera sur le marché et dans la rue Saint-Martin afin de « propulser » les badauds vers la mairie !


 Une belle journée préparée par Ludivine Gobinet (porteur du projet) du centre social de Saint-Waast, Saint-Médard, assistée de Violette Legrand, Adjointe au maire, chargée de la vie des quartiers, des centres sociaux et de la démocratie locale, de Nathalie Duchateau (directrice adjointe Pôle social à la mairie de Soissons), des responsables des centres sociaux ainsi que de Sophie Froger ( animatrice espace jeunesse, bibliothèque municipale).

http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/livres-en-fete-de-la-lecture-pour-tous-les-gouts