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mardi 30 septembre 2014
lundi 29 septembre 2014
dimanche 28 septembre 2014
samedi 27 septembre 2014
vendredi 26 septembre 2014
jeudi 25 septembre 2014
Un corps sans vie trouvé en bas d’un immeuble
VILLERS-COTTERETS (02). Le corps sans vie d’un homme de 31 ans a été trouvé en bas de l’immeuble où il vivait, à Villers-Cotterêts, vers 18 heures, lundi. La victime présentait un important hématome sur le visage. Une enquête judiciaire est ouverte pour déterminer les causes du décès et il sera procédé à une autopsie ce mardi. Aucune thèse n’est, pour l’heure, privilégiée ni écartée quant aux circonstances du décès.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-corps-sans-vie-trouve-en-bas-d-un-immeuble-ia0b0n411988
http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-corps-sans-vie-trouve-en-bas-d-un-immeuble-ia0b0n411988
mercredi 24 septembre 2014
L’inquiétude des salariés soissonnais d’Atlas
Sept. Ils sont sept salariés soissonnais à craindre dans les semaines qui viennent, de rejoindre la cohorte des emplois perdus dans la cité du Vase et son agglomération.
Marc Malacain, le directeur du magasin Atlas, et ses 6 salariés sont aujourd’hui dans la tourmente que subit le groupe auquel le magasin de l’avenue de Laon appartient. Placé en plan de sauvegarde en juin dernier, le groupe alsacien de la famille Rapp est passé la semaine dernière en redressement judiciaire. Si plusieurs lettres d’intention - des offres de reprise - ont été déposées au tribunal de Mulhouse pour le groupe, elles ne concerneraient que les enseignes « Fly » de cet ensemble qui, outre Atlas, possède aussi les magasins Crozatier.
« Nous n’avons pas eu beaucoup d’informations, explique Marc Malacain, le directeur du magasin soissonnais, mais on sait que l’enseigne Fly est, pour l’instant, la plus attractive. D’après les bruits, ce serait uniquement les 40 magasins Fly plus une quinzaine d’autres Atlas ou Crozatier qui auraient une chance de survivre. Ceux concernés ont reçu une lettre pour les en informer. Nous, ici, nous n’avons pas eu de courriers ». Aujourd’hui, Marc, arrivé au magasin en 1997, est invité, comme tous les directeurs de site, à Paris. « J’espère en savoir plus mais j’ai peur que le magasin de Soissons ne soit pas dans leur priorité ».
Ouvert depuis plus de 40 ans, le magasin possède 2800 m2 de surface d’exposition et de vente. Plus 3000 m2 de réserve ce qui positionne le magasin au premier rang de la région, côté surface. Mais une boutique qui n’a pas échappé à la crise depuis 3 ans. Explications : « Nous sommes positionnés dans un haut de gamme, avec des meubles de qualité qui durent, explique le directeur, et cela joue contre nous. Nous avons des clients qui viennent nous voir depuis l’annonce du redressement judiciaire et nous disent : « on a une cuisine de chez vous et elle est toujours bien. Ou un salon, une salle de bain... »
Cette situation a plusieurs fois été évoqué par le directeur au groupe. Sans avoir d’échos. Vient à s’ajouter à cette situation de crise économique, le positionnement du magasin. Certes, l’avenue de Laon est un axe de passage très fréquenté. Mais qui n’a pas une image de zone commerciale où l’on vient pour un achat pouvant en entraîner un autre. Qui plus est, la façade aurait mériter depuis longtemps un toilettage. « Je crois que c’était envisagé dans les années à venir mais là ...» A moins qu’un repreneur ...
http://www.lunion.presse.fr/region/l-inquietude-des-salaries-soissonnais-d-atlas-ia3b26n411860
Marc Malacain, le directeur du magasin Atlas, et ses 6 salariés sont aujourd’hui dans la tourmente que subit le groupe auquel le magasin de l’avenue de Laon appartient. Placé en plan de sauvegarde en juin dernier, le groupe alsacien de la famille Rapp est passé la semaine dernière en redressement judiciaire. Si plusieurs lettres d’intention - des offres de reprise - ont été déposées au tribunal de Mulhouse pour le groupe, elles ne concerneraient que les enseignes « Fly » de cet ensemble qui, outre Atlas, possède aussi les magasins Crozatier.
« Nous n’avons pas eu beaucoup d’informations, explique Marc Malacain, le directeur du magasin soissonnais, mais on sait que l’enseigne Fly est, pour l’instant, la plus attractive. D’après les bruits, ce serait uniquement les 40 magasins Fly plus une quinzaine d’autres Atlas ou Crozatier qui auraient une chance de survivre. Ceux concernés ont reçu une lettre pour les en informer. Nous, ici, nous n’avons pas eu de courriers ». Aujourd’hui, Marc, arrivé au magasin en 1997, est invité, comme tous les directeurs de site, à Paris. « J’espère en savoir plus mais j’ai peur que le magasin de Soissons ne soit pas dans leur priorité ».
Ouvert depuis plus de 40 ans, le magasin possède 2800 m2 de surface d’exposition et de vente. Plus 3000 m2 de réserve ce qui positionne le magasin au premier rang de la région, côté surface. Mais une boutique qui n’a pas échappé à la crise depuis 3 ans. Explications : « Nous sommes positionnés dans un haut de gamme, avec des meubles de qualité qui durent, explique le directeur, et cela joue contre nous. Nous avons des clients qui viennent nous voir depuis l’annonce du redressement judiciaire et nous disent : « on a une cuisine de chez vous et elle est toujours bien. Ou un salon, une salle de bain... »
Cette situation a plusieurs fois été évoqué par le directeur au groupe. Sans avoir d’échos. Vient à s’ajouter à cette situation de crise économique, le positionnement du magasin. Certes, l’avenue de Laon est un axe de passage très fréquenté. Mais qui n’a pas une image de zone commerciale où l’on vient pour un achat pouvant en entraîner un autre. Qui plus est, la façade aurait mériter depuis longtemps un toilettage. « Je crois que c’était envisagé dans les années à venir mais là ...» A moins qu’un repreneur ...
http://www.lunion.presse.fr/region/l-inquietude-des-salaries-soissonnais-d-atlas-ia3b26n411860
mardi 23 septembre 2014
lundi 22 septembre 2014
La chasse aux absences dans les lycées de Soissons
Il y a les élèves qui ont enterré trois fois la même grand-mère dans l’année et ceux qui doivent garder le chien qui s’est fait opérer. Pour les chefs d’établissements, toutes les excuses ne sont pas recevables en cas d’absence. Ils luttent au quotidien pour maintenir les élèves dans le système scolaire.
C’est au lycée des métiers le Corbusier de l’hôtellerie et du bâtiment que le phénomène prend le plus d’ampleur, dans les classes de CAP. « Plus le niveau du diplôme est bas, plus l’absentéisme est important », observe le proviseur Éric Montigny, qui précise que les chiffres peuvent atteindre « les 20 % ». Le responsable ne mâche pas ses mots : « L’absentéisme, c’est le cancer des établissements scolaires ». Si les causes varient – de l’élève qui paie ses études à celui démotivé par sa filière et par une mauvaise orientation – l’impératif est de traiter le phénomène à sa source. « Chaque jour, les surveillants prennent une heure à contacter systématiquement les familles ». Quand cela ne suffit pas et que les absences injustifiées de l’élève se multiplient, « on prend rendez-vous avec les parents ».
Après quelques jours d’absence, le danger qui guettent les élèves, c’est le décrochage. « Nous en avons chaque année une cinquantaine sur 700 élèves », note Éric Montigny. Au lycée Vinci aussi, Étienne Lejeune n’a pu s’empêcher de constater qu’il y avait « des élèves qui ont tendance à enterrer 4 ou 5 fois leurs grands-parents ». À ces absences ponctuelles paranormalement justifiées, s’ajoute l’absentéisme dit perlé qu’il redoute. Une heure par ci, une heure par là, « boycott » d’une matière… « De fil en aiguille, cela conduit au décrochage. La réussite passe par l’assiduité ».
Au lycée Camille-Claudel, l’on sait aussi que ce décrochage scolaire « arrive vite car la motivation baisse très rapidement ». D’où l’intérêt de maintenir les élèves dans l’établissement dès les premiers jours de septembre et de lutter contre un « effet vendange. Certains s’absentent pour pouvoir gagner de l’argent et se payer leur permis ».
Stéphane Tardivel, adjoint au lycée Saint-Vincent de Paul, se souvient également d’un élève « redoublant qui avait prévenu, il y a deux ans, qu’il ferait les vendanges ». Une excuse qui n’est pas recevable. « Ce qui est important, c’est de savoir pourquoi l’élève s’absente. Cela peut déboucher parfois sur un simple problème de transport ». Dans les lycées professionnels, « les élèves vont en stage en entreprise. Le retour en classe peut-être difficile », poursuit-il.
Quand la pédagogie et les rappels à l’obligation de présence ne suffisent plus, tombent les sanctions. Dans cet établissement privé, par exemple, quatre heures d’absence injustifiées équivalent à une heure de colle. En revanche, aucun lycée soissonnais ne pratique la sanction sous la forme d’une amende pécuniaire comme le prétendait, il y a quelques jours, une jeune fille sur un réseau social.
http://www.lunion.presse.fr/region/la-chasse-aux-absences-dans-les-lycees-de-soissons-ia3b26n411336
C’est au lycée des métiers le Corbusier de l’hôtellerie et du bâtiment que le phénomène prend le plus d’ampleur, dans les classes de CAP. « Plus le niveau du diplôme est bas, plus l’absentéisme est important », observe le proviseur Éric Montigny, qui précise que les chiffres peuvent atteindre « les 20 % ». Le responsable ne mâche pas ses mots : « L’absentéisme, c’est le cancer des établissements scolaires ». Si les causes varient – de l’élève qui paie ses études à celui démotivé par sa filière et par une mauvaise orientation – l’impératif est de traiter le phénomène à sa source. « Chaque jour, les surveillants prennent une heure à contacter systématiquement les familles ». Quand cela ne suffit pas et que les absences injustifiées de l’élève se multiplient, « on prend rendez-vous avec les parents ».
Après quelques jours d’absence, le danger qui guettent les élèves, c’est le décrochage. « Nous en avons chaque année une cinquantaine sur 700 élèves », note Éric Montigny. Au lycée Vinci aussi, Étienne Lejeune n’a pu s’empêcher de constater qu’il y avait « des élèves qui ont tendance à enterrer 4 ou 5 fois leurs grands-parents ». À ces absences ponctuelles paranormalement justifiées, s’ajoute l’absentéisme dit perlé qu’il redoute. Une heure par ci, une heure par là, « boycott » d’une matière… « De fil en aiguille, cela conduit au décrochage. La réussite passe par l’assiduité ».
Au lycée Camille-Claudel, l’on sait aussi que ce décrochage scolaire « arrive vite car la motivation baisse très rapidement ». D’où l’intérêt de maintenir les élèves dans l’établissement dès les premiers jours de septembre et de lutter contre un « effet vendange. Certains s’absentent pour pouvoir gagner de l’argent et se payer leur permis ».
Stéphane Tardivel, adjoint au lycée Saint-Vincent de Paul, se souvient également d’un élève « redoublant qui avait prévenu, il y a deux ans, qu’il ferait les vendanges ». Une excuse qui n’est pas recevable. « Ce qui est important, c’est de savoir pourquoi l’élève s’absente. Cela peut déboucher parfois sur un simple problème de transport ». Dans les lycées professionnels, « les élèves vont en stage en entreprise. Le retour en classe peut-être difficile », poursuit-il.
Quand la pédagogie et les rappels à l’obligation de présence ne suffisent plus, tombent les sanctions. Dans cet établissement privé, par exemple, quatre heures d’absence injustifiées équivalent à une heure de colle. En revanche, aucun lycée soissonnais ne pratique la sanction sous la forme d’une amende pécuniaire comme le prétendait, il y a quelques jours, une jeune fille sur un réseau social.
http://www.lunion.presse.fr/region/la-chasse-aux-absences-dans-les-lycees-de-soissons-ia3b26n411336
dimanche 21 septembre 2014
samedi 20 septembre 2014
vendredi 19 septembre 2014
jeudi 18 septembre 2014
La passerelle tombe dans 2 mois
SOISSONS (02). Les travaux de remplacement de la passerelle des Anglais sont reportés au mois de novembre. En cause : un fourreau ayant contenu des matières amiantées.
C’est un contretemps comme il en arrive souvent pendant ou avant un chantier. Un petit grain de sable dans les rouages qui pourrait coûter la bagatelle de 103 000 euros à la Ville. La municipalité vient de découvrir la présence, dans la passerelle des Anglais, d’un ancien fourreau à câbles électriques. Inutilisé depuis belle lurette, cet équipement contiendrait des matières amiantées. Suffisamment en tout cas pour nécessiter une intervention particulière.
La phase préparatoire des travaux aux abords de l’ouvrage d’art a déjà commencé en juin. Sur la rive droite de l’Aisne, les arbres gênants seront abattus en octobre. Un mois après, les entreprises (Sogea Picardie, Déhé Construction, Atelier Roger Pinçon Construction métallique) seront à pied d’œuvre en vue de la « dépose » de la passerelle. La pose du nouvel ouvrage d’art, plus moderne et esthétique, est prévue au printemps 2015. S’ensuivront les travaux de voirie rue du Champ-Bouillant et avenue de l’Aisne. Coût total du chantier : 2,4 millions d’euros.
Dès le premier jour des travaux, la circulation sera totalement interdite. La Ville, consciente des désagréments pour les résidants de Saint-Waast souhaitant rejoindre le centre-ville, n’exclut pas des « mesures spécifiques », comme le renforcement de certaines lignes de bus existantes. Sachant que les courageux pourront toujours faire un léger détour par le pont du Mail et surtout le pont Gambetta qui mène lui aussi au centre-ville.
Parallèlement, Foyer rémois devrait commencer la première tranche de travaux de construction de logements, situés à la place des anciens silos. D’ici la fin de l’année si tout va bien.
http://www.lunion.presse.fr/region/la-passerelle-tombe-dans-2-mois-ia3b26n409624
C’est un contretemps comme il en arrive souvent pendant ou avant un chantier. Un petit grain de sable dans les rouages qui pourrait coûter la bagatelle de 103 000 euros à la Ville. La municipalité vient de découvrir la présence, dans la passerelle des Anglais, d’un ancien fourreau à câbles électriques. Inutilisé depuis belle lurette, cet équipement contiendrait des matières amiantées. Suffisamment en tout cas pour nécessiter une intervention particulière.
Arbres abattus en octobre
Le chantier de démontage de la passerelle, initialement prévu en cette rentrée, devra attendre le mois de novembre. Pendant ce temps, les services de la Ville auront à déterminer qui est propriétaire dudit fourreau : la Ville ou EDF. D’après le cabinet du maire, Alain Crémont, la chose ne se révélera pas si simple. Il s’agira de retrouver les dossiers des années cinquante, sachant que la passerelle avait été financée avec les dommages de guerre. « De cela dépendra le coût de la dépose du fourreau », explique-t-on.La phase préparatoire des travaux aux abords de l’ouvrage d’art a déjà commencé en juin. Sur la rive droite de l’Aisne, les arbres gênants seront abattus en octobre. Un mois après, les entreprises (Sogea Picardie, Déhé Construction, Atelier Roger Pinçon Construction métallique) seront à pied d’œuvre en vue de la « dépose » de la passerelle. La pose du nouvel ouvrage d’art, plus moderne et esthétique, est prévue au printemps 2015. S’ensuivront les travaux de voirie rue du Champ-Bouillant et avenue de l’Aisne. Coût total du chantier : 2,4 millions d’euros.
Dès le premier jour des travaux, la circulation sera totalement interdite. La Ville, consciente des désagréments pour les résidants de Saint-Waast souhaitant rejoindre le centre-ville, n’exclut pas des « mesures spécifiques », comme le renforcement de certaines lignes de bus existantes. Sachant que les courageux pourront toujours faire un léger détour par le pont du Mail et surtout le pont Gambetta qui mène lui aussi au centre-ville.
Interruption de la navigation sur l’Aisne
Outre les désagréments liés au désamiantage, la Ville est toujours en négociation avec Voies navigables de France (VNF), pour l’obtention de l’interruption de navigation sur la rivière Aisne. Le calendrier était très serré. Voies navigables demande jusqu’à deux ans de délai pour voir sa demande aboutir. Au final, après bien des discussions, la navigation sera interdite entre 17 heures et 9 heures du matin. Il s’agira ensuite d’obtenir une journée complète pour la dépose de l’ancienne passerelle puis une autre pour la pose de la nouvelle.Parallèlement, Foyer rémois devrait commencer la première tranche de travaux de construction de logements, situés à la place des anciens silos. D’ici la fin de l’année si tout va bien.
http://www.lunion.presse.fr/region/la-passerelle-tombe-dans-2-mois-ia3b26n409624
mercredi 17 septembre 2014
mardi 16 septembre 2014
Une brigade très à cheval sur la sécurité
SOISSONS (02). Après un mandat sans, Soissons a vu réapparaître sa brigade équestre, incorporée à la police municipale. But, dissuader, éduquer mais aussi sanctionner certains comportements.
« U n policier à cheval a plusieurs avantages. Un, celui de dominer la situation et de voir tout de suite, des faits ou individus qu’un policier à pied ou en voiture ne verrait pas. Par exemple, l’agresseur d’une femme en région parisienne a été interpellé parce que les premiers arrivés sur le lieu de l’agression étaient la brigade équestre. Ils ont aperçu quelqu’un qui courrait et ont pu le rejoindre et l’arrêter immédiatement. Ensuite, avant d’aller tout de suite sur le volet répression, le cheval a un effet apaisant. Il permet de nouer un contact, plus aisé qu’avec une patrouille classique. Spontanément, les gens viennent vers un cavalier. D’ailleurs, c’est lui que l’on voit en premier, et non le policier ». Le retour de cette brigade équestre, Christophe Gaudard, le conseiller municipal délégué à la sécurité, la santé et la prévention et hauteur de ses propos liminaires, en est ravi. Et en parle sans détour.Ce type de brigade existait sous le mandat d’Emmanuelle Bouquillon. Puis sous celui d’Édith Errasti, avant d’être mis en sommeil avec l’arrivé de l’équipe Patrick Day. Quand le contrat liant la Ville et l’école de garde à cheval de Cuffies n’avait pas été prolongé. C’est de nouveau avec cette école que l’équipe d’Alain Crémont a passé un contrat pour la mise à disposition des chevaux et d’un ou une élève qui patrouille avec une cavalière, policière municipale, recrutée pour ce poste. Qui, selon les informations, est cadenassé, pour éviter toutes les mauvaises surprises avec une école privée.
« Pour l’instant, nous partons sur un seul couple, précise le conseiller municipal, mais nous ferons le point dans un an ou moins, pour savoir si nous passons à deux duos ». Qui permettra de multiplier les endroits de patrouille. Mais cela a aussi un coût. Cette brigade équestre fonctionnera dix mois sur douze puisque les chevaux ont besoin d’un repos, qui se prendra sur les deux mois d’été.
« Le maire avait annoncé son choix de renforcer la police municipale, par des moyens techniques puisque la vidéo surveillance sera mise en œuvre, mais aussi par des effectifs supplémentaires. Ce choix de la brigade équestre correspond à une ligne de conduite, mélangeant prévention et développement durable. On va d’ailleurs travailler très rapidement avec les services techniques pour récupérer le crottin et l’utiliser. Il y a dans Soissons, des axes privilégier pour ce style de patrouille : parcs, jardins, et berges de l’Aisne ». Après les premiers jours, les commentaires des passants qui se sont retrouvés nez à naseau avec cette patrouille semblent positifs. Et rassurant.
http://www.lunion.presse.fr/region/une-brigade-tres-a-cheval-sur-la-securite-ia3b26n408094
« U n policier à cheval a plusieurs avantages. Un, celui de dominer la situation et de voir tout de suite, des faits ou individus qu’un policier à pied ou en voiture ne verrait pas. Par exemple, l’agresseur d’une femme en région parisienne a été interpellé parce que les premiers arrivés sur le lieu de l’agression étaient la brigade équestre. Ils ont aperçu quelqu’un qui courrait et ont pu le rejoindre et l’arrêter immédiatement. Ensuite, avant d’aller tout de suite sur le volet répression, le cheval a un effet apaisant. Il permet de nouer un contact, plus aisé qu’avec une patrouille classique. Spontanément, les gens viennent vers un cavalier. D’ailleurs, c’est lui que l’on voit en premier, et non le policier ». Le retour de cette brigade équestre, Christophe Gaudard, le conseiller municipal délégué à la sécurité, la santé et la prévention et hauteur de ses propos liminaires, en est ravi. Et en parle sans détour.Ce type de brigade existait sous le mandat d’Emmanuelle Bouquillon. Puis sous celui d’Édith Errasti, avant d’être mis en sommeil avec l’arrivé de l’équipe Patrick Day. Quand le contrat liant la Ville et l’école de garde à cheval de Cuffies n’avait pas été prolongé. C’est de nouveau avec cette école que l’équipe d’Alain Crémont a passé un contrat pour la mise à disposition des chevaux et d’un ou une élève qui patrouille avec une cavalière, policière municipale, recrutée pour ce poste. Qui, selon les informations, est cadenassé, pour éviter toutes les mauvaises surprises avec une école privée.
« Pour l’instant, nous partons sur un seul couple, précise le conseiller municipal, mais nous ferons le point dans un an ou moins, pour savoir si nous passons à deux duos ». Qui permettra de multiplier les endroits de patrouille. Mais cela a aussi un coût. Cette brigade équestre fonctionnera dix mois sur douze puisque les chevaux ont besoin d’un repos, qui se prendra sur les deux mois d’été.
« Le maire avait annoncé son choix de renforcer la police municipale, par des moyens techniques puisque la vidéo surveillance sera mise en œuvre, mais aussi par des effectifs supplémentaires. Ce choix de la brigade équestre correspond à une ligne de conduite, mélangeant prévention et développement durable. On va d’ailleurs travailler très rapidement avec les services techniques pour récupérer le crottin et l’utiliser. Il y a dans Soissons, des axes privilégier pour ce style de patrouille : parcs, jardins, et berges de l’Aisne ». Après les premiers jours, les commentaires des passants qui se sont retrouvés nez à naseau avec cette patrouille semblent positifs. Et rassurant.
http://www.lunion.presse.fr/region/une-brigade-tres-a-cheval-sur-la-securite-ia3b26n408094
lundi 15 septembre 2014
Les spots des joggers soissonnais
SOISSONS (02). Avec la rentrée, des Soissonnais se remettent à courir pour entretenir leur corps. Voici un bref aperçu des endroits les plus courus par les joggers locaux.
Rentrée égale remise en forme. C’est l’équation qu’adoptent de plus en plus de Soissonnais. Du coup dès septembre, beaucoup se remettent à la course à pied. Le phénomène est global, touche toutes les classes sociales (médecins, ouvriers, chômeurs…) et tous les âges (adolescents, étudiants, quadras, retraités…). Il est vrai que la commune et ses alentours offrent une multitude de sites où courir.
Saint-Crépin. Tous les joggers du Soissonnais sont passés au moins une fois au parc Saint-Crépin. C’est un petit peu le « place to be » des coureurs. C’est à la fois l’endroit où certains font leurs premières armes et où d’autres viennent régulièrement « parce que c’est pratique et pas loin du centre », comme le précise un citadin pur jus. M. et Mme Lalu sont aussi des habitués. « Nous venons ici une fois par semaine, indique le mari. Nous faisons aussi du VTT ailleurs, mais là c’est davantage une course pour l’entretien. Je reviens de maladie et c’est une façon de se remettre progressivement en forme. » En dehors du cadre (vieilles pierres, écureuils et lapins, sentiers propres et larges…) certains confessent arpenter ces lieux car ils sont plus sûrs qu’ailleurs. « Beaucoup de monde passe par ici et je n’y suis jamais seule. Je me sens en sécurité », confie une demoiselle, tout de rose vêtue. Enfin un nombre important de sportifs amateurs en fait un point de ralliement pour s’échauffer en groupe.
Berges de l’Aisne. Pour ceux qui veulent aller loin tout en bénéficiant des bienfaits apaisants de l’eau, courir le long des berges de l’Aisne fait un bien fou. Ce parcours rectiligne permet notamment de relier Soissons à Villeneuve-Saint-Germain, voire Venizel. « C’est idéal pour courir en loisir. C’est un chemin bien aménagé où tu ne te casses pas le dos », commente Julien, un cadre moyen qui emprunte ce trajet deux fois par semaine.
Le Parc de l’Arbre à l’oiseau. et les grands axes du Nord-Est de la ville (avenues de Coucy et de Laon, boulevard Gambetta, rue Porte de Crouy) sont privilégiés par des coureurs bien équipés qui s’inscrivent plus dans un effort cardiovasculaire intense. Nombre d’entre eux sont pompiers ou gendarmes, mais l’on y trouve aussi pas mal d’étudiants du STAPS. Circulaire, le parc de l’Arbre à l’oiseau permet de bien se repérer pour fixer un nombre de boucles précis (3 tours, 5 tours, etc.).
Hauteur de Cuffies. Les durs à cuire, les vrais de vrais, préfèrent les hauteurs de Cuffies et le charme de Pasly. C’est en tout cas le constat que dresse Toufik Mkadmi, pizzaïolo de son état : « Le parc Saint-Crépin c’est pas mal, mais on tourne vite en rond. Et puis il y a les promeneurs avec leurs chiens, dont on ne sait jamais comment ils vont réagir. » Zakia Habbani qui l’accompagne souvent ajoute : « On va souvent dans le coin où certains font du parapente. On souffre pas mal pour monter là-haut, mais une fois qu’on y est c’est un vrai bonheur. »
http://www.lunion.presse.fr/region/les-spots-des-joggers-soissonnais-ia3b26n407582
Rentrée égale remise en forme. C’est l’équation qu’adoptent de plus en plus de Soissonnais. Du coup dès septembre, beaucoup se remettent à la course à pied. Le phénomène est global, touche toutes les classes sociales (médecins, ouvriers, chômeurs…) et tous les âges (adolescents, étudiants, quadras, retraités…). Il est vrai que la commune et ses alentours offrent une multitude de sites où courir.
Saint-Crépin. Tous les joggers du Soissonnais sont passés au moins une fois au parc Saint-Crépin. C’est un petit peu le « place to be » des coureurs. C’est à la fois l’endroit où certains font leurs premières armes et où d’autres viennent régulièrement « parce que c’est pratique et pas loin du centre », comme le précise un citadin pur jus. M. et Mme Lalu sont aussi des habitués. « Nous venons ici une fois par semaine, indique le mari. Nous faisons aussi du VTT ailleurs, mais là c’est davantage une course pour l’entretien. Je reviens de maladie et c’est une façon de se remettre progressivement en forme. » En dehors du cadre (vieilles pierres, écureuils et lapins, sentiers propres et larges…) certains confessent arpenter ces lieux car ils sont plus sûrs qu’ailleurs. « Beaucoup de monde passe par ici et je n’y suis jamais seule. Je me sens en sécurité », confie une demoiselle, tout de rose vêtue. Enfin un nombre important de sportifs amateurs en fait un point de ralliement pour s’échauffer en groupe.
Berges de l’Aisne. Pour ceux qui veulent aller loin tout en bénéficiant des bienfaits apaisants de l’eau, courir le long des berges de l’Aisne fait un bien fou. Ce parcours rectiligne permet notamment de relier Soissons à Villeneuve-Saint-Germain, voire Venizel. « C’est idéal pour courir en loisir. C’est un chemin bien aménagé où tu ne te casses pas le dos », commente Julien, un cadre moyen qui emprunte ce trajet deux fois par semaine.
Le Parc de l’Arbre à l’oiseau. et les grands axes du Nord-Est de la ville (avenues de Coucy et de Laon, boulevard Gambetta, rue Porte de Crouy) sont privilégiés par des coureurs bien équipés qui s’inscrivent plus dans un effort cardiovasculaire intense. Nombre d’entre eux sont pompiers ou gendarmes, mais l’on y trouve aussi pas mal d’étudiants du STAPS. Circulaire, le parc de l’Arbre à l’oiseau permet de bien se repérer pour fixer un nombre de boucles précis (3 tours, 5 tours, etc.).
Hauteur de Cuffies. Les durs à cuire, les vrais de vrais, préfèrent les hauteurs de Cuffies et le charme de Pasly. C’est en tout cas le constat que dresse Toufik Mkadmi, pizzaïolo de son état : « Le parc Saint-Crépin c’est pas mal, mais on tourne vite en rond. Et puis il y a les promeneurs avec leurs chiens, dont on ne sait jamais comment ils vont réagir. » Zakia Habbani qui l’accompagne souvent ajoute : « On va souvent dans le coin où certains font du parapente. On souffre pas mal pour monter là-haut, mais une fois qu’on y est c’est un vrai bonheur. »
http://www.lunion.presse.fr/region/les-spots-des-joggers-soissonnais-ia3b26n407582
dimanche 14 septembre 2014
Une aire d’accueil prévue à Soissons, mais quand?
SOISSONS (02). Le maire de Soissons a récemment annoncé qu’une aire d’accueil pour les gens du voyage de 20 places allait sortir de terre. Les obstacles restent néanmoins nombreux.
Dernièrement le maire de Soissons Alain Crémont a affirmé qu’il ne serait pas « le maire dustatu quo sur la question de l’accueil des gens du voyage ». Une question on ne peut plus d’actualité au regard de l’occupation que vient de connaître le parc Saint-Crépin ces trois dernières semaines. Depuis la fin du mois d’août, un important campement de gens du voyage s’y est installé. Les forces de l’ordre ont comptabilisé jusqu’à 126 caravanes, habitées de 4 à 5 personnes chacune.
Cet « épisode » doit prendre fin lundi. Mais le problème est récurrent, notamment pour une vingtaine de familles « sédentaires », contraintes, faute d’aire d’accueil, d’occuper « sauvagement » différents secteurs de la Ville. Or, la législation est claire sur le sujet. « Le schéma départemental, adopté en 2012, prévoit l’aménagement de 40 places de stationnement. Les élus s’orienteraient vers la construction de deux aires de vingt places chacune », explique la mairie de Soissons. L’une serait dans la ville centre, la seconde dans une autre commune de l’agglomération. La construction de ces aires relève de la communauté d’agglomération. Néanmoins, cette collectivité ne peut pas faire grand-chose sans l’accord des mairies concernées.
Pour la Cité du Vase « la ville de Soissons va prendre ses responsabilités et proposer un terrain pouvant accueillir une aire de 20 places. Charge à la communauté d’agglomération de travailler avec les élus pour déterminer le second site d’accueil », explique le cabinet du maire de Soissons.
Pour le président de la communauté d’agglomération Jean-Marie Carré, « la volonté affichée de la ville de Soissons va permettre de lancer la réflexion au sein des autres communes. Sans ça, nous ne pouvions pas avancer ».
Reste désormais la question du terrain et de la date de réalisation. « Une fois le terrain trouvé, il y a une phase administrative lourde. Au mieux, ce peut être fait dans deux ans pour la première aire », décrit Jean-Marie Carré. Une fois l’aire en service, les populations nomades auront obligation d’y stationner.« Contrairement à la situation actuelle, le recours à la force publique sera immédiat si elles ne respectent pas cette obligation. », précise la mairie
http://www.lunion.presse.fr/region/une-aire-d-accueil-prevue-a-soissons-mais-quand-ia0b0n407074
Dernièrement le maire de Soissons Alain Crémont a affirmé qu’il ne serait pas « le maire du
Cet « épisode » doit prendre fin lundi. Mais le problème est récurrent, notamment pour une vingtaine de familles « sédentaires », contraintes, faute d’aire d’accueil, d’occuper « sauvagement » différents secteurs de la Ville. Or, la législation est claire sur le sujet. « Le schéma départemental, adopté en 2012, prévoit l’aménagement de 40 places de stationnement. Les élus s’orienteraient vers la construction de deux aires de vingt places chacune », explique la mairie de Soissons. L’une serait dans la ville centre, la seconde dans une autre commune de l’agglomération. La construction de ces aires relève de la communauté d’agglomération. Néanmoins, cette collectivité ne peut pas faire grand-chose sans l’accord des mairies concernées.
Pour la Cité du Vase « la ville de Soissons va prendre ses responsabilités et proposer un terrain pouvant accueillir une aire de 20 places. Charge à la communauté d’agglomération de travailler avec les élus pour déterminer le second site d’accueil », explique le cabinet du maire de Soissons.
Pour le président de la communauté d’agglomération Jean-Marie Carré, « la volonté affichée de la ville de Soissons va permettre de lancer la réflexion au sein des autres communes. Sans ça, nous ne pouvions pas avancer ».
Reste désormais la question du terrain et de la date de réalisation. « Une fois le terrain trouvé, il y a une phase administrative lourde. Au mieux, ce peut être fait dans deux ans pour la première aire », décrit Jean-Marie Carré. Une fois l’aire en service, les populations nomades auront obligation d’y stationner.« Contrairement à la situation actuelle, le recours à la force publique sera immédiat si elles ne respectent pas cette obligation. », précise la mairie
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samedi 13 septembre 2014
Les gens du voyage soissonnais réclament toujours leur aire
O n sait qu’on est dans notre tort, on sait qu’on vole l’électricité et l’eau, mais on n’a pas le choix. On voudrait bien payer cette énergie, mais pour cela il faudrait qu’on ait une aire d’accueil à Soissons », déclare cet auto-entrepreneur issu de la communauté des gens du voyage. Depuis ce dimanche, cet homme et plusieurs membres de sa famille se sont installés avec d’autres nomades à côté du parc Saint-Crépin, sur le stade situé à l’arrière de l’Espace Parisot.
Il y a dorénavant une vingtaine de caravanes sur ce terrain herbeux. Ces Soissonnais étaient auparavant basés au parc de L’Arbre à l’Oiseau, toujours dans la cité du Vase.
Apprenant leur arrivée sur le nouveau site, le maire, Alain Crémont, est venu leur rendre visite lundi vers midi. Les gens du voyage ont fait savoir à l’élu qu’ils aimeraient bien bénéficier d’une aire d’accueil. « Depuis 2007, une loi précise que les communes de plus de 5 000 habitants doivent avoir une aire d’accueil. La ville de Soissons n’en a pas et nous sommes obligés de nous installer où l’on peut », commente l’un d’entre eux.
Reste que les installations illégales provoquent toujours des remous avec les riverains. « On nous insulte et l’on crève nos pneus », s’insurge un jeune migrant. Certaines expériences malheureuses encouragent il est vrai des réactions haineuses. Cette fois, on leur reproche d’être passés par le parc Saint-Crépin pour rejoindre le terrain qu’ils occupent. « C’est vrai que ce n’est pas agréable pour les joggers, les familles et la nature », admettent certains.
De toute façon ils savent qu’ils devront quitter les lieux d’ici peu. Pour aller ailleurs et sans doute revenir…
http://www.lunion.presse.fr/region/departements/aisne/soissons
Il y a dorénavant une vingtaine de caravanes sur ce terrain herbeux. Ces Soissonnais étaient auparavant basés au parc de L’Arbre à l’Oiseau, toujours dans la cité du Vase.
Apprenant leur arrivée sur le nouveau site, le maire, Alain Crémont, est venu leur rendre visite lundi vers midi. Les gens du voyage ont fait savoir à l’élu qu’ils aimeraient bien bénéficier d’une aire d’accueil. « Depuis 2007, une loi précise que les communes de plus de 5 000 habitants doivent avoir une aire d’accueil. La ville de Soissons n’en a pas et nous sommes obligés de nous installer où l’on peut », commente l’un d’entre eux.
Relations tendus avec les riverains
Rosiane Lafont, une habitante temporaire des lieux s’exprime avec calme et détermination : « C’est toujours la même histoire. Nous vivons à Soissons depuis des années. Personnellement ça fait trente ans que je suis Soissonnaise. Nos enfants et petits-enfants sont scolarisés ici et nous avons besoin d’eau et d’électricité. On ne veut nuire à personne, on veut juste vivre à notre façon. »Reste que les installations illégales provoquent toujours des remous avec les riverains. « On nous insulte et l’on crève nos pneus », s’insurge un jeune migrant. Certaines expériences malheureuses encouragent il est vrai des réactions haineuses. Cette fois, on leur reproche d’être passés par le parc Saint-Crépin pour rejoindre le terrain qu’ils occupent. « C’est vrai que ce n’est pas agréable pour les joggers, les familles et la nature », admettent certains.
De toute façon ils savent qu’ils devront quitter les lieux d’ici peu. Pour aller ailleurs et sans doute revenir…
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vendredi 12 septembre 2014
Un binôme gagnant pour le carton dans le Soissonnais
Nous partageons avec eux nos volumes globaux, cela permet de programmer leurs besoins en matière première et planifier leur organisation. » Lors de l’inauguration de deux machines chez Fellmann cartonnages, Michel Leroy, président de Dailycer, semblait largement aussi satisfait que Pascal Fellmann, président de la société de cartonnages de Villeneuve-Saint-Germain. Cet investissement, d’une valeur de six millions d’euros, est possible grâce au partenariat concrétisé entre les deux entreprises il y a un an et demi, selon Michel Leroy. Ce dernier avait souhaité s’adresser à un fournisseur plus proche. « Nous faisions partie d’un groupe néerlandais et chaque pays développait son propre design. Aussi avions-nous une multitude de fournisseurs », relate ce responsable basé à Montdidier. Il préfère avoir un interlocuteur unique, prêt à s’adapter, à répondre à une demande sur un simple coup de fil, et à fournir de la quantité. D’où l’investissement.
L’équipement d’impression offset « six couleurs + vernis », qui vient de prendre place dans l’atelier picard permettra de produire plus vite. Même chose pour la machine de découpe qui présente, en plus, la particularité d’être complètement automatisée. Ainsi, les boîtes remplies des céréales de Dailycer seront par exemple commercialisées en Italie, en Espagne, en Belgique ou en France par Carrefour avec des inscriptions différentes. Et fabriquées dans le Soissonnais car les locaux étaient assez grands. Ce qui n’est pas pour déplaire à Jean-Marie Carré, président de l’Agglo et Alain Crémont, maire de Soissons car, remarquait ce dernier : « Quand vous créez des emplois, c’est un plus pour le développement des écoles, de la santé et de l’économie. »
http://www.lunion.presse.fr/region/un-binome-gagnant-pour-le-carton-dans-le-soissonnais-ia3b26n405798
L’équipement d’impression offset « six couleurs + vernis », qui vient de prendre place dans l’atelier picard permettra de produire plus vite. Même chose pour la machine de découpe qui présente, en plus, la particularité d’être complètement automatisée. Ainsi, les boîtes remplies des céréales de Dailycer seront par exemple commercialisées en Italie, en Espagne, en Belgique ou en France par Carrefour avec des inscriptions différentes. Et fabriquées dans le Soissonnais car les locaux étaient assez grands. Ce qui n’est pas pour déplaire à Jean-Marie Carré, président de l’Agglo et Alain Crémont, maire de Soissons car, remarquait ce dernier : « Quand vous créez des emplois, c’est un plus pour le développement des écoles, de la santé et de l’économie. »
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jeudi 11 septembre 2014
Les amplitudes horaires des commerçants soissonnais en cause
Le lundi matin avant 10 heures, le centre-ville de Soissons ressemble un peu à un désert. Les autres matins, c’est à peine mieux. Certains consommateurs s’en plaignent. Nous sommes allés voir ce qu’il en était. « Nous, on ouvre à 9 h 30, avant on ouvrait à 9 heures mais on se sentait bien seules », rétorquent Micheline Ribi et Helena Grecu. Toutes deux responsables du magasin Ève lingerie, rue Saint-Martin, elles semblent ajuster l’ouverture à la situation. « On va rouvrir le lundi », annonce ainsi la première. Pour elle, le problème est ailleurs : « En ce moment, il y a un réel problème dans le commerce soissonnais. » Cette commerçante, qui exerce ce métier dans la cité du Vase depuis quinze ans, témoigne même avoir dû rétrécir sa période de fermeture estivale pour faire le chiffre d’affaires nécessaire. Pour elle, il serait intéressant d’ouvrir à 9 heures si tout le monde le faisait. « 10 heures, c’est trop tard », juge une de ses clientes qui se souvient aussi : « dans le temps c’était à 9 heures ». C’était encore le cas il y a pas deux ans, précise la gérante.
Phénomène d’entraînement, expérience déjà tentée : souvent les mêmes les propos d’une boutique à l’autre. Un peu plus loin, la propriétaire d’un magasin de prêt-à-porter estime qu’elle a déjà essayé d’ouvrir plus tôt avant d’y renoncer en raison d’un manque de fréquentation et d’un manque de personnel. « Pourtant, on est plus vers l’élargissement des horaires, constate-t-elle, puisque les chaînes, elles, ouvrent non-stop ». Elle affirme ne pas avoir beaucoup de clients en début de matinée les jours de marché, les familles commençant leurs achats par l’alimentaire, selon elles.
Le magasin Carador, lui, ouvre justement à 9 h 30 le samedi. Sa responsable Nadia Minel, qui parle également pour la boutique Heure et montres, confirme que les acheteurs ne commencent pas par sa boutique avant le marché. Elle n’ouvre qu’à 10 heures que depuis le mois d’avril après des essais à 9 h 30 et même 9 heures, « Et je n’ai pas perdu de clientèle », affirme-t-elle.
Le client semble suivre… « On s’adapte, je ne me lève pas de bonne heure de toute façon », reconnaît Michèle Lefèbvre, de Belleu. Rencontrée lundi, elle confirme qu’il n’y a pas grand monde dans les rues ce jour-là, elle en a profité pour aller à la pharmacie. Un peu plus loin, d’autres passants disent que tout va bien pour eux, ils n’ont pas à se plaindre. Quant à Sephora, ouvert tout le lundi et pendant la pause déjeuner : « on travaille bien le lundi », révèle Vanessa Da Silva-Pinho.
Même chose pour l’opticien Olivier Gojo qui explique ouvrir le lundi après-midi en même temps que les grandes enseignes. Mais aussi à 9 heures. « On a régulièrement des gens qui viennent entre 9 et 10 heures », constate celui qui est aussi président du Commerce club créé l’an dernier. En tant que responsable de ce groupe, il convient que l’ouverture tardive « ça peut être un problème » mais il assure aussi que « les habitudes de consommation ont changé ». Quant à l’ouverture entre 12 et 14 heures, elle mérite réflexion selon lui car « il y a beaucoup de promeneurs ». Mais cela peut servir de repérage.
http://www.lunion.presse.fr/region/les-amplitudes-horaires-des-commercants-soissonnais-en-cause-ia3b26n405373
Phénomène d’entraînement, expérience déjà tentée : souvent les mêmes les propos d’une boutique à l’autre. Un peu plus loin, la propriétaire d’un magasin de prêt-à-porter estime qu’elle a déjà essayé d’ouvrir plus tôt avant d’y renoncer en raison d’un manque de fréquentation et d’un manque de personnel. « Pourtant, on est plus vers l’élargissement des horaires, constate-t-elle, puisque les chaînes, elles, ouvrent non-stop ». Elle affirme ne pas avoir beaucoup de clients en début de matinée les jours de marché, les familles commençant leurs achats par l’alimentaire, selon elles.
Le magasin Carador, lui, ouvre justement à 9 h 30 le samedi. Sa responsable Nadia Minel, qui parle également pour la boutique Heure et montres, confirme que les acheteurs ne commencent pas par sa boutique avant le marché. Elle n’ouvre qu’à 10 heures que depuis le mois d’avril après des essais à 9 h 30 et même 9 heures, « Et je n’ai pas perdu de clientèle », affirme-t-elle.
Le client semble suivre… « On s’adapte, je ne me lève pas de bonne heure de toute façon », reconnaît Michèle Lefèbvre, de Belleu. Rencontrée lundi, elle confirme qu’il n’y a pas grand monde dans les rues ce jour-là, elle en a profité pour aller à la pharmacie. Un peu plus loin, d’autres passants disent que tout va bien pour eux, ils n’ont pas à se plaindre. Quant à Sephora, ouvert tout le lundi et pendant la pause déjeuner : « on travaille bien le lundi », révèle Vanessa Da Silva-Pinho.
Même chose pour l’opticien Olivier Gojo qui explique ouvrir le lundi après-midi en même temps que les grandes enseignes. Mais aussi à 9 heures. « On a régulièrement des gens qui viennent entre 9 et 10 heures », constate celui qui est aussi président du Commerce club créé l’an dernier. En tant que responsable de ce groupe, il convient que l’ouverture tardive « ça peut être un problème » mais il assure aussi que « les habitudes de consommation ont changé ». Quant à l’ouverture entre 12 et 14 heures, elle mérite réflexion selon lui car « il y a beaucoup de promeneurs ». Mais cela peut servir de repérage.
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mercredi 10 septembre 2014
mardi 9 septembre 2014
Obligé de se mettre à internet à 93 ans
Marcel Brocheton a 93 ans. Ce Soissonnais s’imagine mal se mettre à Internet et à la télédéclaration à son âge. C’est pourtant ce que lui impose le service des impôts des entreprises du centre administratif de Soissons. À compter du 1er octobre 2014, « toutes les entreprises devront obligatoirement télétransmettre leurs déclarations et paiement de TVA », lui rappelle par courrier papier l’administration fiscale.
Le nonagénaire possède les murs d’un fonds de commerce à Soissons. À ce titre, chaque trimestre, il signe une déclaration et paie la taxe qu’il doit. Taxe qu’il ne conteste pas d’ailleurs. Il s’en acquitte sans sourciller depuis toujours. Mais accomplir la formalité avec un clavier, un écran et une souris, c’est lui demander l’impossible.
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons02-oblige-de-se-mettre-a-internet-a-93-ans-ia231b0n404397
Le nonagénaire possède les murs d’un fonds de commerce à Soissons. À ce titre, chaque trimestre, il signe une déclaration et paie la taxe qu’il doit. Taxe qu’il ne conteste pas d’ailleurs. Il s’en acquitte sans sourciller depuis toujours. Mais accomplir la formalité avec un clavier, un écran et une souris, c’est lui demander l’impossible.
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lundi 8 septembre 2014
dimanche 7 septembre 2014
samedi 6 septembre 2014
Fellmann investit dans le Soissonnais
Les cinquante employés actuels de Fellmann cartonnages à Villeneuve-Saint-Germain n’ont apparemment pas de souci à se faire. Si beaucoup d’entreprises du Soissonnais diminuent leur masse salariale ou ferment leurs portes, celle-ci prend au contraire de l’ampleur. De 15 000 tonnes, la production de ce site va même passer à 30 000, révèle son président-directeur-général, Pascal Fellmann. Alors même que, ce dirigeant le souligne d’ailleurs, ce secteur d’activité est sinistré. Mais « nous arrivons à être performants et nous poursuivons nos investissements ».
Un client, qui sera un peu l’invité d’honneur de l’inauguration des nouvelles machines mardi 9 septembre, y est pour beaucoup. « C’est notre plus gros client et grâce aux volumes qu’il nous commande, nous pouvons investir », indique ainsi Pascal Fellmann, qui a racheté en 1996 la société fondée par son père en 1947. Implanté à une soixantaine de kilomètres de Soissons, cet acheteur de carton permettra donc au site de Villeneuve de devenir le plus gros de la société qui produit actuellement quelque 50 000 tonnes de carton pour emballer des produits agroalimentaires. Plats cuisinés, céréales pour le petit-déjeuner, biscottes, biscuits et sucre sont mis en boîtes par Fellmann cartonnages.
Six millions d’euros seront donc injectés dans l’unité du Soissonnais pour y faire venir deux nouvelles machines ainsi que les aménagements qui vont avec. Pourquoi Villeneuve-Saint-Germain et pas le site alsacien demanderez-vous peut-être ? Tout simplement parce que la taille du local s’y prêtait. Et aussi en raison d’une situation géographique propice puisque « proche de beaucoup de nos donneurs d’ordres, installés au nord de la France ». Et ce n’est sans pas pour déplaire aux Axonais. Car, comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, une vingtaine d’emplois supplémentaires pourraient être créés pour mener à bien cette production. Des emplois divers aux compétences variées, signale le PDG. Sans compter que, remarque-t-il, la pyramide des âges est ainsi faite dans l’entreprise qu’une partie du personnel va devoir être remplacée. Un passage de relais bien souvent anticipé par le biais de l’intérim afin de tester les futurs employés. Alors, si le carton vous emballe, vous savez ce qui vous reste à faire.
http://www.lunion.presse.fr/region/fellmann-investit-dans-le-soissonnais-ia3b26n401841
Un client, qui sera un peu l’invité d’honneur de l’inauguration des nouvelles machines mardi 9 septembre, y est pour beaucoup. « C’est notre plus gros client et grâce aux volumes qu’il nous commande, nous pouvons investir », indique ainsi Pascal Fellmann, qui a racheté en 1996 la société fondée par son père en 1947. Implanté à une soixantaine de kilomètres de Soissons, cet acheteur de carton permettra donc au site de Villeneuve de devenir le plus gros de la société qui produit actuellement quelque 50 000 tonnes de carton pour emballer des produits agroalimentaires. Plats cuisinés, céréales pour le petit-déjeuner, biscottes, biscuits et sucre sont mis en boîtes par Fellmann cartonnages.
Six millions d’euros seront donc injectés dans l’unité du Soissonnais pour y faire venir deux nouvelles machines ainsi que les aménagements qui vont avec. Pourquoi Villeneuve-Saint-Germain et pas le site alsacien demanderez-vous peut-être ? Tout simplement parce que la taille du local s’y prêtait. Et aussi en raison d’une situation géographique propice puisque « proche de beaucoup de nos donneurs d’ordres, installés au nord de la France ». Et ce n’est sans pas pour déplaire aux Axonais. Car, comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, une vingtaine d’emplois supplémentaires pourraient être créés pour mener à bien cette production. Des emplois divers aux compétences variées, signale le PDG. Sans compter que, remarque-t-il, la pyramide des âges est ainsi faite dans l’entreprise qu’une partie du personnel va devoir être remplacée. Un passage de relais bien souvent anticipé par le biais de l’intérim afin de tester les futurs employés. Alors, si le carton vous emballe, vous savez ce qui vous reste à faire.
http://www.lunion.presse.fr/region/fellmann-investit-dans-le-soissonnais-ia3b26n401841
vendredi 5 septembre 2014
Douze enfants privés de cantine
P endant toutes les vacances, on a alerté les parents. On leur a écrit trois fois pour leur expliquer que s’ils ne payaient pas leurs dettes, ils ne pourraient pas inscrire leurs enfants à la cantine. » Daniel Moitié, maire, semble presque gêné d’avoir dû sévir, mais la situation à laquelle il était confronté depuis plusieurs mois ne lui a pas laissé le choix. Hier, une succession d’impayés l’a obligé à refuser l’accès à la cantine à douze enfants de foyers n’ayant pas soldé leurs comptes.
Ces soucis seraient récurrents sur le groupement scolaire où un nombre important de ménages ne s’acquitterait pas correctement des sommes dues. Une famille originaire de Margival n’aurait même rien versé depuis deux ans. Résultat, l’année dernière près de 10 000 euros manquaient dans les finances publiques. « On peut bien sûr avoir des problèmes pour payer, mais ces gens-là doivent se rapprocher d’une assistante sociale pour les aider », s’émeut l’élu. Ce manque de liquidités grève non seulement la trésorerie communale mais il accroît la difficulté de la mise en place des activités périscolaires liées aux nouveaux rythmes. « Beaucoup plus de familles que prévu se sont inscrites aux activités. Le périscolaire nous coûtera 85 000 euros rien que pour payer le personnel, alors qu’on avait tablé sur une dépense de 50 000 euros. Avec ces 10 000 euros en moins, ce sont les autres actions que la mairie comptait lancer qui vont être limitées. » Daniel Moitié a donc dû se montrer ferme avec les resquilleurs. Et encore il s’est montré magnanime jusqu’au bout : « Plusieurs personnes concernées ont soldé leurs comptes le matin même, dès le retour des écoliers. Ils ont donc pu inscrire leurs enfants. »
On ose à peine imaginer ce qu’ont dû ressentir ces malheureux enfants le jour de la rentrée des classes…
http://www.lunion.presse.fr/accueil/douze-enfants-prives-de-cantine-ia0b0n401828
Ces soucis seraient récurrents sur le groupement scolaire où un nombre important de ménages ne s’acquitterait pas correctement des sommes dues. Une famille originaire de Margival n’aurait même rien versé depuis deux ans. Résultat, l’année dernière près de 10 000 euros manquaient dans les finances publiques. « On peut bien sûr avoir des problèmes pour payer, mais ces gens-là doivent se rapprocher d’une assistante sociale pour les aider », s’émeut l’élu. Ce manque de liquidités grève non seulement la trésorerie communale mais il accroît la difficulté de la mise en place des activités périscolaires liées aux nouveaux rythmes. « Beaucoup plus de familles que prévu se sont inscrites aux activités. Le périscolaire nous coûtera 85 000 euros rien que pour payer le personnel, alors qu’on avait tablé sur une dépense de 50 000 euros. Avec ces 10 000 euros en moins, ce sont les autres actions que la mairie comptait lancer qui vont être limitées. » Daniel Moitié a donc dû se montrer ferme avec les resquilleurs. Et encore il s’est montré magnanime jusqu’au bout : « Plusieurs personnes concernées ont soldé leurs comptes le matin même, dès le retour des écoliers. Ils ont donc pu inscrire leurs enfants. »
Deux enfants délaissés par leurs parents
Dans la matinée, la mairie a téléphoné aux parents des douze derniers petits n’ayant pas régularisé leur situation. Ces irréductibles mauvais payeurs étaient invités à reprendre leur progéniture dès midi. Dix marmots seulement ont été récupérés. « Évidemment, on n’a pas laissé les deux autres sans repas. On leur a acheté des sandwiches qu’ils ont mangés à l’école et un adulte est resté avec eux », indique l’élu.On ose à peine imaginer ce qu’ont dû ressentir ces malheureux enfants le jour de la rentrée des classes…
http://www.lunion.presse.fr/accueil/douze-enfants-prives-de-cantine-ia0b0n401828
jeudi 4 septembre 2014
mercredi 3 septembre 2014
mardi 2 septembre 2014
SOISSONS (02). Deux jeunes enfants blessés dans un accident de mini-quad
Soissons. Deux jeunes enfants de 4 et 5 ans ont été blessés dans un accident de mini-quad survenu vers 18 heures, rue d’Héloïse quartier Saint-Médard à Soissons. Le plus jeune des deux, pilote du mini-quad, aurait perdu le contrôle du petit engin motorisé dans le virage de cette rue où il réside, de même que sa passagère. Il a heurté le mur de l’habitation du n°23 de cette rue. La passagère a été éjectée et les deux enfants, blessés, ont été transportés au centre hospitalier de Soissons.
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-02-deux-jeunes-enfants-blesses-dans-un-ia231b0n400851
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-02-deux-jeunes-enfants-blesses-dans-un-ia231b0n400851
lundi 1 septembre 2014
120 hectares pour séduire
Des massifs ne vont pas fleurir ces prochains jours à Soissons, sous prétexte que le jury régional des Villes et villages fleuris passe jeudi prochain. Pour Dominique Lepage, responsable du service Espace verts à la Ville, et les 42 personnes qu'il dirige, la gestion des 120 hectares dont ils ont la charge se déroule dans la continuité. Même si des changements ont été opérés au cours de ses derniers mois. « Nous avons voulu redonner ses lettres de noblesse au jardin de l'hôtel de Ville », rappelle Luc Mouny, conseiller municipal en charge de l'embellissement de Soissons, élu dans la nouvelle équipe depuis mars.
Outre le « choix politique » consistant à refaire un jardin à la française en « réinjectant 5 000 fleurs annuelles » là où les vivaces étaient reines, il se félicite aussi de l'apparition des couleurs bleue, blanche et rouge. Une initiative du service pour célébrer le centenaire de la Grande Guerre.
La cité du Vase a déjà obtenu trois fleurs, comme Serval et Limé, qui recevra le jury jeudi matin. Soissons et Limé (lire ci-dessous) à être visitées cette année puisque l’« on veut le laisser le temps », déclare Françoise Van Hecke, conseillère régionale chargée de ce domaine. Elle pense que la ville se prépare ensuite au passage à quatre fleurs mais Soissons en est bien loin, de l'avis général. « Il faudrait un plan de dix ans », assure Luc Mouny, évoquant des critères dépassant largement les plantations de fleurs : une homogénéisation du mobilier urbain, l'enfouissement des réseaux... même les poubelles devraient être uniformisées.
Déjà, pour en arriver là, la Ville a travaillé sur la gestion de l'eau et a réduit l'utilisation de produits phytosanitaires. Maintenant, le service travaille normalement, « notre critère, c'est la population, le Soissonnais est notre jury, il faut qu'il ait l'impression de se promener dans son jardin », lance Dominique Lepage. Le jury aura peut-être cette impression. Il arrivera vers 15 heures, et sera justement reçu dans le fameux jardin, dans l'enceinte de la mairie, entre la maison commune et les bords de l'Aisne. De là, un bus affrété par la municipalité emmènera ces juges de la beauté d'une ville, à travers ses différents sites. À la découverte de cette ville « verte et bleue », car traversée par une rivière.
http://www.lunion.presse.fr/region/120-hectares-pour-seduire-ia3b26n400248
Outre le « choix politique » consistant à refaire un jardin à la française en « réinjectant 5 000 fleurs annuelles » là où les vivaces étaient reines, il se félicite aussi de l'apparition des couleurs bleue, blanche et rouge. Une initiative du service pour célébrer le centenaire de la Grande Guerre.
La cité du Vase a déjà obtenu trois fleurs, comme Serval et Limé, qui recevra le jury jeudi matin. Soissons et Limé (lire ci-dessous) à être visitées cette année puisque l’« on veut le laisser le temps », déclare Françoise Van Hecke, conseillère régionale chargée de ce domaine. Elle pense que la ville se prépare ensuite au passage à quatre fleurs mais Soissons en est bien loin, de l'avis général. « Il faudrait un plan de dix ans », assure Luc Mouny, évoquant des critères dépassant largement les plantations de fleurs : une homogénéisation du mobilier urbain, l'enfouissement des réseaux... même les poubelles devraient être uniformisées.
Déjà, pour en arriver là, la Ville a travaillé sur la gestion de l'eau et a réduit l'utilisation de produits phytosanitaires. Maintenant, le service travaille normalement, « notre critère, c'est la population, le Soissonnais est notre jury, il faut qu'il ait l'impression de se promener dans son jardin », lance Dominique Lepage. Le jury aura peut-être cette impression. Il arrivera vers 15 heures, et sera justement reçu dans le fameux jardin, dans l'enceinte de la mairie, entre la maison commune et les bords de l'Aisne. De là, un bus affrété par la municipalité emmènera ces juges de la beauté d'une ville, à travers ses différents sites. À la découverte de cette ville « verte et bleue », car traversée par une rivière.
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