Du haut de ses 16 ans, Alexis Grasset est déjà un peu connu dans le monde d'internet et de la météo. Celle-ci est une passion « depuis que j'ai 4 ans ». Aussi a-t-il animé un blog sur le sujet entre 2010 et 2012, « dès que j'ai eu le droit d'aller sur internet ». Il avait choisi ce moyen de faire circuler les informations obtenues grâce à sa station météo et sa sonde parce que « c'est simple à ouvrir ». Mais il a dû abandonner. « Lorsque je suis entré en seconde », précise-t-il. Mais voilà, la toile lui a manqué et « en juin, j'ai créé ma page Facebook » où il a recueilli déjà « 300 j'aime », dit-il, avant de vérifier : « 343 ! » Car sur internet, le compteur bouge sans arrêt! Le lycéen a réduit ses ambitions au département et ses alentours et pourra donc, il l'assure, poursuivre cette activité après la rentrée. « Ça prend 20 minutes, je le ferai chaque soir ». Avant, il le faisait sur le plan national et « c'était une heure et demie ».
http://www.lunion.presse.fr/region/et-chez-les-jeunes-alexis-passionne-de-meteo-jna3b26n189522
Bonjour Informations sur la ville, vidéos, sport à Soissons ... C'est ici pour vous !!! SUIVEZ MOI !!!!!!!!!!!!
samedi 31 août 2013
vendredi 30 août 2013
La perdrix et le petit gibier en perdition dans le Soissonnais
LE mot est fort, mais pesé dans la bouche de Patrick Ercolessi, le vice-président de la Fédération départementale de chasse : « Catastrophique, pour le petit gibier naturel, plus particulièrement la perdrix. Nous avons un conseil d'administration ce lundi, à la Fédération de chasse, et je vais proposer que l'on ne prélève pas de perdrix cette année. » Chasseur lui-même depuis plus de 40 ans, ce Parisien venu retrouver des racines à Terny-Sorny, ne proposera pas cela de gaîté de cœur, mais : « On gère un plan de chasse d'une façon qui est reconnue et permet de trouver encore de nombreuses espèces, alors que dans d'autres départements, il y a longtemps que les chasseurs sont limités. » Sur les quatre secteurs du Soissonnais - Vallée de l'Aisne, Blérancourt, Retz et Sept coteaux -, le constat est identique au reste du département. « Vous pouvez même étendre au bassin Nord parisien », glisse-t-il. « Nous nous retrouvons dans cette situation en raison de trois facteurs : deux climatiques, la pluie et le froid, et le dernier, les prédateurs. Nous avons une quantité importante de renards, une population que nous n'arrivons pas à diminuer de façon correcte. » Avec l'hiver qui s'est pratiquement terminé à la mi-juin, les ravages ont été énormes sur les naissances de petits gibiers naturels, ceux qui naissent de la population résiduelle. Pas celle lâchée quinze jours avant le début de la chasse. « Il y a eu très peu d'insectes pour nourrir les petits donc une mortalité dès importante. Puis ensuite, la saison des pluies et donc de la boue, a contribué à tuer de nombreux oisillons. Ils se retrouvaient embourbés et mourraient d'épuisement. » En revanche, cette abondance de pluies a favorisé la pousse de l'herbe et donc la nourriture des petits cervidés. « Pour vous dire, on procède après les moissons, à des relevés par nichées. Pour les perdrix, nous sommes à des chiffres qui sont inférieurs à l'année 2008, soit une saison de chasse déjà considérée comme désastreuse pour la perdrix. Nous courrons le risque d'avoir un creux terrible pour les années à venir, sachant que l'hiver, va voir aux environs de 30 % de cette espèce, disparaître naturellement. » Côté gros gibiers, la tendance est plus au sourire. Avec toutefois, une mise en garde. Celle de la population de sangliers. « L'année passée, les dégâts causés par les sangliers ont été multipliés par quatre ou cinq selon les secteurs. Par exemple, du côté de la vallée de l'Aisne. Là, nous avons la chance d'arriver à la fin du plan triennal pour la gestion des sangliers. Nous allons devoir procéder à des prélèvements si nous ne voulons pas nous retrouver dans notre secteur, avec des situations noires comme du côté de Sissonne. » Et donc recevoir un mauvais point de la part de la préfecture.
http://www.lunion.presse.fr/region/la-perdrix-et-le-petit-gibier-en-perdition-dans-le-soissonnais-jna3b26n188570
http://www.lunion.presse.fr/region/la-perdrix-et-le-petit-gibier-en-perdition-dans-le-soissonnais-jna3b26n188570
jeudi 29 août 2013
Vols dans les commerces: deux jeunes Chinoises en garde à vue
Lundi après-midi, les policiers ont interpellé deux jeunes Chinoises, domiciliées l'une à Bordeaux, la seconde à Aubervilliers, pour deux vols commis coup sur coup dans les magasins Marionnaud et Carol.
Un sac trafiqué
C'est d'ailleurs la gérante du premier magasin qui s'était aperçu d'un premier vol et avait mis en fuite le duo. Elle avait donné la description aux policiers qui s'apprêtaient à mettre en marche le dispositif « alerte commerçant ». Sauf qu'une patrouille a reconnu dans le second magasin, les deux Chinoises, de nouveau à l'œuvre. Elles ont donc été prises la main dans le sac, dans tous les sens du terme puisqu'elles utilisaient un sac trafiqué pour dissimuler les produits dérobés. À savoir, 180 euros de produits Chanel dans le premier magasin, et un vêtement coûtant 300 euros dans le second. Connues pour des affaires semblables, elles seront convoquées en justice prochainement.
http://www.lunion.presse.fr/region/vols-dans-les-commerces-deux-jeunes-chinoises-en-garde-a-vue-jna3b26n187897
Un sac trafiqué
C'est d'ailleurs la gérante du premier magasin qui s'était aperçu d'un premier vol et avait mis en fuite le duo. Elle avait donné la description aux policiers qui s'apprêtaient à mettre en marche le dispositif « alerte commerçant ». Sauf qu'une patrouille a reconnu dans le second magasin, les deux Chinoises, de nouveau à l'œuvre. Elles ont donc été prises la main dans le sac, dans tous les sens du terme puisqu'elles utilisaient un sac trafiqué pour dissimuler les produits dérobés. À savoir, 180 euros de produits Chanel dans le premier magasin, et un vêtement coûtant 300 euros dans le second. Connues pour des affaires semblables, elles seront convoquées en justice prochainement.
http://www.lunion.presse.fr/region/vols-dans-les-commerces-deux-jeunes-chinoises-en-garde-a-vue-jna3b26n187897
mercredi 28 août 2013
La démolition des anciens silos approche
COMME le Monoprix en ville haute de Laon, les anciens silos de la coopérative agricole soissonnaise, qui se dressent au bord de l'Aisne, trônent en témoin géant, de l'histoire du centre-ville de Soissons. Voués à la déconstruction depuis que le propriétaire les a vendus à la ville le 4 juillet dernier, les silos vont être progressivement détruits de l'intérieur. Une sorte d'effritement interne, qui va peu à peu laisser la place à un bord d'Aisne transformé. Le Foyer rémois va en effet y construire près de 70 logements (locatifs et accession à la propriété). L'opération va entrer dans les prochains jours dans sa phase active, puisque la dépollution et le désamiantage, relativement léger pour la grosseur du site, vont débuter en septembre. Un mois qui sera suivi de la démolition, un effritement par l'intérieur jusqu'en février 2014. Mais, pour conserver une trace de point d'ancrage dans la mémoire des Soissonnais et Soissonnaises, la ville, par son service d'urbanisme, a mis en place plusieurs ateliers autour de cette opération.
Souvenirs d'anciens salariés
« En juillet, nous avons mis en place un atelier sur la berge toute proche pour inciter les riverains, les voisins du quartier et tous ceux qui avaient quelque chose à dire sur l'histoire de ces silos, à venir s'exprimer », explique Olivier Froidefond, le directeur de cabinet du maire. « C'est le service d'urbanisme qui s'en est occupé. Outre les habitants du quartier Saint-Waast, nous avons notamment vu des anciens salariés du site, amener une photo, un article de journal, raconter une histoire. » Un premier rendez-vous qui a plu, puisqu'une seconde rencontre est programmée le 10 septembre prochain, salle des mariages de l'hôtel de ville (de 10 heures à 19 heures). Un troisième acte aura lieu fin septembre lors de « Soissons en Sc'Aisne » et ses 130 spectacles. « Peut-être pourrons-nous à cette période, procéder à une première restitution de ces travaux de mémoire… »
Court-métrage
Enfin, dernier acte pour se souvenir de l'histoire de ce monument, outre les ateliers mémoires, un concours de court-métrage est organisé. Baptisé « Et si ensemble on se souvenait des silos ? », le but est simple : en trois minutes maximum, réaliser un court-métrage avec les silos en « acteurs » principaux. Caméscope, smartphone, tous les moyens actuels sont autorisés. Une fois l'œuvre réalisée, elle est à envoyer dans la boîte mail crée pour ce concours : berges@ville-soissons.fr « Nous voulons leur dire que le clap de fin appartient aux Soissonnais », conclut Olivier Froidefond. À vos objectifs
http://www.lunion.presse.fr/region/la-demolition-des-anciens-silos-approche-jna3b26n186825
Souvenirs d'anciens salariés
« En juillet, nous avons mis en place un atelier sur la berge toute proche pour inciter les riverains, les voisins du quartier et tous ceux qui avaient quelque chose à dire sur l'histoire de ces silos, à venir s'exprimer », explique Olivier Froidefond, le directeur de cabinet du maire. « C'est le service d'urbanisme qui s'en est occupé. Outre les habitants du quartier Saint-Waast, nous avons notamment vu des anciens salariés du site, amener une photo, un article de journal, raconter une histoire. » Un premier rendez-vous qui a plu, puisqu'une seconde rencontre est programmée le 10 septembre prochain, salle des mariages de l'hôtel de ville (de 10 heures à 19 heures). Un troisième acte aura lieu fin septembre lors de « Soissons en Sc'Aisne » et ses 130 spectacles. « Peut-être pourrons-nous à cette période, procéder à une première restitution de ces travaux de mémoire… »
Court-métrage
Enfin, dernier acte pour se souvenir de l'histoire de ce monument, outre les ateliers mémoires, un concours de court-métrage est organisé. Baptisé « Et si ensemble on se souvenait des silos ? », le but est simple : en trois minutes maximum, réaliser un court-métrage avec les silos en « acteurs » principaux. Caméscope, smartphone, tous les moyens actuels sont autorisés. Une fois l'œuvre réalisée, elle est à envoyer dans la boîte mail crée pour ce concours : berges@ville-soissons.fr « Nous voulons leur dire que le clap de fin appartient aux Soissonnais », conclut Olivier Froidefond. À vos objectifs
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mardi 27 août 2013
Seconde Guerre mondiale La libération de la ville commémorée
Dans le cadre du 69e anniversaire de la libération de Soissons permettant le retrait des troupes allemandes en 1944, les anciens combattants et les officiels ont rendu hommage aux morts pour la France, dimanche matin, sur la place Fernand-Marquigny. Un moment chargé d'émotions pour les parties intéressées comme pour les spectateurs, puisque le résistant et médaillé de la Légion d'honneur, Daniel Chapelet a salué, du fond du cœur et les larmes aux yeux, la mémoire de ses camarades disparus. Celui-ci a participé au rapatriement de plusieurs aviateurs américains, anglais et canadiens pendant l'Occupation et à la libération du village martyr de Tavaux-et-Pontséricourt dans l'Aisne, le 31 août 1944. Il a rejoint ensuit la première Division française libre et combattu dans les Vosges et en Alsace où il a été grièvement blessé en janvier 1945. Hospitalisé deux ans et demi, il n'a été démobilisé qu'en juillet 1947. Distingué par l'élu Lors de cette cérémonie, Daniel Chapelet s'est vu remettre la médaille d'or de la Ville de Soissons par le biais du maire, Patrick Day. Hier, une autre cérémonie identique à celle-là s'est également tenue, au même endroit. Une commémoration en l'hommage de Pierre Penne, grand résistant aura lieu à l'hôtel de ville, le 30 novembre.
http://www.lunion.presse.fr/region/seconde-guerre-mondiale-la-liberation-de-la-ville-commemoree-jna3b26n186111
http://www.lunion.presse.fr/region/seconde-guerre-mondiale-la-liberation-de-la-ville-commemoree-jna3b26n186111
lundi 26 août 2013
dimanche 25 août 2013
Soissons s'affiche au jardin du Luxembourg
UN site soissonnais sera bientôt exposé au regard de tous les Parisiens et touristes de la capitale. Et pas n'importe quel lieu : il illustrera le patrimoine vivant de la commune. « Les Soissonnais le reconnaîtront » affirme Karine Jagielski, directrice du centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine (CIAP). Elle n'en dira pas plus sur l'endroit… à découvrir dès vendredi 13 septembre sur l'une des grilles du jardin du Luxembourg mais aussi à Soissons, comme il est prévu que ce soit le cas dans les quatre-vingts autres villes également exposées pendant quatre mois dans le cadre de l'Eté du sénat.
À l'hôtel de ville et à Saint-Jean
Contacté fin 2012, en tant que ville d'art et d'histoire, par un courrier de Martin Malvy, ancien ministre et président de l'Association nationale des villes et pays d'art et d'histoire et villes à secteurs sauvegardés et protégés (ANVPAH & VSSP), le maire a pris la décision de postuler pour cette exposition en décembre dernier. Une longue préparation a donc abouti à sa présence aux côtés de villes prestigieuses comme Aix-en-Provence, Bordeaux, Menton, Nîmes ou l'Ile de Ré ! Et aussi l'Axonaise Laon. Ce, pour fêter un double anniversaire : les 30 ans de l'association et les 50 de la loi Malraux sur les sites sauvegardés. À l'occasion des journées du patrimoine, la mystérieuse photo sera donc révélée tant devant le Sénat qu'à l'hôtel de ville de Soissons où une version numérique de l'exposition sera présentée à 18 heures le vendredi. Au cours du week-end, elle devrait être à nouveau projetée, cette fois au cellier de Saint-Jean-des-Vignes puis encore à l'automne lors des rendez-vous Musée patrimoine. Et les Soissonnais pourront, bien entendu, l'admirer jusqu'au 12 janvier à Paris. Là, un flash code permettra aux possesseurs de smartphones de découvrir des informations touristiques sur la ville. Celle-ci apparaîtra même dans le livre, contenant textes et photos, associés à l'opération ! « C'est une belle opportunité », se félicite Karine Jagielski qui a même pris part au comité de pilotage de cette action. Elle a aussi sélectionné, pour cette photo, des lieux soumis ensuite au cabinet du maire qui a tranché. Un photographe a alors réalisé des clichés dont une vingtaine a été choisie par l'association puis le maire et son entourage ont dû faire part de leur préférence. Pour la bonne cause, puisque des touristes, après cette vision, devraient avoir envie d'en voir plus. D'autant que, lors des Journées européennes du patrimoine, des comédiens viendront lire des textes, dont certains transmis par la directrice du CIAP, devant les visiteurs faisant le pied de grue pour visiter le Sénat. Et ils sont 30 000 chaque année !
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-s-affiche-au-jardin-du-luxembourg-jna3b26n184648
À l'hôtel de ville et à Saint-Jean
Contacté fin 2012, en tant que ville d'art et d'histoire, par un courrier de Martin Malvy, ancien ministre et président de l'Association nationale des villes et pays d'art et d'histoire et villes à secteurs sauvegardés et protégés (ANVPAH & VSSP), le maire a pris la décision de postuler pour cette exposition en décembre dernier. Une longue préparation a donc abouti à sa présence aux côtés de villes prestigieuses comme Aix-en-Provence, Bordeaux, Menton, Nîmes ou l'Ile de Ré ! Et aussi l'Axonaise Laon. Ce, pour fêter un double anniversaire : les 30 ans de l'association et les 50 de la loi Malraux sur les sites sauvegardés. À l'occasion des journées du patrimoine, la mystérieuse photo sera donc révélée tant devant le Sénat qu'à l'hôtel de ville de Soissons où une version numérique de l'exposition sera présentée à 18 heures le vendredi. Au cours du week-end, elle devrait être à nouveau projetée, cette fois au cellier de Saint-Jean-des-Vignes puis encore à l'automne lors des rendez-vous Musée patrimoine. Et les Soissonnais pourront, bien entendu, l'admirer jusqu'au 12 janvier à Paris. Là, un flash code permettra aux possesseurs de smartphones de découvrir des informations touristiques sur la ville. Celle-ci apparaîtra même dans le livre, contenant textes et photos, associés à l'opération ! « C'est une belle opportunité », se félicite Karine Jagielski qui a même pris part au comité de pilotage de cette action. Elle a aussi sélectionné, pour cette photo, des lieux soumis ensuite au cabinet du maire qui a tranché. Un photographe a alors réalisé des clichés dont une vingtaine a été choisie par l'association puis le maire et son entourage ont dû faire part de leur préférence. Pour la bonne cause, puisque des touristes, après cette vision, devraient avoir envie d'en voir plus. D'autant que, lors des Journées européennes du patrimoine, des comédiens viendront lire des textes, dont certains transmis par la directrice du CIAP, devant les visiteurs faisant le pied de grue pour visiter le Sénat. Et ils sont 30 000 chaque année !
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-s-affiche-au-jardin-du-luxembourg-jna3b26n184648
vendredi 23 août 2013
Margival / Disparition Jacques Nivart est décédé
Avec la disparition, à l'âge de 81 ans le 19 août, de Jacques Nivart, la commune vient de perdre sa mémoire vivante. Il était né à Margival le 28 septembre 1932. Il a exercé la profession d'artisan plombier chauffagiste. Il était marié à Bibianna avec qui il a eu deux filles, Martine et Nathalie, et quatre petits enfants Vivien, Lauriane, Alexandre et Alicia. A la disparition de son papa, il prit sa succession en tant que conseiller municipal et fut élu le 14 mars 1965 sur la liste de Gaston Cappigny, maire de l'époque. Il fut ensuite réélu conseiller en 1971 et 1977 avec Jean Claude Viguier comme maire, en 1983 et 1989 sur la liste d'Henri Joly. Le 25 juin 1995, il fut élu 2e adjoint de Martine Vivaux il conservera ce poste de second adjoint jusqu'à sa disparition avec Daniel Tant et Bruno Marcellin. Son grand dévouement au service de la commune lui a valu de recevoir la médaille d'Honneur régionale départementale et communale, au grade argent en 1996 et grade vermeil en 2005. Le 4 décembre 2011 il a reçu la médaille de la Reconnaissance de la nation pour son engagement lors de la guerre d'Algérie. L'actuel maire, Bruno Marcellin, a tenu à insister sur la grande perte qu'allait connaître la municipalité avec ce décès : « Jacques était notre source d'informations il connaissait tous les passages des différents réseaux dans le village, nous n'avions pas besoin de sortir les plans, déjà tout jeune il suivait son papa dans le village lorsqu'il effectuait des travaux pour la commune. » Le nom perdurera au sein du conseil municipal puisque sa fille Martine est aujourd'hui conseillère. Les obsèques de Jacques Nivart auront lieu ce vendredi 23 août en l'église du village. l'union présente ses sincères condoléances à son épouse, à ses filles et à ses petits enfants.
http://www.lunion.presse.fr/region/margival-disparition-jacques-nivart-est-decede-jna3b26n183254
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jeudi 22 août 2013
mercredi 21 août 2013
L'histoire de Soissons vue d'en haut
«ILS veulent voir leur maison ! » Marie Hagard a l'habitude d'emmener les visiteurs de Soissons prendre de la hauteur au sommet de la tour de la cathédrale. Elle raconte les groupes hétéroclites, avec souvent des Soissonnais désireux de voir chez eux, par au-dessus, ou d'anciens habitants. C'était le cas ce lundi avec M. Daudré-Vignier emmenant sa fille là-haut. « Les gens aiment bien venir avec les enfants, constate la guide conférencière, parfois on en a plein autour de nous avec quelques adultes. » Aucun souci pour elle, le parapet garantissant la sécurité « et le grillage vient d'être refait » pour combler les « quatre feuilles », des motifs ouvragés laissant un espace vacant, même s'il faudrait vraiment être petit pour passer… Les touristes, les vrais, sont là aussi, comme le Vendéen Pascal Roux.
Le comte et le maire
La guide en a même convaincu deux, juste au moment de monter… Ce couple, venu du Morbihan, contemplait le parvis et ils n'ont pas regretté cette visite impromptue. Roland et Marie-Noëlle Brun ont même, en montant d'un bon pas, évoqué le championnat du monde de l'ascension du phare d'Eckmühl organisé chaque année dans leur Bretagne. Car chacun y va de son petit détail, la guide n'est pas la seule à parler… « C'est Viollet-le-Duc qui a refait les gargouilles », signale l'un des visiteurs, un autre évoquant les pignons à redents, nom moins familier pour les toitures à pas de moineaux si caractéristiques du Soissonnais. Arpentant méthodiquement chacun des quatre côtés de la plate-forme, Marie Hagard parle, là-haut, beaucoup de l'histoire locale. « Les tours de Saint-Jean-des-Vignes et Soissons ont été construites en même temps », raconte-t-elle à propos de l'abbaye et la cathédrale. Elle explique aussi être sur la tour sud, une autre ayant été prévue au nord mais finalement jamais réalisée. « Les troupes bourguignonnes ont tant détruit en 1414 que les habitants ont forcé l'évêque à donner ses pierres et son bois pour reconstruire leurs maisons. » Un des homologues de cet homme d'église a encore plus mal fini puisqu'il aurait été jeté dans un puits pour avoir voulu voir tout le monde à la messe ! L'hôtel de ville a aussi droit à son chapitre : le pouvoir a toujours été là, souligne la jeune guide, avec, entre autres le château du comte. Juste à côté, elle montre le Mail, certainement appelé ainsi parce que la noblesse du coin aimait venir s'y détendre en jouant au maillet ! Entre autres distractions, le quatrième côté est l'occasion de parler des hôtels nés de la curiosité de touristes venus, après la guerre, voir la cathédrale tant détruite ! Aujourd'hui, ils l'honorent toujours, mais de l'intérieur.
http://www.lunion.presse.fr/region/l-histoire-de-soissons-vue-d-en-haut-jna3b26n181539
Le comte et le maire
La guide en a même convaincu deux, juste au moment de monter… Ce couple, venu du Morbihan, contemplait le parvis et ils n'ont pas regretté cette visite impromptue. Roland et Marie-Noëlle Brun ont même, en montant d'un bon pas, évoqué le championnat du monde de l'ascension du phare d'Eckmühl organisé chaque année dans leur Bretagne. Car chacun y va de son petit détail, la guide n'est pas la seule à parler… « C'est Viollet-le-Duc qui a refait les gargouilles », signale l'un des visiteurs, un autre évoquant les pignons à redents, nom moins familier pour les toitures à pas de moineaux si caractéristiques du Soissonnais. Arpentant méthodiquement chacun des quatre côtés de la plate-forme, Marie Hagard parle, là-haut, beaucoup de l'histoire locale. « Les tours de Saint-Jean-des-Vignes et Soissons ont été construites en même temps », raconte-t-elle à propos de l'abbaye et la cathédrale. Elle explique aussi être sur la tour sud, une autre ayant été prévue au nord mais finalement jamais réalisée. « Les troupes bourguignonnes ont tant détruit en 1414 que les habitants ont forcé l'évêque à donner ses pierres et son bois pour reconstruire leurs maisons. » Un des homologues de cet homme d'église a encore plus mal fini puisqu'il aurait été jeté dans un puits pour avoir voulu voir tout le monde à la messe ! L'hôtel de ville a aussi droit à son chapitre : le pouvoir a toujours été là, souligne la jeune guide, avec, entre autres le château du comte. Juste à côté, elle montre le Mail, certainement appelé ainsi parce que la noblesse du coin aimait venir s'y détendre en jouant au maillet ! Entre autres distractions, le quatrième côté est l'occasion de parler des hôtels nés de la curiosité de touristes venus, après la guerre, voir la cathédrale tant détruite ! Aujourd'hui, ils l'honorent toujours, mais de l'intérieur.
http://www.lunion.presse.fr/region/l-histoire-de-soissons-vue-d-en-haut-jna3b26n181539
mardi 20 août 2013
lundi 19 août 2013
Villeneuve-Saint-Germain / Pour réparer sa voiture soi-même Les clients louent et réalisent leurs réparations
DÈS l'entrée au sein du garage Levage Auto, Christophe Moriceau, le gérant, ouvre ses portes, avec un large sourire. Plutôt fluet au premier aspect, quand on pense à l'environnement de la mécanique automobile, il n'en est rien pourtant quand on découvre le dur labeur effectué par le quadragénaire. L'homme accueille dans son garage toutes les personnes souhaitant réaliser quelques travaux sur leur véhicule et qui veulent bien mettre la main à la pâte. « Je donne des conseils et loue le matériel pour toutes les réparations de véhicules, mais le principe consiste en ce que le propriétaire réalise les travaux lui-même », souligne-t-il. Il poursuit : « Il y a des gens férus de mécanique qui n'ont pas besoin d'aide, mais d'autres demandent à être conseillés et je suis là pour cela. » Le cœur sur la main et souhaitant toujours rendre service, il avoue tout de même que son entreprise, qui existe depuis près d'un an, dérange un peu dans l'entourage. « Parfois les clients arrivent avec des devis réalisés dans d'autres garages et quand je constate les marges hallucinantes pratiquées, je préfère leur dire ce que coûte réellement leur réparation. Evidemment, ça ne plaît pas beaucoup ! » Ce n'est pas un nouveau concept Vendredi dernier, un couple et leur petite fille avaient fait le déplacement pour effectuer un diagnostic. « On a commandé des pneus sur internet avec l'un des sites partenaires du garage, puis on est venu pour les installer. C'est le seul garage qui permet cela et ça coûte vraiment moins cher », confie Martine Prithiviraj, une cliente. La trentenaire ajoute : « Ca fait plusieurs fois qu'on vient. On a déjà effectué la vidange, les plaquettes de frein, et d'autres travaux. En plus, le gérant nous aide même parfois à trouver des pièces moins chères. On a fait de grosses économies grâce à lui. » Avant de devenir gérant, Christophe Moriceau fabriquait des lignes d'échappements pour des collectionneurs, des sportifs et des amoureux du tuning. « Le prêt de matériel dans un garage n'est pas un nouveau concept, ça date des années soixante-dix. Je l'avais proposé dans ma dernière entreprise, mais ça n'avait pas pris. Alors, j'ai ouvert mon commerce », se souvient-il. La communauté d'agglomération du Soissonnais lui loue alors le local, dans lequel est installé son garage. « La première année est difficile, le chiffre d'affaires est dans le négatif, puis peu à peu on remonte à la surface. L'objectif est de toujours proposer les meilleurs prix aux clients, même si les taxes nous accablent. » L'homme ne se considère pas comme gestionnaire d'un atelier associatif, ni d'un self-service, il veut développer son affaire en prodiguant des conseils et en acquérant davantage de matériel. « Je cherche un local de 300 m2 pour ma société et j'aimerai dans l'avenir pouvoir embaucher un ou deux salariés », espère Christophe Moriceau.
http://www.lunion.presse.fr/region/villeneuve-saint-germain-pour-reparer-sa-voiture-jna3b26n180362
http://www.lunion.presse.fr/region/villeneuve-saint-germain-pour-reparer-sa-voiture-jna3b26n180362
dimanche 18 août 2013
samedi 17 août 2013
Pris la main sur... le pied de biche
C'est le flair d'une patrouille de police, du groupe de sûreté et de proximité (GSP), qui a permis de réaliser un « flag » lors d'une tentative de vol par effraction dans une maison de la rue du Dr-Jean-Davesne mercredi. Intriguée par l'attitude de quelques jeunes dans ce secteur, la patrouille du GSP a réussi à surprendre un individu en pleine tentative d'effraction, dans une maison fermée du secteur. Lorsqu'il aperçoit les policiers, il se débarrasse du pied-de-biche. Une précédente effraction dans une cabane de jardin avait été signalée et les patrouilles avaient été renforcées sur ce secteur. Là, les policiers ont interpellé le jeune, plus trois autres dont certains ont reconnu être allés dans l'abri de jardin, une fois celui-ci forcé. Ils ont dérobé trois ballons et un pied-de-biche, dont le futur majeur (17 ans), habitant Vauxbuin, se servait pour tenter de commettre son forfait. Ils seront donc tous convoqués pour vol et tentative de vol par effraction.
http://www.lunion.presse.fr/region/pris-la-main-sur-le-pied-de-biche-jna3b26n179046
http://www.lunion.presse.fr/region/pris-la-main-sur-le-pied-de-biche-jna3b26n179046
vendredi 16 août 2013
Disparition Jean-Michel Vermeersch n'est plus
Un ancien habitant de la cité du Vase vient de disparaître en la personne de Jean Michel Vermeersch. Jean-Michel Vermeersch résidait rue de Guise. Il était arrivé dans la région en 1981, année de son entrée à la papeterie de La Rochette Vénizel comme ingénieur d'entretien. Il avait obtenu son diplôme d'ingénieur Arts et Métiers à Lille en 1959. Après un passage par la société Uniroyal à Compiègne il a quitté le monde du caoutchouc pour rejoindre celui du papier. A Vénizel, après avoir été ingénieur d'entretien, il a ensuite occupé le poste de directeur d'usine puis celui de directeur général adjoint. Il a fait valoir ses droits à la retraite en 2000. A Soissons il était connu dans le monde associatif puisque, de 1986 à 2004, il a fait partie du Rotary club. Il s'était ensuite retiré avec son épouse dans une région qu'il appréciait particulièrement : la Normandie. Ses obsèques auront lieu aujourd'hui à Ouistreham. Le journal l'union présente ses sincères condoléances à son épouse ainsi qu'à ses enfants et petits-enfants.
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-disparition-jean-michel-vermeersch-n-est-plus-jna3b26n178326
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mercredi 14 août 2013
Le bouquet des jeunes
Elle était encore plus belle que les fleurs qu'elle vendait.....
J'y allais souvent dans ce petit magasin de fleurs..elle l'avait ouvert toute jeune et elle en avait fait ce qu'elle souhaitait...elle l'avait appellé "le bouquet des jeunes"....rue saint Christophe....
Elle était jolie comme le jour qui se lève le matin et qui sent la rosée et le chevrefeuille...j'avais toujours envie de lui offrir une rose...mais j'étais rouge de timidité quand je me présentais chez elle.....
J'ai quitté la ville pour mon travail....à mon retour, dix ans plus tard, le fleuriste avait disparu, remplacé par une banque....
Je l'ai revue....la vie n'avait pas été gentille avec elle...on s'est regardé sans rien dire...presque gênés....elle avait des cheveux blancs que les soucis de la vie lui avait adressés....elle vendait toujours des fleurs....dans une grande surface....mais sa beauté restait sur son visage..surtout quand il s'éclairait à la vue d'un ancien client du "bouquet des jeunes"
C'est la vie....
J'y allais souvent dans ce petit magasin de fleurs..elle l'avait ouvert toute jeune et elle en avait fait ce qu'elle souhaitait...elle l'avait appellé "le bouquet des jeunes"....rue saint Christophe....
Elle était jolie comme le jour qui se lève le matin et qui sent la rosée et le chevrefeuille...j'avais toujours envie de lui offrir une rose...mais j'étais rouge de timidité quand je me présentais chez elle.....
J'ai quitté la ville pour mon travail....à mon retour, dix ans plus tard, le fleuriste avait disparu, remplacé par une banque....
Je l'ai revue....la vie n'avait pas été gentille avec elle...on s'est regardé sans rien dire...presque gênés....elle avait des cheveux blancs que les soucis de la vie lui avait adressés....elle vendait toujours des fleurs....dans une grande surface....mais sa beauté restait sur son visage..surtout quand il s'éclairait à la vue d'un ancien client du "bouquet des jeunes"
C'est la vie....
Les policiers sauvent (encore) un jeune du suicide
SOISSONS (02). Cette fois, c'est une rupture sentimentale qui serait à l'origine de la tentative de suicide d'un jeune Soissonnais de 19 ans, sur le pont de Pasly, samedi après-midi. Et comme l'autre tentative de suicide qui s'est heureusement bien terminée, c'est aussi l'intervention de la police qui a permis d'éviter un drame. En début d'après-midi, des automobilistes aperçoivent un jeune homme avec un couteau dans les mains sur le pont de Pasly. Une patrouille de police prévenue, se rend sur les lieux. Mais le jeune homme ne semble pas être sensible aux arguments des policiers en uniforme qui font appel à leur tour, à leurs collèges du GSP (groupe de sécurité et de proximité). Des hommes travaillant en civil, et qui engage la conversation avec l'individu.
Un vrai attirail pour se suicider
Malgré les échanges, ce jeune homme passe à l'acte en se portant un coup de couteau à la gorge. Puis, il monte sur le parapet, jette le couteau dans la rivière et sort de ses affaires une rallonge électrique qu'il passe autour de son coup, serrant de plus en plus fort. Deux des policiers arrivent à détourner son regard, en lui parlant constamment. Profitant de cette diversion, le major commandant cette patrouille, arrive à passer derrière le jeune homme. Ce dernier tente alors de sauter, mais le sous-officier de police arrive à le ceinturer puis à le ramener sur le pont. Le jeune homme, visiblement très perturbé, est alors pris en charge par les pompiers et le SAMU, avant d'être emmené sur le centre hospitalier. En fouillant les affaires du jeune homme, les policiers découvrent l'étendue de la volonté de passer à l'acte du jeune majeur. Outre le couteau et la rallonge électrique, se trouvent dans les poches et dans un sac à dos, un cutter et une bouteille contenant, d'après les premières analyses un mélange d'eau de javel et de médicaments.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/les-policiers-sauvent-encore-un-jeune-du-suicide-jna0b0n176097
Un vrai attirail pour se suicider
Malgré les échanges, ce jeune homme passe à l'acte en se portant un coup de couteau à la gorge. Puis, il monte sur le parapet, jette le couteau dans la rivière et sort de ses affaires une rallonge électrique qu'il passe autour de son coup, serrant de plus en plus fort. Deux des policiers arrivent à détourner son regard, en lui parlant constamment. Profitant de cette diversion, le major commandant cette patrouille, arrive à passer derrière le jeune homme. Ce dernier tente alors de sauter, mais le sous-officier de police arrive à le ceinturer puis à le ramener sur le pont. Le jeune homme, visiblement très perturbé, est alors pris en charge par les pompiers et le SAMU, avant d'être emmené sur le centre hospitalier. En fouillant les affaires du jeune homme, les policiers découvrent l'étendue de la volonté de passer à l'acte du jeune majeur. Outre le couteau et la rallonge électrique, se trouvent dans les poches et dans un sac à dos, un cutter et une bouteille contenant, d'après les premières analyses un mélange d'eau de javel et de médicaments.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/les-policiers-sauvent-encore-un-jeune-du-suicide-jna0b0n176097
mardi 13 août 2013
Je vous parle d'un temps....
"Je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre..."
Je ne vous recopie pas les paroles d'une chanson, mais j'ai fredonné ce texte un après midi en me promenant en ville...j'y ai rencontré des gens vraiment attachants...
Je me souviens de ma jeunesse quand j'allais faire des commissions chez les commerçants de la ville..une échope ici, un magasin là, un boulangerie plus loin et même le marchand de journaux...Les rues ont changé, les magasins ne sont plus les mêmes...et, devant l'ancienne patisserie, ou j'achetais mes croissants le dimanche matin, je l'ai vue...."la patronne"!!! Une vieille dame si jolie dans ma jeunesse...elle balayait son trottoir...elle avait gardé tout son charme...seuls ses cheveux blancs racontaient son âge....nos regards se sont croisés..elle m'a souri gentiment...je lui ai rendu son sourire humant encore une fois dans ma mémoire l'odeur de ses croissants uniques en ville...... souvenez vous de la pâtisserie Buisson rue Saint Martin.....
J'avais aperçu un peu plus loin dans la rue Saint Christophe la vendeuse du magasin de cadeaux....elle travaillait toujours...qui l'eut cru !!!
Son commerce regorgeait de belles choses...mais il a vieilli comme sa vendeuse...encore une fois j'ai été charmé par ce sourire qui me plaisait tant quand je venais la voir pour acquérir une babiole à offrir en cadeau...elle aussi m'a souri...ses yeux m'ont appelé..je n'avais rien à acheter....mes yeux lui ont répondu que je reviendrais ...aujourd'hui la vendeuse n'est plus...triste souvenir...
Je suis toujours jeune.. ils sont toujours là...dans ma mémoire et dans mon coeur rien n'a changé....c'est la vie...
Je ne vous recopie pas les paroles d'une chanson, mais j'ai fredonné ce texte un après midi en me promenant en ville...j'y ai rencontré des gens vraiment attachants...
Je me souviens de ma jeunesse quand j'allais faire des commissions chez les commerçants de la ville..une échope ici, un magasin là, un boulangerie plus loin et même le marchand de journaux...Les rues ont changé, les magasins ne sont plus les mêmes...et, devant l'ancienne patisserie, ou j'achetais mes croissants le dimanche matin, je l'ai vue...."la patronne"!!! Une vieille dame si jolie dans ma jeunesse...elle balayait son trottoir...elle avait gardé tout son charme...seuls ses cheveux blancs racontaient son âge....nos regards se sont croisés..elle m'a souri gentiment...je lui ai rendu son sourire humant encore une fois dans ma mémoire l'odeur de ses croissants uniques en ville...... souvenez vous de la pâtisserie Buisson rue Saint Martin.....
J'avais aperçu un peu plus loin dans la rue Saint Christophe la vendeuse du magasin de cadeaux....elle travaillait toujours...qui l'eut cru !!!
Son commerce regorgeait de belles choses...mais il a vieilli comme sa vendeuse...encore une fois j'ai été charmé par ce sourire qui me plaisait tant quand je venais la voir pour acquérir une babiole à offrir en cadeau...elle aussi m'a souri...ses yeux m'ont appelé..je n'avais rien à acheter....mes yeux lui ont répondu que je reviendrais ...aujourd'hui la vendeuse n'est plus...triste souvenir...
Je suis toujours jeune.. ils sont toujours là...dans ma mémoire et dans mon coeur rien n'a changé....c'est la vie...
Partis camper, ils se retrouvent dans le fossé
Un début de vacances qui tourne mal !
Lundi soir, vers 18 heures, deux jeunes hommes âgés d’une vingtaine d’années ont fait un tonneau à bord de leur Renault scénic verte.
Partis de Soissons, ils circulaient sur la nationale 2 en direction de Laon, côte de Crouy, et ont dévié leur route juste avant le commerce de champignon.
Un brusque coup de volant
L’accident est survenu alors que le conducteur aurait voulu changer la fréquence de son autoradio. Il aurait donné un brusque coup de volant qui lui a fait traverser les deux voies, avant de finir dans un fossé, au milieu des hautes herbes.
Les jeunes se rendaient en direction de Maubeuge et avaient prévu de camper là-bas, à en voir les deux tentes sorties du coffre. Choqués, mais heureusement pas blessés, ils ont été pris en charge par les pompiers et la police de Soissons.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/partis-camper-ils-se-retrouvent-dans-le-fosse-ia0b0n175667
Lundi soir, vers 18 heures, deux jeunes hommes âgés d’une vingtaine d’années ont fait un tonneau à bord de leur Renault scénic verte.
Partis de Soissons, ils circulaient sur la nationale 2 en direction de Laon, côte de Crouy, et ont dévié leur route juste avant le commerce de champignon.
Un brusque coup de volant
L’accident est survenu alors que le conducteur aurait voulu changer la fréquence de son autoradio. Il aurait donné un brusque coup de volant qui lui a fait traverser les deux voies, avant de finir dans un fossé, au milieu des hautes herbes.
Les jeunes se rendaient en direction de Maubeuge et avaient prévu de camper là-bas, à en voir les deux tentes sorties du coffre. Choqués, mais heureusement pas blessés, ils ont été pris en charge par les pompiers et la police de Soissons.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/partis-camper-ils-se-retrouvent-dans-le-fosse-ia0b0n175667
lundi 12 août 2013
Deux policiers sauvent un homme suicidaire
«Lorsqu'ils ont vu que l'homme brandissait un revolver, la patrouille a compris qu'il voulait vraiment se donner la mort. Ils ont tenté de l'intercepter au rond-point de l'archer mais il a accéléré pour se diriger vers les étangs du Canivet. Aussitôt arrivé là-bas, il est descendu, a pris son revolver et l'a pointé vers son front. Il a tiré mais, stupeur, la balle est restée coincée dans son front. Une fois constaté cela, il a voulu reprendre une cartouche mais là, les deux policiers se sont jetés sur lui pour l'en empêcher. » Cette histoire, le lieutenant Nuyttens, officier de permanence, la raconte avec retenue. Heureux que son duo, « une jeune policière mais qui commence à avoir une bonne expérience, et un gardien de la paix », ait pu sauver cette vie. L'histoire commence vers 5 heures du matin, devant le Madingo, la discothèque de Villeneuve-Saint-Germain. La patrouille effectue sa ronde pour vérifier les sorties de boîte. Là, ils sont avertis qu'un homme à des propos suicidaires. Victime présumée d'une situation familiale difficile, l'homme de 45 ans, habitant un petit village du Soissonnais, semble être désespéré.
Hors de danger hier soir
Après un premier contact avec le duo de policiers, il prend sa voiture et rejoint la N 2, direction le rond-point de l'Archer. Sur cet axe, la jeune femme policière va tenter de raisonner l'homme lorsqu'il se retrouve côte à côte, voiture contre voiture. Rien n'y fait, l'homme semble décider à mettre fin à ses jours. C'est à ce moment d'ailleurs qu'il brandit son arme, un revolver 22 LR, montrant sa détermination. Il prend la direction des étangs du Canivet où la suite sera plus heureuse. Le Samu et les pompiers feront les premiers soins sur place, avant que le blessé ne soit évacué sur l'hôpital. « Nous avons appris que cet homme est hors de danger, expliquait, hier, le lieutenant Nuyttens, et cela va satisfaire tout le monde, notamment les collègues qui sont intervenus et qui étaient quand même assez secoués par cette intervention pas habituelle. » Ne reste plus qu'à espérer pour l'homme, que sa situation familiale se débloque.
http://www.lunion.presse.fr/region/deux-policiers-sauvent-un-homme-suicidaire-jna3b26n175332
Hors de danger hier soir
Après un premier contact avec le duo de policiers, il prend sa voiture et rejoint la N 2, direction le rond-point de l'Archer. Sur cet axe, la jeune femme policière va tenter de raisonner l'homme lorsqu'il se retrouve côte à côte, voiture contre voiture. Rien n'y fait, l'homme semble décider à mettre fin à ses jours. C'est à ce moment d'ailleurs qu'il brandit son arme, un revolver 22 LR, montrant sa détermination. Il prend la direction des étangs du Canivet où la suite sera plus heureuse. Le Samu et les pompiers feront les premiers soins sur place, avant que le blessé ne soit évacué sur l'hôpital. « Nous avons appris que cet homme est hors de danger, expliquait, hier, le lieutenant Nuyttens, et cela va satisfaire tout le monde, notamment les collègues qui sont intervenus et qui étaient quand même assez secoués par cette intervention pas habituelle. » Ne reste plus qu'à espérer pour l'homme, que sa situation familiale se débloque.
http://www.lunion.presse.fr/region/deux-policiers-sauvent-un-homme-suicidaire-jna3b26n175332
dimanche 11 août 2013
Soissons / Les Estivales En route pour le trésor de l'abbaye !
Une dizaine d'enfants, âgés de quatre et cinq ans ont endossé l'habit de chasseur de trésors le temps d'un après-midi à l'abbaye Saint-Jean-des-Vignes. Une première pour les Estivales de la Ville de Soissons qui souhaitait offrir une animation, à la fois ludique et amusante pour les tout petits (accompagnés de leurs parents) Les jeunes sont partis à la recherche du trésor de l'abbaye en parcourant le site, guidée par Fabienne, responsable du service du Patrimoine. Pour ce faire ils devaient résoudre plusieurs énigmes telles que des devinettes ou encore reconstituer, en participant à un atelier dessin, un symbole ayant trait aux dessins exposés de Claude Viallat. Une recherche directe pour les indices qui permettaient de passer à l'étape suivante, munis d'un sac contenant les pièces d un puzzle mystère! Près de deux heures de balade dans les jardins, le cloître, l'Arsenal, les cuisines ainsi que le réfectoire pour accéder à toutes les pièce du puzzle qui, au final représentait la façade de l'illustre monument et qui permettait d'ouvrir le fameux trésor, rempli de friandises... Une façon ludique pour le jeune public d'aborder la culture du patrimoine et l'historique de Saint-Jean-des-Vignes.
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-les-estivales-en-route-pour-le-tresor-de-l-abbaye-jna3b26n174785
http://www.lunion.presse.fr/region/soissons-les-estivales-en-route-pour-le-tresor-de-l-abbaye-jna3b26n174785
samedi 10 août 2013
vendredi 9 août 2013
jeudi 8 août 2013
Les hôtels indépendants luttent contre les mauvaises attitudes
Même si les grosses chaînes ont davantage de moyens que les petits hôtels indépendants, les soucis restent les mêmes. En effet, les mauvais comportements touchent toutes les gammes hôtelières, même si les plus en vue, semblent y échapper. À l'hôtel Le Rallye, boulevard de Strasbourg, les conditions de classements de l'organisme Atout France n'ont pas été simples à mettre en œuvre, ils ont perdu une étoile sur deux. Parmi les prérequis, les conditions, la propreté des chambres occupe le sommet. « Nous avons déjà eu des critiques pour cause d'humidité. Mon voisin avait eu un dégât des eaux et un monsieur s'en est plaint sur internet. Sur booking.com, des touristes étrangers se sont également plaints d'un vol de vélo, dans notre garage qui pourtant était fermé. Je me suis même demandé s'ils ne l'avaient pas perdu », s'étonne Philippe Salhi, 51 ans, le propriétaire. Il ajoute : « Certains se sont même plaints à cause du bruit du sanibroyeur qu'ils avaient dans leur chambre. Pour la cigarette, c'est difficile de contrôler, on n'est pas derrière les gens. » Le responsable considère pourtant qu'il est très important de répondre aux commentaires. Il précise : « Nous ne bénéficions pas d'aide de l'État comme certaines grandes chaînes hôtelières. » À l'hôtel Le Terminus, l'hôtel ne se sent pas concerné par la saleté et n'observe pas de pénalité face aux mauvais comportements. Enfin, Robert Annour, le propriétaire de l'hôtel Primevère, a prévu des chambres fumeurs pour les clients et pourtant certains irréductibles tentent toujours leur chance dans leur chambre non-fumeur. « On retrouve les gobelets pleins de mégots et certains louent des chambres que pour faire la fête. »
http://www.lunion.presse.fr/region/les-hotels-independants-luttent-contre-les-mauvaises-attitudes-jna3b26n172610
http://www.lunion.presse.fr/region/les-hotels-independants-luttent-contre-les-mauvaises-attitudes-jna3b26n172610
mercredi 7 août 2013
mardi 6 août 2013
lundi 5 août 2013
dimanche 4 août 2013
Le corbeau est de retour
Il y a de l'ambiance à Neuville-sur-Margival. Dans ce petit village de 130 âmes du canton de Vailly-sur-Aisne, sévit un corbeau, qui signale, comme tout corbeau qui se respecte, anonymement, ce qu'il sait ou croit savoir. Souvent avec intérêt.
« Les procédures, on les collectionne », observe Mariel Tellier, le premier adjoint au maire. Cette fois, c'est un propriétaire que le corbeau a dénoncé à la préfecture de l'Aisne et aux services de la direction départementale des territoires. Un propriétaire qui louerait depuis quatre jours, à la date du courrier, un logement insalubre.
Bien renseigné
Cette fois, « ça a commencé par une dénonciation me visant », commence André Caer, le maire depuis treize ans. Il y a deux semaines, « la CAF a débarqué ici à la mairie. Ils sont allés visiter le logement avec moi. Ils trouvent la situation inqualifiable. Je ne peux pas dire le contraire. C'était un hangar vide, sans fenêtre, sans porte, sans eau et sans électricité, avec une toiture qui pisse l'eau. Loué à une famille, un couple avec un enfant de douze ans, pour 600 euros par mois ».
Le corbeau était visiblement très bien renseigné. Dans son courrier au préfet, il soulignait : « Ce bâtiment n'a, bien entendu, pas fait l'objet des diagnostics obligatoires qui auraient mis en évidence des défauts d'isolation, d'installation de chauffage voire de la présence de peintures contenant du plomb ».
Et frapper à la fois sur le propriétaire des lieux qui « serait un récidiviste des infractions au code de l'urbanisme dont il semble bien se moquer » et sur le maire car « tout ceci se passe sous (ses) fenêtres. Il vit dans la même rue ».
Un bon corbeau
Tandis que le dossier a été transmis à l'Agence régionale de santé, André Caer se défend d'avoir vu et d'avoir laissé faire : « Je ne me doutais pas que cette famille vivait là. Quand j'ai appris, je les ai autorisés à prendre de l'eau potable à la mairie ».
Le corbeau aurait-il cette fois fait une bonne action ? Le propriétaire crie, lui, au « mauvais procès » et vole dans les plumes du volatile. La Fontaine en aurait fait tout un fromage.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-corbeau-est-de-retour-jna0b0n168695
« Les procédures, on les collectionne », observe Mariel Tellier, le premier adjoint au maire. Cette fois, c'est un propriétaire que le corbeau a dénoncé à la préfecture de l'Aisne et aux services de la direction départementale des territoires. Un propriétaire qui louerait depuis quatre jours, à la date du courrier, un logement insalubre.
Bien renseigné
Cette fois, « ça a commencé par une dénonciation me visant », commence André Caer, le maire depuis treize ans. Il y a deux semaines, « la CAF a débarqué ici à la mairie. Ils sont allés visiter le logement avec moi. Ils trouvent la situation inqualifiable. Je ne peux pas dire le contraire. C'était un hangar vide, sans fenêtre, sans porte, sans eau et sans électricité, avec une toiture qui pisse l'eau. Loué à une famille, un couple avec un enfant de douze ans, pour 600 euros par mois ».
Le corbeau était visiblement très bien renseigné. Dans son courrier au préfet, il soulignait : « Ce bâtiment n'a, bien entendu, pas fait l'objet des diagnostics obligatoires qui auraient mis en évidence des défauts d'isolation, d'installation de chauffage voire de la présence de peintures contenant du plomb ».
Et frapper à la fois sur le propriétaire des lieux qui « serait un récidiviste des infractions au code de l'urbanisme dont il semble bien se moquer » et sur le maire car « tout ceci se passe sous (ses) fenêtres. Il vit dans la même rue ».
Un bon corbeau
Tandis que le dossier a été transmis à l'Agence régionale de santé, André Caer se défend d'avoir vu et d'avoir laissé faire : « Je ne me doutais pas que cette famille vivait là. Quand j'ai appris, je les ai autorisés à prendre de l'eau potable à la mairie ».
Le corbeau aurait-il cette fois fait une bonne action ? Le propriétaire crie, lui, au « mauvais procès » et vole dans les plumes du volatile. La Fontaine en aurait fait tout un fromage.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-corbeau-est-de-retour-jna0b0n168695
samedi 3 août 2013
vendredi 2 août 2013
Nouvelle émission sur M6 à la rentrée En compétition pour être « le meilleur boulanger »
IL porte un nom qui, à l'oreille au moins, apparaît prédestiné. Le Soissonnais Bertrand Sarazin a participé au tout nouveau concours culinaire, proposé dès fin août sur M6, qui désignera le « meilleur boulanger de France ». Ce concept est inspiré d'une émission venant du Royaume-Uni, Britain's Best Bakery. Comme leurs confrères de tout l'Hexagone, Bertrand et Nathalie Sarazin ont été inscrits par leurs clients. « C'est une fierté. Après, il faut relever le défi », confie le boulanger, qui a débuté dans le métier à l'âge de 16 ans comme apprenti. Il a - aujourd'hui 2 août - tout juste 39 ans, son épouse 2 ans de moins. « Plusieurs boulangeries de Soissons avaient été choisies et ensuite nous avons concouru avec deux autres de la Somme et de l'Oise puis nous avons été retenus pour représenter la Picardie », explique Nathalie Sarazin. « L'amour du métier » Lors de la venue des deux éminents membres du jury, Bruno Cormerais et Gontran Cherrier, c'était évidemment l'effervescence dans la boulangerie de la rue Saint-Martin. « Ils ont tourné dans la boutique mais aussi dans le laboratoire et ont goûté mes pains », détaille Bertrand Sarazin, qui avait aussi, pour les besoins de l'émission, à préparer deux de ses spécialités, la gougère au maroilles et la ficelle picarde. Pour le Soissonnais, cette émission constituera évidemment une belle vitrine de la profession. La France compte plus de 32 000 boulangeries. En un an, selon M6, les Français consomment pas moins de 10 milliards de baguettes ! Si Bertrand Sarazin fabrique plus d'une trentaine de pains différents, pour satisfaire toutes les envies et accompagner tous les mets, c'est sa baguette tradition qu'il met en avant. « En 2010, j'ai remporté le prix de la meilleure baguette tradition du Val de Marne » relève-t-il, en soulignant surtout que « c'est l'amour du métier qui est le secret de la réussite. C'est un métier exigeant, mais il ne faut pas compter ses heures. » M6 a décidé de faire partager cette passion du pain et d'embarquer les spectateurs dans un périple gourmand à travers le pays. L'émission sera diffusée du lundi au vendredi après Un Dîner presque parfait. Ensemble, Bruno Cormerais et Gontran Cherrier ont sillonné la France à travers quatre-vingt-quatre boulangeries réparties dans sept grandes régions sélectionnées. Pour départager les établissements, les candidats sont jugés selon divers critères comme la devanture, la décoration de la boutique, l'accueil des clients, et la qualité de quelques spécialités. Puis chaque jour, trois d'entre elles passeront au grill dans des épreuves imposées, jusqu'au vendredi, jour de la finale régionale. Cela devrait marcher à la baguette…
http://www.lunion.presse.fr/region/nouvelle-emission-sur-m6-a-la-rentree-en-competition-jna3b26n168704
http://www.lunion.presse.fr/region/nouvelle-emission-sur-m6-a-la-rentree-en-competition-jna3b26n168704
jeudi 1 août 2013
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