dimanche 30 septembre 2012

Le mystère de l'abbaye de Vauclair

Écuries de la Perrière À la rencontre des Crouyssiens !

Fête du cheval oblige, les cavaliers des Écuries de la Perrière avaient décidé de… déserter les lieux qu'ils fréquentent régulièrement pour aller à la rencontre des Crouyssiens !
« Il s'agit d'une petite balade dans les rues du village », indiquait Paul Monteiro, sous le regard attentif de Pierre Dhuez, autre maillon fort local.
De bon matin, quelques adhérents - pour certains déguisés - sellaient leurs montures et s'offraient ainsi une agréable mais inhabituelle virée.
« C'est une façon de se faire connaître », soulignait encore un moniteur qui, sitôt de retour, s'appliquait à coordonner des jeux ludiques, avant d'arbitrer une confrontation de horse-ball entre amis.
Cette journée pas vraiment comme les autres se terminait autour du verre de l'amitié


http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ecuries-de-la-perriere-a-la-rencontre-des-crouyssiens

samedi 29 septembre 2012

Guy Fourcade n'est plus

C'est une figure politique de Soissons qui s'est éteinte, jeudi. Guy Fourcade, conseiller général du canton de Soissons Nord, de 1976 à 2004, est décédé à l'âge de 79 ans. Ses obsèques seront célébrées, mercredi 3 octobre, à 14 h 30, à la cathédrale de Soissons.
« Nous sommes tous, moi comme tous les sympathisants socialistes du Soissonnais, abattus par l'annonce du décès de Guy Fourcade. Pour moi, en tant que maire de Soissons, je peux dire que la ville lui doit beaucoup, car il a mis en place le Sivom, le système de déchetteries et de ramassage des déchets ménagers, les stations d'épuration. À un moment où l'environnement n'était pas à la mode, il a réfléchi à donner des équipements qui sont encore valables aujourd'hui », souligne Patrick Day, le maire de Soissons et conseiller général de Soissons Nord. Guy Fourcade « a été le premier conseiller général du canton de Soissons Nord, réélu à chaque élection jusqu'à sa démission pour des raisons de santé. Il a énormément fait pour le canton ».
Vice-président aux affaires sociales, « il a été le maître d'œuvre du premier schéma départemental pour les personnes en situation de handicap, pour les personnes âgées et pour l'enfance ». Patrick Day rend hommage à l'homme « d'une grande tolérance. C'était vraiment quelqu'un de bien ».
Yves Daudigny, sénateur et président du conseil général de l'Aisne, confie sa « grande admiration pour la personne et pour son travail d'élu. Nous avons vécu ensemble treize ans dans l'opposition et nous avons travaillé à la mise en œuvre, avec Jean-Pierre Balligand, d'une nouvelle majorité ». Il rend hommage à « son intelligence vive, sa capacité d'analyse et à son engagement total au service de ses convictions ». Le président du conseil général se souvient de l'humour de Guy Fourcade « qui pouvait quelque fois être cinglant. Il était aussi musicien. Il était un élu exemplaire, irréprochable et ce n'est pas faux, ni exagéré, de le dire maintenant ».


http://www.lunion.presse.fr/autresactus

Le Mail Scene Culturelle - Soissons - Ouverture de la saison 2012 2013


SOISSONS 2012.Champ. de France Fédé


vendredi 28 septembre 2012

MDP Menuiserie Daniel Petri -Clôtures, barrières Soissons 02


Huit bonnes raisons d'aller au festival Sc'Aisne

Samedi et dimanche a lieu, sur les berges de l'Aisne et ses abords, la 4e édition du festival Soissons en Sc'Aisne.
Ce désormais traditionnel rendez-vous du dernier week-end de septembre vient clore les animations d'un Été en Sc'Aisne proposées depuis fin juin à la halte fluviale. Cette année, une quarantaine de spectacles et animations sont au menu de ces deux jours de festivités. Expositions, stands et démonstrations diverses compléteront le programme. Pour ceux qui hésitent sur ce qu'il faut aller voir, nous proposons huit bonnes raisons de profiter de ce premier week-end d'automne. Alors, tous en Sc'Aisne !
Le programme de ce 4e Soissons en Sc'Aisne est particulièrement riche. Chacun devrait donc y trouver de quoi faire son bonheur, entre théâtre, musique, chanson, danse, mais aussi expositions et animations diverses et variées. Vous hésitez tout de même ? l'union vous livre huit (bonnes) raisons d'y aller.
+ 1 - Si le public répond, cela promet d'être grandiose. La Compagnie Acaly a eu la bonne idée de proposer un disco flasmob sur le pont du Mail, samedi et dimanche à 16 heures. Le principe est simple : un maximum de mondes à danser le disco en même temps et une mise en ligne sur le web !
+ 2 - Les spectacles sur le thème de l'eau. Pour mettre en Sc'Aisne le festival, ça coulait de source. On retiendra notamment « Madame Tantale », passionaria de l'eau, de la compagnie Acidu (le dimanche à 11 30, 15 heures et 16 h 30), « Shuss Plouf », un hors-bord en pleine ville qui va ravir le jeune public (dimanche à 12 heures, 15 h 30 et 17 h 30), et puis, incontournable, le spectacle « Éléments » de la compagnie Les Lutins réfractaires, qui allie la danse, la musique, le feu et la pyrotechnie (samedi à 21 h 30).
+ 3 - Avec la salle des mariages de l'hôtel de ville, le lieu du spectacle n'a pas été choisi au hasard. La compagnie Art et Nuits blanches y jouera « Amours, désamours » (dimanche à 11 heures, 14 h 30 et 17 heures).
+ 4 - Le festival se veut éco-responsable. Le Trio sélectif y a donc toute sa place. Au gré des chansons et sketches, ce trio rigolo recycle des tubes du XXe siècle qui parlent nature et urgence à sauver la planète (dimanche à 12 h 30, 14 h 30, 16 heures et 18 heures).
+ 5 - Dans les jardins de l'hôtel de ville, petits et grands pourront découvrir de drôles d'instruments de musique qui fonctionnent à l'eau : bullophone, harpe aquatique, pluviophone… (samedi et dimanche de 10 heures à 19 heures).
+ 6 - Le groupe Taraf Dékalé propose une musique résolument festive et gorgée de soleil depuis une dizaine d'années. Un concert unique en son genre (samedi à 22 h 30 sur le Mail).
+ 7 - Pas de festival sans possibilité de se restaurer, de boire un verre (avec modération), de profiter des transats aux couleurs de Soissons en Sc'Aisne. Ce week-end, c'est l'occasion ou jamais d'un week-end de détente.
+ 8 - Le soleil qui va inonder les berges de l'Aisne… Risqué d'avancer des prévisions fiables à 100 %, sachant, comme le disait feu Alain Gillot-Pétré, que « la météo, c'est l'art de prévoir le temps qu'il aurait dû faire… ». Mais il semble néanmoins que le baromètre aille dans le bon sens…

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/huit-bonnes-raisons-daller-au-festival-scaisne

jeudi 27 septembre 2012

Margival/Domaine de Montgarny Des portes qui ont du mal à se refermer

Le domaine de Montgarny a ouvert ses portes au public ce week-end et cette initiative fut couronnée de succès.
Les visiteurs ont pu découvrir les lieux en compagnie du greeter de service, Pierre Commeine, qui connaît ces lieux dans leurs moindres recoins. Le guide a su faire partager sa passion pour ce site au passé plus que chargé. En effet le domaine de la famille Dormeuil fut marqué par les combats de la première guerre mondiale. Au cours de la visite les passionnés ont pu découvrir du matériel militaire en tout genre exposé dans la cour. Cette reconstitution historique a été possible grâce à la participation des poilus d'Eperon 132 et d'As de carreau qui étaient accompagnés des soldats américains de Flanders Jocks.
Le Dodge ambulance datant de 1943 et appartenant à Franck et Nathalie Dechamps, des collectionneurs de Vaudesson, a attiré bien des regards, sa consommation en carburant en a fait pâlir plus d'un, 30 litres aux 100 km.
Et pour faire le plein il faut être patient en effet le remplissage du réservoir de 110 litres prend environ 45 minutes. Les voisins de l'association de sauvegarde du W2 étaient bien évidemment présents avec leur maquette du quartier général d'Hitler. Les visiteurs se sont succédé tout le week-end, le livre de Pierre Commeine a connu un grand succès, l'auteur et son éditeur étaient ravis, le nombre d'exemplaires vendus à la fin de la première journée avait atteint l'objectif fixé pour les deux jours.


http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/margivaldomaine-de-montgarny-des-portes-qui-ont-du-mal-a-se-refermer

mercredi 26 septembre 2012

Le paquet sur l'information

La ligne Paris-Laon souffre d'irrégularité chronique. Souvent à cause d'un réseau surchargé, aux abords de Paris. Mais les causes sont multiples : travaux, dégradations volontaires, animaux sur la voie, etc. Par exemple, au mois d'août, des jets de pierres sur les trains ont occasionné un retard de 37 minutes.
La SNCF tient des statistiques précises et affiche chaque mois, en gares, les causes des retards et le taux de régularité du mois. Lequel s'est nettement amélioré cette année. En effet, en 2011, l'objectif de 91,5 % de régularité n'a été atteint que trois fois dans l'année et de justesse. Cette année, cinq mois déjà sont au delà des objectifs. Sur les trains sensibles (les plus fréquentés), la différence entre 2011 et 2012 est moins notable.
La SNCF, consciente du problème, met le paquet sur l'information aux usagers. « C'est essentiel, insiste le responsable de la ligne Benoît Vincent. Quand il y a un problème, les contrôleurs essaient de raconter l'histoire aux gens. Plus on donne d'infos, mieux ça passe.» Ce dernier tient un blog *, il poste aussi des infos sur la page facebook d'usagers « Paris-Laon ma deuxième maison ». Par ailleurs, il est possible de télécharger l'application TER flash trafic, où l'on est averti de retards éventuels. Les clients peuvent aussi s'inscrire aux alertes sms.
*
www.maligne-ter.com/laon-paris. www.ter-sncf.com

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Spectacle jeune public le 2 octobre « S'envoler » fait planer

C'est avec S'envoler, un très beau conte boréal pour le jeune public, dès 8 ans, que le Mail - scène culturelle ouvrira sa saison 2012-2013, mardi 2 octobre.
Il était une fois en Suède, un garnement de 14 ans, Nils Holgersson. Égoïste et désœuvré, ses jeux turbulents lui font maltraiter les animaux.
Un jour, pour le punir, un tomte (lutin issu des légendes scandinaves) réduit sa taille à la sienne, mais lui offre la capacité de parler avec les animaux.
Dans le même temps, Martin, un jars séjournant à la ferme, souhaite rejoindre un groupe d'oies sauvages en vol de migration vers la Laponie. Nils tente de s'opposer à son départ, mais sa nouvelle stature physique est insuffisante pour le retenir. Accroché à ses ailes, il est emporté et rejoint les oies dans le ciel.
Commence alors un périple aérien extraordinaire au-dessus de la Suède, durant lequel Nils découvre ses régions, sa nature et ses histoires légendaires.
Traversant diverses épreuves, il fait preuve de courage, de générosité. Métamorphosé et devenu meilleur, il peut envisager son retour dans la ferme familiale pour retrouver une vie normale.
Au Mail, mardi 2 octobre à 14 h 30 et 19 heures


http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/spectacle-jeune-public-le-2-octobre-senvoler-fait-planer

lundi 24 septembre 2012

Pavillon des arquebusier, Soissons.


Fuite de gaz Soissons dans le centre de Soissons : une trentaine de personnes évacuées

Une importante fuite de gaz a, hier après-midi à Soissons, nécessité l'évacuation d'une trentaine de personnes pendant près de trois heures.
LA rue Saint-Christophe a, hier après-midi à Soissons, été interdite à la circulation pendant environ trois heures, en raison d'une importante fuite de gaz sur la voie publique qui a touché la rue Plocq, ruelle qui jouxte cette artère du centre-ville.
Un particulier effectuait des travaux de rénovation d'un mur extérieur de son habitation lorsqu'il a, accidentellement aux environs de 14 h 15, percé une canalisation de gaz de 25 mm de diamètre, avec un débit de pas moins de 4 bars.
Dès leur arrivée sur place aux côtés des techniciens de GRDF, les sapeurs-pompiers et les services de police ont procédé à l'évacuation d'une trentaine d'habitants de la rue Plocq ainsi qu'à la fermeture des deux commerces situés aux deux angles avec la rue Saint-Christophe, l'agence de voyage Nouvelles Frontières et le magasin Élégance Onglissime. La circulation et le stationnement des véhicules ont été interdits entre la rue du Collège et la place Saint-Christophe.
La difficulté pour les techniciens de GRDF a été d'isoler le secteur où s'est produite la fuite. La mise en place d'un barrage de conduite a ainsi, indirectement, touché 700 abonnés au gaz du quartier. « L'objectif pour nous était avant tout de sécuriser le secteur » explique l'adjudant-chef Joël Lubin, chef de groupe à la tête des sapeurs-pompiers présents sur les lieux.
Après la neutralisation de la fuite, la réparation devant intervenir dans un second temps, les secours ont procédé à une reconnaissance de tous les logements qui avaient été évacués, afin de s'assurer de l'absence de poches de gaz.
Ça n'est qu'ensuite, vers 17 h 30, que tout est rentré dans l'ordre et que le quartier Saint-Christophe a pu être rendu à la circulation. La remise en service du gaz devait, elle, se faire progressivement.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/fuite-de-gaz-soissons-dans-le-centre-de-soissons-une-trentaine-de-personnes-evacuees

Rencontres culinaires autour du surimi

samedi 22 septembre 2012

FESTIVAL / La ville en fête avec Soissons en Sc'Aisne

Soissons en Sc'Aisne est de retour pour sa quatrième édition. Les 29 et 30 septembre prochains, les amateurs des arts de la rue, théâtre et musique pourront déambuler sur les bords de l'Aisne afin de découvrir les très nombreuses animations proposées.
Un programme riche et dense (une cinquantaine de rendez-vous sur deux jours) pour faire rire, surprendre et se détendre en famille, avec des productions principalement soissonnaises. Des temps forts au fil desquels le public est invité à déambuler, à écouter, voir, toucher, admirer, transpirer, applaudir, s'émerveiller, rire, courir, sauter, pédaler, ramer, chevaucher ou encore danser.
A noter cette année deux prestations immanquables : le spectacle Elements par la cie des Lutins Burlesques, mais aussi le concert du groupe Taraf Dékalé.


AU PROGRAMME
  • Quai St-Waast
3 petits pas et puis s'en va, par la compagnie Graine de Malice : samedi et dimanche à 11h, 14 h 30, 16h, 18h. Contes pour enfants au bord de l'eau par Conte et raconte en Soissonnais : samedi et dimanche à 15h et 16 h 30. Et ils vécurent heureux par la compagnie Progéniture : samedi à 16 h. Accrovoile : samedi et dimanche de 10h à 19h. Association l'Outi en main : samedi et dimanche de 10h à 19h. La Soissonnaise par l'association soissonnaise de gymnastique : samedi et dimanche de 10h à 19h. Voies navigables de France : samedi et dimanche de 10h à 19h.
  • Péniche
Le bricoleur imaginaire par Laurent Cruel : samedi à 14 h 30. Escapade chez les indiens par l'Armoire à contes, samedi à 16 h 30 et 17 h 30. Léon, souvenirs… par la compagnie Pass à l'acte : samedi à 20h. La Sorcière Latrouille, par la compagnie Apremont Musithéa : dimanche à 10 h 30 et 11 h 45. Méfiez-vous des anges par la compagnie Acaly : dimanche à 14h. A quoi rêves-tu ? par la compagnie La Marelle : dimanche à 15 h 30 et 16 h 30. Les monologues d'Anna Parker par Anna Parker, dimanche à 18h.
  • Pelouses et halte fluviale
Le Romain Michel Street Chaud par la compagnie Romain Michel : samedi à 15 h 30 et 18h. Pl'Aisne Nature : samedi à 10h et dimanche à 9 h 30. Le Trio Sélectif : dimanche à 12 h 30, 14 h 30, 16h et 18h. Princesse Linotte par la compagnie Circolade : dimanche à 15h et 17h. Agissons pour demain avec l'Agenda 21 : samedi et dimanche de 10h à 19h. Les voiles du Soissonnais : samedi et dimanche de 10h à 19h. Les pinceaux voyageurs : samedi et dimanche de 10h à 19h. Equus Loisirs : Samedi de 14h à 19h et dimanche de 10h à 19h. L'Art de la récupération par Séverine Rabozzi : samedi et dimanche de 15h à 18h.
  • Pont du Mail
Disco Rashmob par la compagnie Acaly : samedi et dimanche à 16h. Association astronomique du Soissonnais : samedi et dimanche de 10h à 19h. Groupement des associations aéronautiques soissonnaises : samedi et dimanche de 10h à 16h.
  • Jardins de l'Hôtel de Ville
Harmonie municipale et amis réunis : dimanche à 11h. Minéraux et fossiles : samedi et dimanche de 10h à 19h. Pôle Art : samedi et dimanche de 10h à 19h. Instruments à eau interactifs : samedi et dimanche de 10h à 19h.
  • Salle des mariages de l'Hôtel de Ville
Amours désamours par la compagnie Art et Nuits blanches : dimanche 11h, 14 h 30 et 17h.
  • Salle des fêtes
Chants et danses de France : dimanche à 15h et 17h.
  • Esplanade du Mail
Associaçao départemental dos portugueses : samedi à 12 h 30. Funkadeleen : samedi à 16h. Elements par la compagnie des Lutins Réfractaires : samedi à 21 h 30. Taraf Dékalé : samedi à 22 h 30. Go Get : dimanche à 12 h 30. Téléphomme : dimanche à 15 h 30. Sing Sing : dimanche à 18h.
  • Le Mail, scène culturelle
Joe et The guys, samedi à 20 h.
  • Abbaye Saint-Léger
La pub en dansant par Habanera club, samedi à 15 h. Les cancres par l'ACS L'étoile du rire, samedi à 17 h. Tableau Degas par l'école de danse Martine Carratié, samedi à 18 h 30. Les Tam Tam de mon cœur, par la chorale La Capanella, samedi à 20 h. Charlotte la hulotte, par la Cie Nomades, dimanche à 11 h. Représentation de l'ACS chorale A tout chœur, dimanche à 15 h. Danse irlandaise avec Attchoo Dancin' the world, dimanche à 17 h. La tempête, par la Cie Nomades, dimanche à 19 h 30.
  • Dans le cloître de l'abbaye Saint-Léger
Découverte de l'art pictural avec l'académie de l'Œil bleu, samedi et dimanche de 10 h à 19 h.
  • Rue de la Paix
Peinture en direct, samedi et dimanche de 10 h à 19 h.
  • Spectacles de rue aux 4 coins du site :
Les petites bestioles par la MJC de la Vallée de l'Aisne : samedi à 11 h 30, 15h, 16h, 17h, 18h. Hysterix le Gueuloir par Requiem Prod : samedi à 16 h 30. 2 Guingois : dimanche de 9 h 30 à 15h. Ecole de danse Martine Carratié : dimanche à 15h. Madame Tantale par la compagnie Acidu, dimanche à 11 h 30, 15h et 16 h 30. Shuss Plouf par la compagnie Progéniture : dimanche à 12h, 15 h 30, 17 h 30.

PRATIQUE
Soissons en Sc'Aisne
Samedi 29 et dimanche
30 septembre.
Partout en ville


http://www.aisnenouvelle.fr/communes/Soissons

vendredi 21 septembre 2012

Grève de la faim : le combat d'une grand-mère

Claudine Zimmerlin voudrait que justice soit faite. Il y a un an, elle portait plainte pour des maltraitances subies par sa petite-fille.
Désespérée, fatiguée, inquiète mais déterminée. Claudine Zimmerlin veut des réponses et elle n'a trouvé d'autre solution pour les obtenir que d'entamer une grève de la faim. Voilà cinq jours aujourd'hui qu'elle ne s'alimente plus et qu'elle fait le piquet devant le palais de justice de Soissons. Elle demande « que justice soit faite » pour sa petite-fille qui « a subi certaines choses ». Elle n'en dit pas plus par pudeur et pour protéger la petite de 6 ans.

Depuis vendredi, ses yeux boursouflés, son corps avachi sur son déambulateur et sa pancarte en carton interpellent les passants. Certains s'arrêtent, lui témoignent un peu de sympathie, l'interrogent. « Le 16 juin 2011, j'ai emmené ma petite-fille aux urgences. J'ai aussi porté plainte et j'ai téléphoné à la DDASS », raconte-t-elle.

« Placée »

Plus d'un an après les faits, la grand-mère ne comprend pas pourquoi celui qui a fait du mal à la fillette n'a pas encore répondu de ses actes devant la justice et pourquoi elle, qui chérit cette enfant, à de moins en moins le droit de la voir.
La petite a vécu chez sa grand-mère, avec sa maman, durant ses quatre premières années. Quand la maman a trouvé un nouveau compagnon, elle a emmené l'enfant avec elle. « La petite m'a été confiée en attendant le passage devant le juge des enfants le 25 juillet l'année dernière », explique la dame, « puis elle a été placée dans une famille d'accueil. Je pouvais la voir chez moi tous les mercredis. » Cette première décision, elle l'a comprise : « Je suis handicapée à 80 %. »

Suites de l'affaire

Plus les mois passent, moins la grand-mère et sa petite-fille ont l'occasion de se rencontrer. Le droit de visite s'est réduit à un mercredi sur deux, puis, en juillet, « à une fois par mois, à la Cipas, en présence d'une personne ». Claudine Zimmerlin pense faire l'objet de représailles pour avoir fait une remarque sur « une terrasse et un escalier pas sécurisés » dans la maison de la famille d'accueil.

Désemparée, elle craint de ne plus voir la petite. Visiblement très faible, elle décidait, hier vers 16 heures, de regagner son domicile. Quelques instants plus tôt, deux fonctionnaires de policiers lui expliquaient que faire une grève de la faim ne la mènerait pas bien loin, que d'autres solutions existaient, qu'elle pouvait se renseigner au commissariat pour en savoir plus sur les suites de l'affaire.

Claudine Zimmerlin les a écoutés, s'est justifiée mais n'a pas dévié : « J'irai jusqu'au bout. » Quitte à déranger..... la suite de l'article sur ce lien .....  http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/greve-de-la-faim-le-combat-dune-grand-mere




Cathédrale de Soissons

jeudi 20 septembre 2012

La place de la République

En arrière plan Saint Jean des Vignes
 
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Patrick Dupond et son double

Il a été le meilleur danseur du monde. Elle a porté les couleurs de la France en basket. Patrick Dupond et Leïla Da Rocha animent une école de danse à Soissons. Rencontre avec deux êtres qui veulent surprendre.
UN chat roux esquisse quelques pas gracieux sur le parquet de bois. A quelques mètres de l'animal, Patrick Dupond a le regard profond de ceux qui sont brûlés par la passion. Il choisit ses phrases avec soin en les accompagnant de mouvements de bras et de la main. Jamais brusques. On pense justement à un félin maigre qui pourrait doucement parler, ne tombe jamais.
« La danse pour tous, c'est le créneau de l'école, sans discrimination », dit-il. Une profession de foi marquée par la volonté d'accueillir des handicapés, certains en fauteuil roulant, le troisième âge, et les jeunes enfants. Une énergie qui s'est déjà exprimée à Saint-Quentin et attire deux cents danseurs à Soissons. Les inscriptions sont prises tout au long de l'année, loin de tout esprit de compétition « Nous sommes juste des enseignants. Ce sont les élèves qui donnent le rythme », observe Leïla, l'autre professeur. Elle s'occupe de la danse contemporaine et orientale. Lui, guide les membres en classique, contemporain, comédie musicale et jazz. Le hip-hop va aussi être enseigné par un proche de Kamel Ouali, le metteur en scène de « Dracula, l'amour plus fort que la mort ».

Deux voix, un même regard

Patrick vante ainsi la danse « cela apporte du bien-être ». Leïla Da Rocha complète : « C'est du temps pour soi, pour son corps qui nous porte tous les jours. »
Tout au long de l'entretien, ils semblent se répondre, toujours dans une direction commune. « Du jour où on s'est rencontré, on a décidé que l'on ne se quitterait plus. C'est elle qui compte le plus pour moi sur le plan professionnel et personnel », explique Patrick. Leur proximité impressionne. Ils s'effleurent du regard et de la main, réussissent à s'émerveiller encore. « A deux, nous sommes complets. Un binôme indissociable. Notre relation n'a pas de mot », glisse Leïla. « Ni l'un, ni l'autre ne rentront dans un moule », estime-t-il.
Une phrase que personne ne songe à démentir.

Ecole de danse, 50, avenue de Reims, Soissons. Tél. 06.84.78.41.91.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/patrick-dupond-et-son-double hebergeur image

lundi 17 septembre 2012

Le jardin d'horticulture ...trop beau !!!

Le jardin d'horticulture au niveau de la place dela République....à visiter .... superbe !!!
Une fête de l'horticulture tous les ans au mois de Mai. hebergeur image hebergeur image

Nouveau concept Cora Soissons


Découvrez le futur Complexe Aquatique

Lieu de pratique de la natation mais aussi espace ludique et de détente-bien être, la future piscine du Soissonnais sera résolument moderne.

Implantée dans un cadre naturel en bordure de Soissons, elle va se développer sur 6000 m2
Le projet du futur complexe aquatique porté par la Communauté d'Agglomération est rendu public.
Courant juin le jury a fait son choix entre 4 équipes d'architectes et a retenu le projet de l'agence BVL Architecture.
C'est à la fois un projet simple et fonctionnel, qui s'intégre bien dans le paysage et qui s'est avéré être le projet le moins coûteux, 15 millions d'euros.
Pour le bonheur de tous :
Les sportifs disposeront de 10 lignes d'eau dans un bassin carré de 25 m, unique en Picardie. On trouvera aussi un bassin d'apprentissage/détente de 450 m2. Une pataugeoire de 40 m2, un pentagliss, des plages avec baies ouvrantes.
L'espace bien-être, attendu par beaucoup, sera composé d'un bassin balnéo, de 2 saunas, de 2 hammam, d'un jacuzzi, et d'un espace détente et tisanerie.
Un espace forme verra aussi le jour avec une salle de fitness et de musculation.
Un coin snack/restauration est également prévu.
Cet équipement de 6100 m2 occupera deux niveaux et sera implanté au bord des étangs de Mercin, en limite de Soissons.
Les architectes ont d'ailleurs joué avec cette proximité de l'eau dans leur projet qui vient se fondre dans l'étang.
On prévoit une ouverture d'ici 4 ans.

http://tk3.sbn27.com/sy/ev?3&16445-1&0&bBMJq4%2BoEMSHY3TtZGlPQg

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Ballades à Soissons


dimanche 16 septembre 2012

Le marché...le plus beau de la région !!!

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A SOISSONS EN DIRECTION DU VASE


750 Grammes, c'est à Soissons

750 Grammes c'est à Soissons
Découvrez les recettes du Chef Damien sur Youtube
750 Grammes et le chef Damien sont au Parc Gouraud
Cliquez sur ce lien pour faire connaissance.... http://www.750g.com/


Grand frais Soissons


MARGIVAL (02) Ces bunkers d’Hitler oubliés

Au « Ravin du Loup » dans l’Aisne, une immense zone forte devait servir de QG au Führer en prévision du débarquement. S’il n’y vint que 12 heures, le lieu respire encore l’Histoire.

L’Histoire l’a oublié. Injustement. Car c’est au quartier général « Wolfsschucht II » à Margival dans l’Aisne, que le sort de Paris s’est joué.

L’ordre d’Adolph Hitler, transmis le 26 août 1944 à ce centre de télécommunication de l’armée allemande, se voulait pourtant clair : « Toutes les rampes d’armes "V" du Pas-de-Calais, du Nord et de Belgique doivent déverser sur Paris un déluge de feu. » La capitale, tout juste libérée, échappa à la dévastation. De peu. Ce jour-là, c’est le général Speidel qui réceptionna le message. Par amour pour Paris, l’officier détruisit la missive.

Au « Ravin du Loup », l’autre nom donné à ce QG réputé comme l’un des plus verrouillés de l’Europe nazie, ce genre d’anecdote sur la Seconde Guerre mondiale suinte à travers le béton outragé par le temps et la végétation envahissante. Sitôt passée sa grille d’entrée, cette zone militarisée fantomatique agit sur le visiteur, invité la découvrir ce week-end, comme une machine à remonter le temps.

600 lignes de téléphone

Immense, ce camp est composé de 860 bunkers et autres bâtis disséminés sur un rayon de 6 km. L’un d’eux, long de 108 mètres, abritait le plus grand centre de transmission allemand. Ses 600 lignes téléphoniques pouvaient joindre tous les fronts, de Rome à Stalingrad.
Le Führer disposait aussi d’un appartement bunkerisé, ravagé en 2007 par un incendie. Plus haut sur le coteau, une piscine encore visible, voisine un autre bunker dont le casernement d’époque a été reconstitué jusque dans l’ambiance sonore des alarmes et bruits de mitrailleuse.


« Le "W2 "a été construit en 18 mois, entre 1942 et 1944, par 22 000 ouvriers, principalement du STO (N.D.L.R. : Service du travail obligatoire). Il a nécessité 250 000 m3 de béton », détaille Didier Ledé, de l’association ASW2 qui, avec une poignée de passionnés d’Histoire et peu de moyens, tente d’entretenir le site jadis livré à l’abandon et aux pillages.

Construit à la demande du Führer pour y piloter les opérations en prévision d’un débarquement à l’Ouest, le lieu n’a pas été choisi au hasard. Doté d’un tunnel ferroviaire (toujours utilisé par la SNCF) susceptible de cacher le train blindé du Führer, le camp se trouvait surtout dans une vallée encaissée et en zone interdite.

Hitler ne s’y rendra (en avion…) qu’une seule fois, le 17 juin 1944, pendant 12 heures, afin de sermonner ses maréchaux qui n’ont pas réussi à convaincre leur chef suprême de changer de stratégie. « En une seule journée, il ruina toutes les chances que la Wermacht avait encore de repousser les Alliés à la mer », raconte Didier Ledé. Tendue, la rencontre se déroula en partie dans un abri antiaérien, accessible à la visite. Ce fut le troisième et dernier passage du dictateur en France. Avec là encore, un épisode incroyable.

Hitler était venu aussi à Margival pour exposer ses plans d’attaques sur Londres à l’aide des fusées V1. Or, l’une d’elle partie le matin même de Vignacourt (près d’Amiens) s’écrasa par erreur à 2 km du camp, qui plus est près du village… d’Allemand !

Le camp investi par l’OTAN

Le 1er septembre 1944, les Alliés finirent par investir les lieux abandonnés à la hâte. À leur arrivée, « les centrales électriques y fonctionnaient encore », raconte Éric Trinon, le secrétaire de l’association. Par la suite, « l’OTAN y a installé entre 1952 et 1966 son centre de commandement en Europe, avec 1 500 militaires sur place. »

Ensuite récupéré par l’armée française (jusqu’à sa vente en 2000 aux communes alentour), le « W2 » a servi de centre de formation pour commandos, lesquels pouvaient s’entraîner dans un village factice aujourd’hui avalé par les branchages. Au regard de toutes ses vies successives, « le site est longtemps resté classé top secret », ajoute Éric Trinon, aujourd’hui bien décidé à ce que le « Ravin du Loup » sorte, enfin, de l’ombre.
La Wolfsschucht II est situé à Laffaux-Margival, entre Soissons, Laon et Coucy-le-Château. Visites gratuites samedi et dimanche, de 10 à 18 heures ; également le dernier dimanche de chaque mois (mars à septembre). Durée de la visite : 1 h 30 pour une boucle de 1,5 km, prévoir des chaussures de marche. Contact au 06 03 71 22 30. Plus d'information sur Internet.
 

samedi 15 septembre 2012

LE VASE COMMUNIcANT

A lire
Le Vase Communicant tous les 15 jours
Tout se qu'il se passe à Soissons est ici sur le vase communicant
Belle réalisation de Monsieur Michel Bultot
Cliquez sur ce lien.....
http://www.technimages.com/mlm/lm/lm.php?tk=CQkJZnJhbmNpc3ByYWlyYUB3YW5hZG9vLmZyCVtMRSBWQVNFIENPTU1VTklDQU5UXSBMZSBWYXNlIENvbW11bmljYW50IMOgIMOpdMOpIG1pcyBhIGpvdXIgIQk3NgkJMTA1OQljbGljawl5ZXMJbm8=&url=http%3A%2F%2Fwww.levase.fr%2Finfo.php

Journées du Patrimoine / Des trésors (enfin) dévoilés

Voici les cinq lieux qui seront à découvrir pour la première fois à Soissons. Quelques secrets bien gardés seront dévoilés.
1- La grande sacristie de la cathédrale. Aucun visiteur n'est d'ordinaire autorisé à pénétrer dans cet espace exclusivement réservé au clergé, sauf ce week-end. A l'intérieur, un espace aménagé au XVIIIe siècle, avec du mobilier d'époque, notamment ce « chapier », meuble rarissime en chêne et ses ornements liturgiques. Cette pièce contient bien d'autres objets précieux.
Visites à heures fixes, samedi et dimanche après-midi, sur réservation uniquement (places limitées) au Ciap, à l'abbaye Saint-Jean-des-Vignes.
2- Le collège Saint-Just, autrefois baptisé Saint-Nicolas, est le plus vieux collège de Soissons, construit au XIIIe siècle. Les visiteurs fouleront une vieille cour, ainsi que l'ancienne bibliothèque, aujourd'hui inutilisée. Le guide évoquera aussi cette très belle porte d'entrée, datant du XVIIIe, et aujourd'hui très abîmée, que le conseil général s'apprêterait à réhabiliter. L'occasion de revenir sur l'histoire de ce lieu depuis le Moyen-Âge. Rendez-vous passage R.-Biard, devant la porte (accès rue du Collège); visites samedi à 15, 16 et 17 heures.
3- L'ancienne maison Deviolaine. Cette maison bourgeoise a servi de salle d'interrogatoire à la gestapo de 1940 à 1944. Patrice Dehollain, ancien résistant, un des derniers témoins de cette époque si trouble, racontera ce qui s'y est exactement passé. Rendez-vous au 9, place Mantoue ; samedi et dimanche de 15 à 18 heures. Suivi à 19 heures de la projection, au Mail, du film L'Armée des Ombres, de Jean-Pierre Melville.
4- Les manuscrits et incunables de la bibliothèque seront exceptionnellement montrés au public. Samedi à 14 heures ; places limitées; réservation obligatoire au 03.23.74.33.10.
5- Les sous-sols de l'hôtel de ville, au travers d'une exposition « La mémoire du passé», qui rassemble dans les anciennes cuisines de l'édifice, des documents pour partir à la découverte de ses fonds cachés. Dimanche de 10 à 12 heures et de 14 h 30 à 17 h 30 (accès par les jardins).

RETROUVEZ CET ARTICLE SUR L'Union.................http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/journees-du-patrimoine-des-tresors-enfin-devoiles

En visite à Soissons !


vendredi 14 septembre 2012

BONJOUR

Bonjour,
on va bientôt se voir plus souvent !
Je crée ce blog car j'aime cette ville...je n'y suis pas né mais dès mon arrivée en 1972
j'ai aimé cette ville...J'y suis toujours revenu....
A bientôt
On va en voir des choses sur Soissons ici !!!