mercredi 31 décembre 2014

Soissons (02). Le patron des gendarmes français en visite sur un contrôle

Ce 31 décembre, le général d’armée Denis Favier, directeur général de la gendarmerie, est venu sur un des points de contrôle des forces de gendarmerie axonaise, point d’intervention installé à Bucy-le-Long, en périphérie de Soissons. Le patron des gendarmes français a assisté à ce gros contrôle d’alcoolémie, stupéfiant et autres, avant de rencontrer plusieurs militaires lors d’une table ronde organisée à la compagnie de Soissons
http://www.lunion.com/region/soissons-02-le-patron-des-gendarmes-francais-en-visite-ia231b0n464724

Soissons


mercredi 24 décembre 2014

SOISSONS (02). Les urgences prêtes pour les réveillons

Medecins, aide-soignants, infirmiers et brancardiers seront ce soir prêts à soigner tous les malades, notamment ceux qui souffrent d’un problème de santé lié au réveillon. Ils prodiguent d’ores et déjà quelques conseils utiles.
Pour éviter d’avoir à les consulter, les personnes se sachant allergiques aux fruits de mer ne doivent pas en consommer. De manière générale, il ne faut pas oublier les « mesures hyginéo-diététiques » conseille le docteur Armand Nghemkap, praticien dans le service soissonnais. Il insiste aussi sur le fait qu’en cas de plaie, il ne faut pas tarder à consulter les urgences, muni de son carnet de vaccination.
http://www.lunion.com/region/soissons-02-les-urgences-pretes-pour-les-reveillons-ia231b0n462038

Spectacle fin d'année amicale du personnel de la mairie

samedi 20 décembre 2014

Dernier jour chez Baxi

C’est un crève-cœur pour la trentaine de salariés qui travaillent encore à l’usine de montage de chaudières de Villeneuve-Saint-Germain. Ces derniers rescapés des plans sociaux vivront aujourd’hui le dernier jour de ce qui a été l’un des fleurons de l’industrie soissonnaise. Baxi ferme ce vendredi avant les vacances de Noël et ne rouvrira pas en 2015. C’était l’objectif fixé et tenu par le groupe BDR Therméa il y a un peu plus de deux ans. « On a le cœur lourd », confie Thierry Depret, le secrétaire du CE et porte-parole de l’intersyndicale, « c’est comme un coup de poignard. Il y a des milliers de gens qui ont travaillé ici ». Depuis quelques jours, l’intersyndicale prépare un dernier grand bûcher sur le site de la Magdeleine. Le symbole de ces dernières années de lutte sociale et principalement des deux dernières années, depuis que le groupe néerlandais a annoncé sa décision de fermer le site du Soissonnais qu’elle considérait comme un doublon avec l’usine De Dietrich en Alsace. Au fil des mois, l’entreprise s’est vidée de son contenu de production au profit de l’usine alsacienne et les vagues de départs ont porté l’effectif à ces trente derniers rescapés. « On regrette vraiment qu’il n’y ait pas eu de reprise d’activité avec un repreneur. C’est un drôle de sentiment de voir une usine emblématique, un pan de l’industrie locale disparaître », poursuit-il, invitant les anciens à venir les rejoindre ce vendredi matin pour tourner cette page douloureuse mais aussi pour discuter et se souvenir. Un gardien sera présent sur le site de la Magdeleine jusqu’en mars. Dans deux semaines, après le passage à l’année 2015, « il ne restera plus que Christophe Rousselle, Pierre Chaumont et moi », précise encore Thierry Depret. Leur statut de salariés protégés induit une procédure de licenciement plus longue. « On sera dans une usine fantôme. À chaque fois qu’on va monter les marches, on pensera à nos collègues, à nos amis et à ces familles qui ont travaillé ici. On va broyer du noir. »
Nous avons suivi la lutte des salariés de Baxi
Les Baxi manifestent à Soissons par UnionArdennais

http://www.lunion.com/region/photos-videos-dernier-jour-chez-baxi-ia3b26n459187

jeudi 18 décembre 2014

L’aluminium soissonnais se porte bien!

Si une des tendances actuelles de management dans le monde de l’entreprise est axée sur la productivité, celle de l’entreprise Wicona place l’humain au centre de la vie du site de Courmelles. Est cela qui a permis à cette unité du groupe Sapa, de devenir un des fleurons de la marque, il y a un pas que franchit sans problème Sylvain Sing, le responsable du site.
«  En l’espace de quelques mois, nous avons gagné des parts de marché d’environ 30 %. Des nouveaux clients qui nous obligent à anticiper et donc à nous autoriser à construire cette extension. Nous sommes dans un groupe qui se situe dans un monde concurrentiel, mais nous avons réussi à obtenir ce budget de 2,5 millions d’euros pour construire cette extension de 1 200 m2. Dès la fin de la semaine, pour les vacances de Noël où nous fermons, nous allons en profiter pour commencer le réaméngement du site.  »

La recherche du coup d’avance

S’il y a des entreprises qui battent de l’aile dans le Soissonnais, ce n’est pas le cas de Wicona à Courmelles. Ce site, spécialisé en structure d’aluminium, a bâti un modèle de fonctionnement qui lui permet d’être le site le plus compétitif en France. Ici, pas de décision imposée mais une participation de tous pour que la solution ou l’atelier mis en œuvre provoque zéro gène ou bien sûr blessure. «  Notre philosophie est que nos salariés lorsqu’ils rentrent chez eux, ne pensent qu’à leur vie privée. Qu’ils n’aient aucun tracas causé par le lieu où ils viennent pour gagner leur vie. Et en plus, qu’ils soient fiers de bosser ici. Nous recherchons toujours à avoir 3 coups d’avance sur nos concurrents.  »
Une personne qui entre dans le concept Wicona, souvent dans le cadre d’un premier contrat d’intérim a de bonne chance de passer ensuite en CDD, puis si l’opportunité est là, en CDI. C’est le cas d’une dizaine de salariés qui vont voir la nature de leur contrat changer en 2015. «  Mais nous avons aussi des difficultés à recruter des postes de haute qualification.  » Avis aux recruteurs.
http://www.lunion.com/region/l-aluminium-soissonnais-se-porte-bien-ia3b26n458215

lundi 15 décembre 2014

Joffre, Foch et Nivelle à la barre d’un tribunal de libres penseurs

La scène est plutôt originale : depuis samedi, une salle du Mail est transformée en tribunal pour des faits commis il y a un siècle. La Libre pensée tient son colloque national pour juger trois généraux de la Grande Guerre, Joffre, Foch et Nivelle. Aucun des participants ne s’est costumé en magistrat. Mais des sentences sont prononcées. Nicole Aurigny, présidente de la fédération de l’Aisne, revendique la démarche : «  Oui, nous faisons le procès des généraux fusilleurs. Chacun des intervenants apporte sa contribution. » Deux possibilités existent, coupable ou non coupable. La responsable départementale évoque de possibles condamnations à l’indignité et au déshonneur. Si les familles des généraux condamnés se manifestent dans de vrais tribunaux pour l’offense causée, elle affiche une solide sérénité : «  Nous ne craignons pas le procès de descendants. Cela me paraît hors de propos. Nous faisons de l’histoire. »
La centaine de personnes venues de toute la France à Soissons a le sentiment de mener une croisade juste dans un terroir concerné par le cas des fusillés pour l’exemple.

«  Nous nous battons pour leur réhabilitation. Nous voulons déterminer les responsabilités militaires et politiques », assène Mme Aurigny. Selon elle, le drame de ces soldats sacrifiés pour des prétextes, avoir reculé devant l’ennemi, par exemple, hante encore bien des familles. «  Cela pèse sur elles avec beaucoup d’indignation et de colère. »
Mme Aurigny souligne que des femmes se sont retrouvées sans pension et «  sous le poids de la honte avec l’obligation de déménager sous les pierres lancées par des habitants. »

Comme un sparadrap

Selon les estimations de la Libre pensée, il y a eu 6 000 soldats jugés en conseils de guerre, 2 500 condamnés à mort et 650 fusillés pour l’exemple. La cause représente encore beaucoup de familles. Absent hier, le général André Bach, un spécialiste reconnu, a donné à lire sa contribution. Elle exprime du mécontentement lié à la difficulté du gouvernement à adopter une attitude claire : «  J’ai un sentiment d’agacement devant la façon dont nos gouvernants gèrent ce dossier. Le pouvoir comprend bien que cette question des fusillés reste un sparadrap qui lui colle au doigt face aux demandes diverses. Qu’a fait l’Etat sur ce sujet depuis un an ? Il a fait le gros dos. »

http://www.lunion.com/region/joffre-foch-et-nivelle-a-la-barre-d-un-tribunal-de-ia3b26n456420

dimanche 14 décembre 2014

Les camions du braquage d’Orly retrouvés en feu dans le sud de l'Aisne

C’est dans un petit chemin entre Ambrief et Rozières-sur-Crise, deux villages à proximité de Soissons, dans l’Aisne, que l’enquête sur le braquage survenu en fin de journée, jeudi, dans un entrepôt d’Orly, a trouvé une suite vendredi après-midi. Deux camions ont été retrouvés en feu, à l’abri des regards, par des habitants du secteur qui ont prévenu les forces de l’ordre et les pompiers.
Un braquage très bien préparé
Selon les premières informations parvenues à la compagnie de gendarmerie de Château-Thierry, les deux camions seraient celles utilisées par un groupe de huit braqueurs dans un vol estimé à plus d’un million d’euros, commis jeudi soir. «Il y a une très forte probabilité», estimait un des responsables des investigations axonaises. Hier en fin de journée, les enquêteurs locaux, en coordination avec leurs collègues parisiens, tentaient de retrouver la trace les propriétaires des camions qui ont été totalement détruits dans l’incendie, malgré l’intervention des pompiers soissonnais.
Le braquage, très bien préparé à la vue des premiers témoignages, a été perpétré par un commando dont les membres étaient encagoulés et gantés. Armés de tournevis, marteaux et gazeuses, ils avaient neutralisé les employés d’une entreprise de stockage dans une zone industrielle d’Orly en les enfermant dans une pièce pendant 45minutes, jeudi soir à partir de 18heures. Ils ont ensuite chargé 24palettes contenant du matériel informatique, principalement des ordinateurs portables et tablettes dans deux camions. Puis ils ont quitté les lieux sans être inquiétés, ni aperçus par les salariés des entreprises voisines. C’est un employé en s’échappant par le faux plafond qui a pu donner l’alerte.
L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Cergy-Pontoise.
http://www.lunion.com/region/les-camions-du-braquage-d-orly-retrouves-en-feu-dans-le-ia18b0n455674

vendredi 12 décembre 2014

SOISSONS (02). Une nocturne chez les commerçants ce soir

Ce soir, une cinquantaine de commerçants de Soissons ouvriront jusqu'à 20h30 pour permettre à chacun de faire ses achats de Noël à un autre moment que le week-end. Quelques commerçants proposeront même des offres spéciales pour l’occasion. Le Commerce Club de Soissons a aussi mis en place un petit jeu avec vingt lots à la clef. Parmi les lots, une tablette, des soins ou encore votre poids en raviolis.
http://www.lunion.com/region/soissons-02-une-nocturne-chez-les-commercants-ce-soir-ia231b0n455512

Elle prend le Mail dans son filet

                    Sabrina, dans cinq ans tu seras à la direction d’un théâtre.  » Bon, l’auteur de cette prophétie s’est trompé d’un an. Mais personne ne retirera à Jacques Weber, l’acteur réalisateur et auteur de renom, d’avoir su prédire avec autant de précision en 2010, l’avenir de Sabrina Guédon, la nouvelle directrice du Mail. Cette jeune trentenaire, originaire de la Nièvre, s’installe dans un poste qui ne lui est pas totalement inconnu. Pour la simple raison qu’elle avait été recrutée en urgence comme consultante pour préparer l’actuelle saison du Mail. Après la fin de l’épisode Jean-Marie Chevalier. Une jeune femme bercée dans le monde de la culture après avoir été façonnée à tous les métiers d’une salle de spectacle, d’un théâtre, par Olivier Peyronnaud, le patron de la maison de la culture de Nevers et de la Nièvre.
«  J’ai demandé à effectuer un stage là-bas, je n’en suis pas sortie avant huit années, se rappelle cette musicienne de formation (percussionniste), jusqu’au jour où j’ai eu plusieurs artistes qui m’ont sollicitée pour travailler avec eux. J’avais toujours dit « non » puis une fois, je suis allée voir mon directeur, Olivier Peyronnaud. Il m’a presque rouspété d’avoir refusé jusqu’à présent. Du coup, je suis devenue administratrice de tournée.  »

La salle aux sièges bleus

D’artistes et de compagnies diverses mais qu’elle n’avait jamais encore fait passer par Soissons. «  Pour moi, c’était la salle aux sièges bleus ! C’est de cette façon qu’elle est connue dans le monde du spectacle.  »
Salle inconnue jusqu’à cette mission de fin de l’été dans la cité du Vase. Puis l’appel d’offres pour le poste. «  Je savais où j’allais. J’avais fait connaissance de l’équipe en place, et nous nous sommes entendus. J’en avais envie. Là, je suis déjà en préparation de la saison prochaine.  » De quoi sera-t-elle faite ? «  De tout, notamment des collaborations avec les troupes et compagnies locales. Nous devons faire revenir les Soissonnais au Mail. Et utiliser au mieux l’ensemble des salles de ce théâtre.  »
Sa première décision aura été de quitter l’ancien bureau de direction pour rassembler les différentes équipes de cet outil culturel. «  J’ai été formée au travail en équipe à Nevers. Je vais continuer.  » Soit, découvrir en commun, les futurs spectacles du Mail

http://www.lunion.com/region/elle-prend-le-mail-dans-son-filet-ia3b26n454018

mardi 9 décembre 2014

Remise en liberté de l'anesthésiste belge de la maternité d'Orthez : décision jeudi matin

Un juge avait ordonné mercredi la remise en liberté d'Helga Wauters, l'anesthésiste belge mise en examen après le décès d'une patiente à la maternité d'Orthez. Mais celle-ci n'est pas sortie de prison, le Parquet de Pau ayant fait appel. La décision est attendue jeudi 11 décembre à 9h
L'anesthésiste de 45 ans, incarcérée depuis le 2 octobre à la maison d'arrêt de Pau, est pour l'heure en détention provisoire jusqu'à ce que la Cour d'appel se prononce sur la question. La justice avait rejeté le 16 octobre une première demande de remise en liberté d'Helga Wauters, mise en examen pour "homicide involontaire aggravé".

L'anesthésiste a reconnu devant les enquêteurs "avoir bu" le 26 septembre, soir où elle avait la charge d'une parturiente de 28 ans souhaitant accoucher à Orthez, où elle venait d'être recrutée.

Mais l'accouchement se passe mal et une césarienne devient nécessaire. Rappelée, l'anesthésiste est visiblement sous l'emprise de l'alcool. La situation tourne au drame : en arrêt cardiaque, la jeune femme sera transférée à l'hôpital de Pau où elle décédera le 30 septembre. Son bébé, lui, est sain et sauf 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/12/09/remise-en-liberte-de-l-anesthesiste-belge-de-la-maternite-d-orthez-decision-cette-apres-midi-609348.html

Spectacle pour le lancement des festivités 2014


lundi 8 décembre 2014

VIDEO. A la mémoire de ces soldats fusillés pour l’exemple

VINGRE (02). Six soldats ont été fusillés pour l’exemple à Nouvron-Vingré en 1914. Le centenaire de l’événement a été commémoré ce samedi lors d’une cérémonie en présence des familles.

jeudi 4 décembre 2014

Soissons: Zidane récompense le club de l'Internationale Soissonnaise2


Trophées du Sport responsable : l... par UnionArdennais

La promesse d’Annie Grandjean au Téléthon

Annie Grandjean, vous êtes intimement liée au Téléthon par votre histoire familiale. Pour quelles raisons ?

Le premier Téléthon est parti de Soissons et Vic-sur-Aisne en 1987. Cette initiative est née grâce à deux pompiers : Patrick Chauderlot et mon père, Gilbert Grandjean. Ils avaient eu l’idée de faire le tour de France à pied pour parler de l’Association française de lutte contre les myopathies (AFM) dans toutes les villes où ils s’arrêteraient. Ils ont remis ça en 1989 et mon frère a couru les deux fois. Lorsqu’il était sur son lit de mort, j’ai promis à mon père que je ferais tout mon possible pour que le Téléthon se poursuive. Je suis ravie de voir que l’Association française contre les myopathies (AFM) réunit autant d’argent et contribue à la recherche dans d’autres domaines que les myopathies. Pour moi, le Téléthon doit être l’occasion de faire la fête et non de pleurer sur le sort des malades.
Vous ne pourrez pas bénéficier de la salle des fêtes de Vic-sur-Aisne car une exposition sur les poilus y est présentée. C’est un couac ?

Non, cette exposition est magnifique et je souhaite qu’elle ait du succès jusqu’au 7 décembre comme prévu. Je ne veux pas que notre cause soit entachée par des polémiques. Je n’ai aucun problème sur le fait que cette salle soit déjà réservée, même si on y avait nos habitudes. Ce qui est bien c’est que l’on va délocaliser notre action dans la salle des fêtes de Montigny-Lengrain où il ne se passait plus rien depuis deux ans. À l’avenir, on pourrait imaginer qu’une année sur deux la manifestation vicoise se déplace dans les villages alentours.
Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez ?
Beaucoup de mairies ne prennent pas la peine de nous répondre lorsqu’on leur demande si elles peuvent réunir les associations locales pour élaborer un programme. Il y a aussi ceux qui prétendent agir au nom du Téléthon sans nous avertir et nous reverser d’argent. On a fréquemment le cas à Braine avec un club de buggys. Ils ne sont pas du tout associés au Téléthon, mais ils se placent systématiquement à côté de nos stands. Il y a aussi les personnes qui organisent des quêtes sauvages dans la rue ou du porte-à-porte. Notre charte l’interdit, mais c’est récurrent.
Vous avez pris les rênes de l’organisation dans le sud du département il y a quatre ans, à un moment ou le rendez-vous s’essoufflait dans le Soissonnais. Comment a évolué la situation ?

Globalement ça va mieux. En 2010, il n’y avait que 17 contrats signés. Actuellement on en est à 65. L’édition 2013 a rapporté 73 000 euros dans le sud de l’Aisne, dont 12 000 euros à Soissons et près de 10 000 euros à travers le canton d’Oulchy-le-Château.
À titre de comparaison en 2010, la ville de Soissons n’avait rapporté que 2 000 euros. Ce succès n’est pas le fait d’Annie Grandjean, mais plutôt celui de tous les bénévoles qui agissent sur le terrain dans le plus parfait anonymat au fil des ans.
Il faut leur rendre hommage.

http://www.lunion.com/region/la-promesse-d-annie-grandjean-au-telethon-ia3b26n448636

mardi 2 décembre 2014

SOISSONS (02). On se mobilise pour le chantier de la RN2

Des chantiers de mise à 2 x 2 voies de la RN2 entre Soissons et l’Oise sont à l’arrêt. Les élus de l’Aisne et de l’Oise, ceux de l’arrondissement de Soissons en tête, vont manifester samedi matin à Coyolles, près du pont de Gondreville, afin de faire pression sur l’État pour les travaux se poursuivent. C’est la suppression de l’écotaxe dernièrement qui est à l’origine de leurs inquiétudes. En effet, les fonds collectés devaient entre autres servir au doublement de la RN2. Les principaux chantiers en cours sur la nationale reliant Paris à Bruxelles sont  les déviations de Gondreville, Vaumoise et la mise en 2 x 2 voies de celle de Villers-Cotterêts.
La manifestation se déroule samedi à 10 h 30, route des 14 frères à Coyolles. Départ en car (gratuit) de Cuffies aux Terrasses du Mail à 9 h 30 et du parc Gouraud à Soissons à 9 h 45. Réservations au 03 23 53 88 40.
Renseignements  : http://www.agglo-soissonnais.com/demo/blog/

http://www.lunion.com/region/soissons-02-on-se-mobilise-pour-le-chantier-de-la-rn2-ia231b0n449557

Le dimanche, c’est déjà Noël dans les commerces de Soissons

N ous avons droit à quatre dimanches d’ouverture, on les utilise.» Le responsable du magasin JouéClub, Patrick Doudoux, a commencé à ouvrir non-stop depuis hier. « Ça arrange beaucoup la clientèle qui travaille jusqu’au samedi », poursuit-il. À partir du week-end prochain, le 7 décembre, de nombreux commerçants vont faire de même, dans de nombreux secteurs du commerce.
« Les consommateurs attendent ça », constate Cyril Dussailly, directeur du magasin But, installé dans la nouvelle zone commerciale de Vauxbuin. Durant les trois dimanches avant Noël, l’enseigne sera ouverte l’après-midi. « Des animations spécifiques auront lieu ces jours-là, comme des dégustations de café, des démonstrations de l’autocuiseur dernier cri ou encore d’aspirateur.»

Une montée en puissance
en décembre

Du côté d’autres grandes enseignes, comme Décathlon ou Célio dans la zone des Moulins, les clients seront accueillis le jour du Seigneur dès ce week-end également. « Nous avons une bonne fréquentation durant cette période. Ce sont plutôt des familles », remarque le directeur de Décathlon, Tony Poulle.
Dans le centre-ville, les associations de commerçants, les Vitrines du Soissonnais et le Commerce club, incitent vivement leurs adhérents à ouvrir dès le 7 décembre. L’occasion de profiter du flux créé par les animations de la Ville, la patinoire en tête (lire par ailleurs). La boutique de jouets Passé-Composé jouera ainsi le jeu en débutant son ouverture dominicale dès le week-end prochain.
Dans la grande distribution, c’est également le branle-bas de combat. « Nous ouvrons les dimanches 7, 14, 21 et 28 décembre de 9 heures à 19 heures », détaille le directeur de l’hypermarché Cora, Stéphane Lintzentritt. « Ces ouvertures exceptionnelles seront ponctuées de nombreuses offres promotionnelles. »
Plus Noël va s’approcher, plus les commerces seront ouverts sept jours sur sept. Les 14 et 21 décembre seront les jours où le plus grand nombre de boutiques accueilleront les consommateurs, que ce soit dans le centre-ville ou dans les zones commerciales. Toutefois, il faut mentionner ceux qui n’ouvriront pas les dimanches de décembre, comme les magasins locaux des enseignes Bricorama et Monsieur Bricolage.
http://www.lunion.com/region/le-dimanche-c-est-deja-noel-dans-les-commerces-de-soissons-ia3b26n448645

lundi 1 décembre 2014

La ville de Soissons condamnée au tribunal administratif pour un nid de poule

La commune de Soissons a été condamnée par le tribunal administratif d’Amiens à verser la somme de 7 200 euros en réparations de ces préjudices subis à Dominique Guillemot, qui demeure à Soissons, et à verser la somme de 7 021 euros 40 à la mutualité sociale agricole. L’organisme qui avait pris en charge, les sommes déboursées pour soigner le plaignant.
Le 21 octobre 2010, Dominique Guillemot, alors âgé de 76 ans, était tombé sur la chaussée de la Grand-rue à Soissons alors qu’il descendait du trottoir entre deux véhicules stationnés pour s’apprêter à rejoindre son véhicule garé.
Il avait soutenu que sa chute était due à la présence dans la chaussée d’une excavation de 15 à 20 cm de profondeur qui n’était pas signalée et encore moins réparée alors que la commune en avait été informée par des riverains depuis plusieurs mois.
Selon des témoins, il aurait été déséquilibré par la présence de ce nid-de-poule. Sa chute s’était soldée par une double fracture de la jambe gauche et une fracture de la jambe droite. Les services municipaux étaient intervenus immédiatement après son accident. Preuve, selon la victime, que la commune se sentait en faute.

Le tribunal reconnaît qu’il y a eu négligence

La commune de son côté s’est défendue en affirmant notamment qu’elle «  n’était pas au courant de cette défectuosité  » et que Dominique Guillemot aurait «  dû être vigilant  ». Elle a estimé que les sommes réclamées – 19 778, 81 euros – étaient excessives car il ne démontrait pas que les séquelles de l’accident l’empêcheraient de s’adonner aux activités qu’il pratiquait régulièrement auparavant : golf, jardinage, chasse…
Si le tribunal a diminué la somme demandée, il a par contre bien reconnu la négligence de la ville, pour cet épisode qui s’est déroulé il y a maintenant quatre années.

http://www.lunion.com/region/la-ville-de-soissons-condamnee-au-tribunal-administratif-ia18b0n446673