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jeudi 30 avril 2015
mercredi 29 avril 2015
mardi 28 avril 2015
lundi 27 avril 2015
Une joggeuse agressée dans le parc Saint-Crépin à Soissons
L’agression s’est produite dimanche après-midi dans le parc Saint-Crépin
Une femme qui faisait son jogging a été agressée par un individu. L’homme l’aurait jetée à terre et la victime serait parvenue à s’échapper.
Elle a donné l’alerte et porter plainte au commissariat de Soissons. Elle aurait donné un signalement assez précis de son agresseur.
http://www.lunion.com/451737/article/2015-04-27/une-joggeuse-agressee-dans-le-parc-saint-crepin-a-soissons
Une femme qui faisait son jogging a été agressée par un individu. L’homme l’aurait jetée à terre et la victime serait parvenue à s’échapper.
Elle a donné l’alerte et porter plainte au commissariat de Soissons. Elle aurait donné un signalement assez précis de son agresseur.
http://www.lunion.com/451737/article/2015-04-27/une-joggeuse-agressee-dans-le-parc-saint-crepin-a-soissons
dimanche 26 avril 2015
Les gendarmes constatent une multitude d'infractions routières ce week-end dans l'Aisne
L’opération de contrôles massifs qui a été menée ce week-end dans le département par la gendarmerie a débouché sur le relevé de nombreuses infractions. Si l’objectif principal était de lutter contre les conduites en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants, toutes les entorses au code de la route ont été repérées par les gendarmes.
« Pour seulement trois unités, on constate déjà 50 infractions », signale le commandant Delandhuy, qui dirige l’opération. Ce sont les alcoolémie qui restent majoritaires, avec 8 infractions signalées. « On compte aussi 3 conduites sous stupéfiants, 3 défauts de permis, 4 défauts d’assurance, 5 absences de ceinture de sécurité, 5 téléphones au volant et trois pneumatiques lisses. » À cette liste s’ajoute également 3 excès de vitesse et une confiscation de véhicule.
Toutes ses infractions ont été relevées par le peloton motorisé et des brigades, à Laon, Soissons et Saint-Quentin. Le bilan définitif prendra en compte les 120 points de contrôle, disséminés pendant les 72 heures, sur le réseau routier du département. Il sera communiqué ce lundi.
http://www.lunion.com/node/451245
« Pour seulement trois unités, on constate déjà 50 infractions », signale le commandant Delandhuy, qui dirige l’opération. Ce sont les alcoolémie qui restent majoritaires, avec 8 infractions signalées. « On compte aussi 3 conduites sous stupéfiants, 3 défauts de permis, 4 défauts d’assurance, 5 absences de ceinture de sécurité, 5 téléphones au volant et trois pneumatiques lisses. » À cette liste s’ajoute également 3 excès de vitesse et une confiscation de véhicule.
Toutes ses infractions ont été relevées par le peloton motorisé et des brigades, à Laon, Soissons et Saint-Quentin. Le bilan définitif prendra en compte les 120 points de contrôle, disséminés pendant les 72 heures, sur le réseau routier du département. Il sera communiqué ce lundi.
http://www.lunion.com/node/451245
Les commerçants entre peur et résignation après la fusillade près de Soissons
Une semaine après la tentative de cambriolage et les coups de feu des policiers devant une jardinerie, les commerçants de la zone de Vauxbuin ont des sentiments mitigés.
C e sont les risques du métier. Comparé à d’autres secteurs, nous sommes tout de même moins touchés ». Un commerçant situé à proximité de la jardinerie cambriolée la semaine dernière fait contre bon gré mal gré. Au sein de l’enseigne où se sont déroulés les faits, les salariés sont bien plus choqués. « Ça fait peur, surtout de se faire appeler le matin pour vous dire que vous avez été cambriolé. Et puis, il me semble qu’il n’y a pas de caméras dans cette partie de la zone », confie une employée, avant de nous renvoyer vers sa direction.
http://www.lunion.com/450617/article/2015-04-25/les-commercants-entre-peur-et-resignation-apres-la-fusillade-pres-de-soissons
C e sont les risques du métier. Comparé à d’autres secteurs, nous sommes tout de même moins touchés ». Un commerçant situé à proximité de la jardinerie cambriolée la semaine dernière fait contre bon gré mal gré. Au sein de l’enseigne où se sont déroulés les faits, les salariés sont bien plus choqués. « Ça fait peur, surtout de se faire appeler le matin pour vous dire que vous avez été cambriolé. Et puis, il me semble qu’il n’y a pas de caméras dans cette partie de la zone », confie une employée, avant de nous renvoyer vers sa direction.
http://www.lunion.com/450617/article/2015-04-25/les-commercants-entre-peur-et-resignation-apres-la-fusillade-pres-de-soissons
samedi 25 avril 2015
L'Oiseau de feu s'offre une version par Davy Brun au Mail à Soissons
Danseur et chorégraphe de talent, Davy Brun a revisité en danse contemporaine, le ballet russe l’Oiseau de feu. À voir ce samedi au Mail
La version d’origine a un peu plus d’un siècle. En 1910, l’oiseau de feu naissait sous les doigts d’Igor Stravinski. Au début des années 2010, Davy Brun créé la compagnie « Ando danse » et se lance dans le projet de revisiter ce ballet. Avec une idée directrice : respecter l’histoire d’origine et la partition musicale. Par contre, sa volonté est d’expurger tout folklore russe. D’où son explication : « Dans ma lecture, l’oiseau devient acteur. Symbole de liberté, il va, par sa présence, conduire un peuple embrigadé et soumis vers la lumière et l’aider à faire tomber la statue de l’oppresseur. Ma volonté a été de faire une pièce qui soit une ode à la tolérance, contre l’obscurantisme et pour la réalisation individuelle de chaque citoyen. Un sujet intemporel et d’actualité. »
Au départ, l’histoire est simple : l’oiseau de feu raconte la vie de trois princes qui sont en quête de cet oiseau. Une parabole puisque cette quête est une plongée à l’intérieur des trois princes, au plus profond d’eux-mêmes.
Bon, les spectateurs du Mail n’auront pas l’obligation de se soumettre à une quête identique. M ais juste découvrir cette adaptation contemporaine d’un classique.
http://www.lunion.com/node/449978
La version d’origine a un peu plus d’un siècle. En 1910, l’oiseau de feu naissait sous les doigts d’Igor Stravinski. Au début des années 2010, Davy Brun créé la compagnie « Ando danse » et se lance dans le projet de revisiter ce ballet. Avec une idée directrice : respecter l’histoire d’origine et la partition musicale. Par contre, sa volonté est d’expurger tout folklore russe. D’où son explication : « Dans ma lecture, l’oiseau devient acteur. Symbole de liberté, il va, par sa présence, conduire un peuple embrigadé et soumis vers la lumière et l’aider à faire tomber la statue de l’oppresseur. Ma volonté a été de faire une pièce qui soit une ode à la tolérance, contre l’obscurantisme et pour la réalisation individuelle de chaque citoyen. Un sujet intemporel et d’actualité. »
Au départ, l’histoire est simple : l’oiseau de feu raconte la vie de trois princes qui sont en quête de cet oiseau. Une parabole puisque cette quête est une plongée à l’intérieur des trois princes, au plus profond d’eux-mêmes.
Bon, les spectateurs du Mail n’auront pas l’obligation de se soumettre à une quête identique. M ais juste découvrir cette adaptation contemporaine d’un classique.
http://www.lunion.com/node/449978
vendredi 24 avril 2015
jeudi 23 avril 2015
Le feu de Cora Soissons reste au rouge
Drôle de surprise pour les automobilistes qui souhaitent sortir cet après-midi du parking de l’hypermarché Cora de Soissons. Depuis 14 heures environ, les deux feux situés à la sortie restent bloqués... au rouge. Tandis les autres feux tricolores restent au vert. Les autorités ont visiblement été alertées de la situation.
http://www.lunion.com/node/448957
http://www.lunion.com/node/448957
mercredi 22 avril 2015
Les gendarmes de l'Aisne lancent l'opération 72 heures contre les addictions ce vendredi
C’est une première dans l’Aisne. À l’approche des vacances de Pâques et des week-ends prolongés du mois de mai, le groupement de gendarmerie départementale de l’Aisne a prévu d’intensifier les contrôles pour rechercher les addictions au volant.
En effet, depuis le début de l’année 2015, la cause « alcool et/ou stupéfiants » est à l’origine de 29 % des accidents constatés dans le département où huit personnes ont perdu la vie.
À l’instar des récentes opérations menées dans le département « 24h00 contre la vitesse » et « 24h00 contre les smartphones », sous l’impulsion du colonel Mendes, commandant le groupement de gendarmerie départementale de l’Aisne, les compagnies et l’EDSR mettront en place des contrôles non-stop du vendredi 24 avril 2015, à compter de 06 heures du matin et jusqu’au lundi 27 avril 2015 à 06 heures.
Durant la totalité de ces soixante-douze heures et en permanence, il y aura au moins un contrôle visant les conduites addictives sur les routes du département et le plus souvent, il y en aura plusieurs.
L’objectif est aussi de faire baisser le nombre de tués sur les routes axonaises. En effet, depuis le 1er janvier 2015, « en zone gendarmerie Aisne (95 % du territoire du département), 08 personnes ont déjà perdu la vie.
115 services seront ainsi commandés sur le terrain et 330 personnels seront engagés au cours de cette opération.
http://www.lunion.com/node/447961
En effet, depuis le début de l’année 2015, la cause « alcool et/ou stupéfiants » est à l’origine de 29 % des accidents constatés dans le département où huit personnes ont perdu la vie.
À l’instar des récentes opérations menées dans le département « 24h00 contre la vitesse » et « 24h00 contre les smartphones », sous l’impulsion du colonel Mendes, commandant le groupement de gendarmerie départementale de l’Aisne, les compagnies et l’EDSR mettront en place des contrôles non-stop du vendredi 24 avril 2015, à compter de 06 heures du matin et jusqu’au lundi 27 avril 2015 à 06 heures.
Durant la totalité de ces soixante-douze heures et en permanence, il y aura au moins un contrôle visant les conduites addictives sur les routes du département et le plus souvent, il y en aura plusieurs.
Objectif : faire baisser le nombre de tués sur les routes
Cette opération d’envergure a pour objet de porter un message fort de prudence et de modération à l’entrée de cette période sensible en orientant les contrôles répressifs vers l’alcool et/ou la consommation de stupéfiants au volant.L’objectif est aussi de faire baisser le nombre de tués sur les routes axonaises. En effet, depuis le 1er janvier 2015, « en zone gendarmerie Aisne (95 % du territoire du département), 08 personnes ont déjà perdu la vie.
115 services seront ainsi commandés sur le terrain et 330 personnels seront engagés au cours de cette opération.
http://www.lunion.com/node/447961
mardi 21 avril 2015
Monseigneur Labille de retour à l'évêché de Soissons
La nouvelle est sur le site internet du diocèse de Soissons et sur sa page facebook. L’identité de celui qui assurera l’intérim, après le départ de l’évêque Hervé Giraud pour Sens-Auxerre et jusqu’à la nomination d’un nouvel évêque, est désormais connue. « Ce dimanche 19 avril 2015, le Pape François a nommé Mgr Daniel Labille administrateur apostolique sede vacante du diocèse de Soissons, Laon et Saint-Quentin » est-il écrit. Les fidèles soissonnais retrouveront donc un visage connu puisque Daniel Labille a été évêque de Soissons de 1984 à 1998. Il leur a d’ailleurs écrit une lettre disponible en lien, dans laquelle il rappelle qu’il officiait à Soissons dès 1978.
http://www.lunion.com/node/446017
http://www.lunion.com/node/446017
lundi 20 avril 2015
Un salon du livre peut en cacher un autre à Soissons
En apprenant par la presse l’organisation d’un nouveau salon du livre, l’organisatrice de celui de l’an dernier a bondi. Est-il tombé aux oubliettes ?
Quelle ne fut pas la surprise de Monique Judas-Urschel quand elle a découvert, dans le journal, qu’un salon du livre allait avoir lieu à Soissons. C’est une bonne nouvelle, elle est la première à s’en réjouir. Elle voudrait juste qu’on n’oublie pas que, un an pratiquement jour pour jour avant la date fixée, une autre manifestation était organisée. Elle en était satisfaite. « Cette réussite est due aux nombreux bénévoles qui se sont investis durant ces trois jours pour l’organisation. Elle est due aussi aux associations qui œuvrent pour le livre, la lecture et la culture, et qui ont animé la manifestation. On ne peut ignorer cet événement, ni ses animateurs bénévoles », tient à dire la présidente.
Pourtant, les organisateurs de la nouvelle manifestation savent ce qu’il en est. Ils ont bien dit qu’ils avaient prévu de contacter les organisateurs de la précédente. Ils n’ont pas eu le temps, ont-ils expliqué. Il faudrait qu’ils le prennent car Mme Judas attend.
Non qu’elle veuille organiser elle-même un deuxième salon. Elle rappelle que la vocation de son association est d’animer la chapelle et d’y organiser des manifestations plus originales les unes que les autres. D’ailleurs, vendredi soir, des danseuses s’y produiront. Mais travailler avec Lire en Soissonnais, pourquoi pas…
http://www.lunion.com/node/445926
Quelle ne fut pas la surprise de Monique Judas-Urschel quand elle a découvert, dans le journal, qu’un salon du livre allait avoir lieu à Soissons. C’est une bonne nouvelle, elle est la première à s’en réjouir. Elle voudrait juste qu’on n’oublie pas que, un an pratiquement jour pour jour avant la date fixée, une autre manifestation était organisée. Elle en était satisfaite. « Cette réussite est due aux nombreux bénévoles qui se sont investis durant ces trois jours pour l’organisation. Elle est due aussi aux associations qui œuvrent pour le livre, la lecture et la culture, et qui ont animé la manifestation. On ne peut ignorer cet événement, ni ses animateurs bénévoles », tient à dire la présidente.
Pourtant, les organisateurs de la nouvelle manifestation savent ce qu’il en est. Ils ont bien dit qu’ils avaient prévu de contacter les organisateurs de la précédente. Ils n’ont pas eu le temps, ont-ils expliqué. Il faudrait qu’ils le prennent car Mme Judas attend.
Non qu’elle veuille organiser elle-même un deuxième salon. Elle rappelle que la vocation de son association est d’animer la chapelle et d’y organiser des manifestations plus originales les unes que les autres. D’ailleurs, vendredi soir, des danseuses s’y produiront. Mais travailler avec Lire en Soissonnais, pourquoi pas…
http://www.lunion.com/node/445926
dimanche 19 avril 2015
samedi 18 avril 2015
Carrefour de l'alternance du Soissonnais
La Communauté D'agglomération du Soissonnais organise son premier carrefour de l'alternance le 23 avril 2015 prochain en partenariat avec la Mission Locale. RDV de 10 h à 17h
VILLENEUVE SAINT-GERMAINFOYER SOCIO - CuLturel G. BRASSENS
Entrée Libre
Venez rencontrer les acteurs locaux de l’alternance et découvrir leurs offres
Contrats d’apprentissage, contrats de professionnalisation pour tous publics
Rencontres avec des entreprises et organismes de formation
Témoignages d’apprentis, de formateurs et d’employeurs autour de tables rondes
Outils développés sur le territoire (TagEmploi GrandSoissons...)
Espace de démonstration en exterieur
De nombreux secteurs d'activité seront représentés : industrie, BTP, Services, tourisme, agriculture, commerce, distribution.
Une quinzaine d'organismes de formation vous accueille ainsi que des institutionnels tels que le CIO, Cap emploi...
2200 demandeurs d'emplois seront conviés
Consultez notre site internet dédié à l'évènement : > www.carrefour-alternance-soissonnais.com
Consulter la plaquette :
> Carrefour de l'alternance du Soissonnais (pdf)
vendredi 17 avril 2015
Le blues des généralistes du Soissonnais
Les médecins traitants tirent la sonnette d’alarme sur la pénurie annoncée en offre de soins à Soissons. Témoignage de l’un d’eux, un quadra qui pense déjà à cesser le libéral.
Grégory Vasseur, depuis quand être vous généraliste à Soissons ?
J’ai depuis 2008 une activité mixte en médecine libérale, avec mon épouse, et aux urgences de Soissons. J’arrive au constat que la situation se dégrade des deux côtés. Avec la loi santé, on a craqué une allumette sur un baril de poudre.
Pourquoi faut-il s’inquiéter ?
Le système est de plus en plus administratif. On nous laisse de moins en moins de marges d’action dans notre activité de prescription. On nous implique de plus en plus dans une maîtrise budgétaire de la santé.
Comment cela se traduit-il ?
On reçoit deux fois par an nos statistiques et nous avons des visites de personnels, non médical, de l’assurance maladie qui contrôle nos prescriptions. Même si en Picardie, il n’y a pas une grosse pression. Mon activité mixte me permet de conserver une liberté de prescription et de parole. je ne suis pas syndiqué, je n’appartiens à aucun parti. Je m’exprime en tant que généraliste, urgentiste et citoyen. Je n’appliquerai pas le tiers payant. Je vois ça comme une atteinte à ma liberté, comme si mon acte ne valait plus rien. On ne m’a pas demandé mon avis. Pour moi, le paiement par le patient n’est pas un frein aux soins.
Pour vous, c’est la baisse des effectifs de médecins qui devrait inquiéter nos dirigeants ?
On est déjà obligé de refuser du monde. La gestion du temps est très compliquée. On a quinze minutes maximum à consacrer aux patients, avec de plus en plus de polypathologies. On le vit très mal. On pourrait travailler 24/24 et 7/7, on aurait quand même du monde. On ne peut pas encore parler de pénurie. Mais d’après nos calculs, en raison de départs à la retraite notamment, 8 à 10 000 personnes, dans le Soissonnais, pourraient se retrouver sans médecin traitant d’ici cinq ans. Le renouvellement n’est pas assuré et il n’y a aucune perspective dans ce sens à cause du manque d’attractivité de la médecine libérale. Je ne veux pas me plaindre. Je ne suis pas inquiet pour moi, je trouverai du travail, je suis inquiet pour l’accès aux soins.
Quelles sont vos conditions de travail ?
Je travaille soixante heures par semaine, sans compter les formations et les stages. C’est de plus en plus tendu. Et en hôpital, c’est pire. On a un système qui repose que la bonne volonté des gens. On n’a pas beaucoup investi sur le facteur humain.
Qui est responsable de cette situation ?
C’est bien le problème : on ne sait pas. Je pensais que les ARS (agences régionales de santé) étaient une bonne idée, mais leur vocation est de faire des économies. Nous avons été formés pour privilégier la qualité des soins, pour être comptable. Ça fait des années qu’on fait des réformes et rien n’est réglé. On voit de plus en plus de maladies chroniques et un vieillissement de la population et on n’aura pas, dans les années à venir, les moyens d’y répondre.
Votre avenir, vous le voyez comment ?
Avec mon épouse, nous cesserons notre activité libérale si la loi santé est appliquée en 2017. Il faut que nos dirigeants prennent conscience des dégâts qu’ils font. Et il faut être honnête envers la population : on va vers une médecine beaucoup plus étatisée avec, à terme, non pas de paiements à l’acte mais au nombre de patients traités. Je fais ce métier par passion mais j’ai l’impression de me décourager et je ne veux pas finir aigri.
http://www.lunion.com/node/444023
Grégory Vasseur, depuis quand être vous généraliste à Soissons ?
J’ai depuis 2008 une activité mixte en médecine libérale, avec mon épouse, et aux urgences de Soissons. J’arrive au constat que la situation se dégrade des deux côtés. Avec la loi santé, on a craqué une allumette sur un baril de poudre.
Le système est de plus en plus administratif. On nous laisse de moins en moins de marges d’action dans notre activité de prescription. On nous implique de plus en plus dans une maîtrise budgétaire de la santé.
On reçoit deux fois par an nos statistiques et nous avons des visites de personnels, non médical, de l’assurance maladie qui contrôle nos prescriptions. Même si en Picardie, il n’y a pas une grosse pression. Mon activité mixte me permet de conserver une liberté de prescription et de parole. je ne suis pas syndiqué, je n’appartiens à aucun parti. Je m’exprime en tant que généraliste, urgentiste et citoyen. Je n’appliquerai pas le tiers payant. Je vois ça comme une atteinte à ma liberté, comme si mon acte ne valait plus rien. On ne m’a pas demandé mon avis. Pour moi, le paiement par le patient n’est pas un frein aux soins.
On est déjà obligé de refuser du monde. La gestion du temps est très compliquée. On a quinze minutes maximum à consacrer aux patients, avec de plus en plus de polypathologies. On le vit très mal. On pourrait travailler 24/24 et 7/7, on aurait quand même du monde. On ne peut pas encore parler de pénurie. Mais d’après nos calculs, en raison de départs à la retraite notamment, 8 à 10 000 personnes, dans le Soissonnais, pourraient se retrouver sans médecin traitant d’ici cinq ans. Le renouvellement n’est pas assuré et il n’y a aucune perspective dans ce sens à cause du manque d’attractivité de la médecine libérale. Je ne veux pas me plaindre. Je ne suis pas inquiet pour moi, je trouverai du travail, je suis inquiet pour l’accès aux soins.
Je travaille soixante heures par semaine, sans compter les formations et les stages. C’est de plus en plus tendu. Et en hôpital, c’est pire. On a un système qui repose que la bonne volonté des gens. On n’a pas beaucoup investi sur le facteur humain.
Avec mon épouse, nous cesserons notre activité libérale si la loi santé est appliquée en 2017. Il faut que nos dirigeants prennent conscience des dégâts qu’ils font. Et il faut être honnête envers la population : on va vers une médecine beaucoup plus étatisée avec, à terme, non pas de paiements à l’acte mais au nombre de patients traités. Je fais ce métier par passion mais j’ai l’impression de me décourager et je ne veux pas finir aigri.
http://www.lunion.com/node/444023
jeudi 16 avril 2015
Grand nettoyage de printemps sur les bords des RN 2 et 31 à Soissons
L’opération nettoyage de printemps, par les agents de la Dir Nord, sur les bords des routes nationales 31 et 2, a commencé autour de Soissons. Les usagers de ces routes peuvent s’en rendre compte grâce à deux indices : les bas-côtés sont propres et les sacs-poubelles remplis de déchets jalonnent désormais le parcours. Il y en a environ tous les 100 mètres, ce qui laisse entrevoir le volume de ce qui a été jeté par les fenêtres ! Ces sacs seront enlevés prochainement.
http://www.lunion.com/node/443454
http://www.lunion.com/node/443454
mercredi 15 avril 2015
Journée du souvenir au Chemin des Dames
La 9e édition de la journée de commémoration de l’offensive du Chemin des Dames (16 avril 1917) a lieu ce jeudi. Marches, théâtre, cinéma et veillée rendent hommage à tous les morts, disparus et blessés de la Grande guerre.
Les lève-tôt seront dès 5h30 sur la place de la mairie de Craonne, d’où s’élancera une marche commentée de 3h30 et 8 kilomètres avec Noël Genteur. Sur le Plateau de Californie, les collégiens de Corbeny dévoileront l’œuvre qu’ils ont conçue, en hommage à la sculpture de Haïm Kern, volée en août dernier.
Une autre marche d’1h45 est proposée l’après-midi (14 heures) au départ de l’abbaye de Vauclair, commentée par Yves Folhen, guide-conférencier de la Caverne du Dragon.
Un spectacles de marionnettes intitulé Tranchées sera donné à 11 heures et 18 heures à la salle polyvalente de Corbeny.
À 14h30 et 16h30, la Caverne du Dragon projette un fil documentaire sur la vie de Vincent Moulia, mutin évadé avant son exécution et réfugié en Espagne. C’est le village de Craonnelle, au terme d’une ultime marche de 3,3km depuis Craonne, qui accueille les animations nocturnes. Surtout une évocation en images du Chemin des Dames (22h).
http://www.aisnenouvelle.fr/region/journee-du-souvenir-au-chemin-des-dames-ia44b0n203611
Les lève-tôt seront dès 5h30 sur la place de la mairie de Craonne, d’où s’élancera une marche commentée de 3h30 et 8 kilomètres avec Noël Genteur. Sur le Plateau de Californie, les collégiens de Corbeny dévoileront l’œuvre qu’ils ont conçue, en hommage à la sculpture de Haïm Kern, volée en août dernier.
Une autre marche d’1h45 est proposée l’après-midi (14 heures) au départ de l’abbaye de Vauclair, commentée par Yves Folhen, guide-conférencier de la Caverne du Dragon.
Un spectacles de marionnettes intitulé Tranchées sera donné à 11 heures et 18 heures à la salle polyvalente de Corbeny.
À 14h30 et 16h30, la Caverne du Dragon projette un fil documentaire sur la vie de Vincent Moulia, mutin évadé avant son exécution et réfugié en Espagne. C’est le village de Craonnelle, au terme d’une ultime marche de 3,3km depuis Craonne, qui accueille les animations nocturnes. Surtout une évocation en images du Chemin des Dames (22h).
http://www.aisnenouvelle.fr/region/journee-du-souvenir-au-chemin-des-dames-ia44b0n203611
mardi 14 avril 2015
lundi 13 avril 2015
dimanche 12 avril 2015
vendredi 10 avril 2015
L'ancien cuisinier de l'Élysée, parrain de la promotion du lycée hôtelier de Soissons
Après Philippe Conticini, c’est Bernard Vaussion, le tout jeune retraité des cuisines de l’Élysée, qui est le parrain de la promotion 2015 des élèves du lycée hôtelier Le Corbusier. Il viendra dans les prochains jours pour le traditionnel repas de gala de cette promotion. Après 40 années de travail au palais de l’Élysée et après avoir servi six présidents de la République, l’homme vient de céder la place à son adjoint.
http://www.lunion.com/node/438890
http://www.lunion.com/node/438890
jeudi 9 avril 2015
Soissons: fin d’alerte au collège Saint-Paul
Les 542 élèves, 21 enseignants et 14 personnels de service ont été évacués cet après-midi suite à la découverte de ce qui semblait être un obus. Il s’agissait en fait d’une pièce de métal ne représentant pas de danger, il n’y a donc plus aucun risque sur place.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/soissons-fin-d-alerte-au-college-saint-paul-ia44b0n201014
http://www.aisnenouvelle.fr/region/soissons-fin-d-alerte-au-college-saint-paul-ia44b0n201014
mercredi 8 avril 2015
mardi 7 avril 2015
lundi 6 avril 2015
dimanche 5 avril 2015
samedi 4 avril 2015
Cock Robin à Soissons
Ne faisons pas durer plus longtemps le suspense et découvrez le groupe qui donnera un grand concert gratuit lors de la Fête du Haricot le samedi 26 septembre 2015.
Bravo à celles et ceux qui ont trouvé !
A trés bientôt
Bravo à celles et ceux qui ont trouvé !
A trés bientôt
vendredi 3 avril 2015
jeudi 2 avril 2015
Les gardes à cheval sur Equidia
C'est l'année
"Télévision" pour Soissons et sa région. Après France 2, c'est la chaine Equidia (spécialiste du cheval) qui a parcouru les rues de Soissons caméra au poing le 26 mars dernier. Objet du reportage : l'école des gardes à cheval de Cuffies. "Ils ont appelé l'école et sont venus m'interviewer avant que nous descendions à Soissons, rue de la République", se souvient Lenaïck Lejeune que vous connaissez déjà. Elle a fait l'objet d'un art...icle dans Soissons magazine. Le nom de la journaliste, aussi, vous évoquera quelque chose : il s'agit de Sophie Thalmann, l'ex Miss France.
"Télévision" pour Soissons et sa région. Après France 2, c'est la chaine Equidia (spécialiste du cheval) qui a parcouru les rues de Soissons caméra au poing le 26 mars dernier. Objet du reportage : l'école des gardes à cheval de Cuffies. "Ils ont appelé l'école et sont venus m'interviewer avant que nous descendions à Soissons, rue de la République", se souvient Lenaïck Lejeune que vous connaissez déjà. Elle a fait l'objet d'un art...icle dans Soissons magazine. Le nom de la journaliste, aussi, vous évoquera quelque chose : il s'agit de Sophie Thalmann, l'ex Miss France.
En parlant de notoriété, réjouissons-nous de la venue de la télé ! Le futur reportage d'Equidia mettra en lumière notre ville. Lenaïck en a été l'ambassadrice : "J'ai profité de l'occasion pour dire que Soissons a de la classe; elle est adaptée au passage des chevaux qui permettent un contact plus facile avec la population", précise la jeune garde à cheval. Elle et sa collègue se sont retrouvées au jardin d'horticulture. Là, cette dernière a prêté sa monture à Sophie Thalmann. L'occasion de faire faire un belle photo et d'illustrer le sentiment des Soissonnais à l'endroit de ce métier particulier. "Les gens me disent qu'ils sont heureux de nous voir - révèle Lenaïck dans un sourire. Certains affirment qu'ils n'imaginent plus Soissons sans ses gardes à cheval".
mercredi 1 avril 2015
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