Alain Crémont Maire de Soissons
Inauguration de l’exposition
« #Soigner et survivre à La Chapelle Saint Charles. L’hôpital de Soissons durant la guerre 1914-1918 et les sœurs hospitalières de Saint-Thomas de Villeneuve”.
« #Soigner et survivre à La Chapelle Saint Charles. L’hôpital de Soissons durant la guerre 1914-1918 et les sœurs hospitalières de Saint-Thomas de Villeneuve”.
L’exposition permet d’aborder la guerre autrement que sous le seul angle de l’action militaire. La prise en charge sanitaire des blessés est effectivement, un des grands enjeux et un défi constant auquel ont été confrontées les autorités entre 1914 et 1918. L’exposition vise à montrer comment, localement, la Nation s’est mobilisée au service des blessés, particulièrement lorsque, comme ici à Soissons et dans le Soissonnais, nous sommes dans une des zones directement concernées par les combats.
Cette exposition est aussi l’occasion de rappeler le rôle primordial joué par les sœurs hospitalières dans le conflit.
La Congrégation des Sœurs hospitalières Saint-Thomas de Villeneuve est une congrégation dans le siècle, impliquée dans la vie locale. Elle est active à l’hôpital de Soissons de 1808 à 1950, pour soigner et accompagner les patients de l'établissement.
Comment l’hôpital de Soissons a-t-il traversé la guerre ?
Comment les sœurs ont-elles vécu durant cette période difficile ?
Quel rôle ont-elles joué aux côtés des laïcs dans la prise en charge des blessés ?
Comment les sœurs ont-elles vécu durant cette période difficile ?
Quel rôle ont-elles joué aux côtés des laïcs dans la prise en charge des blessés ?
Voilà autant de questions à laquelle l’exposition s’attache à répondre, en s’appuyant sur des sources directes, en l’occurrence des journaux manuscrits tenus par les sœurs elles-mêmes et une superbe collection de photographies anciennes.
Bravo à la Société Archéologique, Historique et Scientifique de Soissons, à l’association pour la Sauvegarde de la Chapelle Saint-Charles, au Département de l’Aisne pour son soutien, à l’association Soissonnais 14-18 et, bien sûr, à la Congrégation des Sœurs hospitalières de Saint-Thomas de Villeneuve.
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