Elle forme les cavaliers qui veulent intégrer une brigade montée. Créée
à Soissons, dans les Hauts-de-France, l’école nationale de garde à
cheval rejoint l’hippodrome de Deauville-Clairefontaine.
Rejoindre une brigade à cheval pour surveiller les plages, les parcs à huîtres ou les centres-villes. Intégrer la police montée ou accéder à la Garde républicaine. Tels sont les objectifs des étudiants qui passent dans les boxes et sur les bancs de l’école nationale de garde à cheval. L’école, privée, forme chaque année deux promotions d’étudiants aux métiers de la sécurité publique ou privée à cheval. Elle a été créée en 2000, à Soissons, par Gilbert La Sala, un ancien garde républicain.
À la tête de l’organisme depuis l’été, son successeur, Frédéric Bregetzer a décidé de mettre le cap vers la Normandie. « Une évidence quand on parle de cheval », justifie le nouveau directeur, lui-même ancien garde républicain, qui arrive de la région parisienne.
Le lieu est trouvé : l’hippodrome de Deauville-Clairefontaine. L’école, qui vivra sa première rentrée le 8 janvier 2018, y disposera de boxes pour sa quinzaine de chevaux, de chambres pour ses stagiaires et d’une salle pour les cours.
À la tête de l’organisme depuis l’été, son successeur, Frédéric Bregetzer a décidé de mettre le cap vers la Normandie. « Une évidence quand on parle de cheval », justifie le nouveau directeur, lui-même ancien garde républicain, qui arrive de la région parisienne.
Le lieu est trouvé : l’hippodrome de Deauville-Clairefontaine. L’école, qui vivra sa première rentrée le 8 janvier 2018, y disposera de boxes pour sa quinzaine de chevaux, de chambres pour ses stagiaires et d’une salle pour les cours.
Un métier porteur
« Le cheval fait son retour dans les villes, le métier est porteur, assure le directeur. Le cheval est un vecteur de communication attractif et respecté. Un agent à cheval passe partout, voit davantage de choses qu’un agent à pied et pèse 550 kg avec sa monture. Ça en impose tout de suite ! »
L’école sera aussi en mesure de proposer ses services aux collectivités et aux organisateurs d’événements. « Nous fournissons le personnel, les chevaux et le matériel. Autant de points qui peuvent freiner des collectivités tentées par la brigade montée. »
Pour postuler, il faut être âgé de plus de 18 ans, avoir un niveau d’équitation équivalent au galop 5 et être titulaire d’un brevet ou d’un CAP. L’école attend la reconnaissance de son diplôme de garde à cheval. Payante (6 500 €), la formation de six mois est éligible aux aides accessibles aux demandeurs d’emploi et aux salariés dans le cadre des droits à la formation.
L’école sera aussi en mesure de proposer ses services aux collectivités et aux organisateurs d’événements. « Nous fournissons le personnel, les chevaux et le matériel. Autant de points qui peuvent freiner des collectivités tentées par la brigade montée. »
Pour postuler, il faut être âgé de plus de 18 ans, avoir un niveau d’équitation équivalent au galop 5 et être titulaire d’un brevet ou d’un CAP. L’école attend la reconnaissance de son diplôme de garde à cheval. Payante (6 500 €), la formation de six mois est éligible aux aides accessibles aux demandeurs d’emploi et aux salariés dans le cadre des droits à la formation.
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