mardi 10 octobre 2017

La confrérie du haricot blanc de Flandre, forte de huit membres, est née

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La culture du haricot blanc de Flandre était en perte de vitesse et proche de la disparition, une volonté farouche des agriculteurs de maintenir cette production a été bénéfique et permis de sauver cette production. Une confrérie destinée à promouvoir cette dicotylédone est née ce week-end
Emmenés par l’harmonie batterie de Wormhout et escortés par douze géants et confréries, les huit membres fondateurs de la confrérie du haricot blanc de Flandre ont été intronisés par Yana, grand maistre de la confrérie du haricot de Soissons. Les confréries, souvent gastronomiques se multiplient. Pittoresques, elles sont structurées avec un objectif précis : «  Défendre un produit et la région  » qu’elles représentent. Le flageolet blanc de Flandre a failli disparaître, c’est une culture sensible, non mécanisable et chronophage. Des agriculteurs passionnés, aidés par le centre régional de ressources génétiques de Villeneuve-d’Ascq ont permis de sauver l’espèce. Les membres de la confrérie s’engagent à accompagner cette dynamique jusqu’à aboutir, un jour, à la délivrance d’un label.
Après avoir prêté serment, à la charte, les huit confrères, composés d’agriculteurs, de restaurateur, d’élus et d’enseignants chargés de la promotion, ont reçu par le grand maistre de la confrérie du haricot de Soissons, une cape orange rappelant la couleur du cassoulet ; la casquette bleue symbolisant l’azur du ciel avec au sommet une effigie du haricot, un emblème conçu pour illustrer la communication de la fête ; la bannière rappelant la vocation de la confrérie. Prochainement, les huit nouveaux promus se répartiront les tâches au sein de cette dernière

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